jeudi 8 décembre 2016

Niveau zéro




J’ai vu hier soir le pugilat organisé par « l’Humoriste en paix. »
 J’ai pas trouvé ça humoristique. Il était intolérable de voir Alain Soral se faire insulter.
Soral ne l’a pas toléré.
 Tant mieux.
Ceci dit, la confrontation d’Alain Soral avec quelqu'un qui l’injurie d’emblée, "je te respecte pas", n’aurait pas dû pouvoir se produire.
En outre le laisser-faire de l’organisateur est plus que suspect.

 Le fondement de cette agressivité semble basée uniquement sur des motions personnelles, nullement sur une divergence politique.
  La preuve : lorsque M. Conversano revient pour discuter avec un suprématiste Noir affirmé, il le fait avec courtoisie et déférence. Tellement de déférence qu’il ne sait même pas efficacement contredire les absurdités que nous avons entendues.
 Il est vrai qu’elles sont aussi apolitiques et aussi plates que les siennes. Là on atteint véritablement le niveau zéro de la conscience politique.

À moins que M. Conservano ne haïsse les Arabes par dieudonnisme accentué, c'est à dire à cause de leur responsabilité majeure en ce qui concerne les traites négrières. Car « les blancs » avaient trouvé là un état de fait. Ils ne l’ont pas créé. Mais au lieu d’émanciper, comme ils le font toujours, par bonté native, les compagnies ont utilisé cette traite à des fins mercantiles.

Face à un tissu de prêt à penser racialiste mal rapiécé, M. Conservano n'a su opposer à Dieudonné qu’il ne devrait pas oublier sa moitié bretonne ! Alors que, précisément, sur le choix de son identité « raciale », il ne fait que suivre celui de sa mère bretonne, qui l'a nourri au lait maternel de la méfiance féministe classique à l'encontre des "mâles blancs".  Sa filiation idéologique est matrilinéaire.

D'une manière générale que pensent les gros lourdauds, les durs à cuire, des femelles blanches qui les trahissent collectivement ?
Croient ils eux aussi, comme les autres patentés de l'antisoralisme, dans la réalité de la "Sororité Aryenne"?

J’espère que ce M. Conservano ne nuira pas, par ricochet, à la nuance que j’affirme régulièrement dans le cadre métapolitique d’E&R, et qu'elle ne va pas devenir par identification identitaire, Achtung verboten !

Les Zidentitaires ! Les étiquettes ne sont décidément un support que pour des marchandises frelatées. La valeur d’échange qui cache une fausse valeur d’usage.
– Il faudra quand même apprendre à distinguer les Zidentitaires des Yidentitaires  (je choisis ces lettres au hasard pour marquer la différence), et M. Conservano est à ranger dans la première catégorie.



dimanche 4 décembre 2016

Moi, pas président !




I
Or donc, François Hollande a eu le bon goût de ne pas solliciter nos suffrages.
 Lui-Président, qui avait pourtant prévu depuis longtemps de se représenter, le PS lui ayant même acheté en prévision, avec l’argent des contribuables, une super-voiture blindée pour sa campagne, vient de capituler.
 C’est dans sa nature de valet. N’oublions pas qu’il doit sa place à une femme de chambre. Ses maîtres ne voulant plus de lui, il n’avait donc plus le choix.
 – Ses maîtres, vous savez, les gens du « monde de la finance » !

 Ces derniers misent maintenant à droite, Fillon, ou à l’extrême-droite, Valls. Car du point de vue du capital financier il est difficile d’être plus « à droite » que Valls. Il est son représentant le plus extrême. Il a le même programme social que François Fillon, mais avec la trique sioniste en sus. 

Ainsi, nous ne pouvons même pas féliciter Moi-pas-Président de sa décision, puisqu’elle ouvre un boulevard à bien plus détestable que lui.
 Au fond Hollande n’aura servi qu’à une seule chose : mettre en selle le futur Caudillo ! Ce fut cela, précisément, sa tâche fondamentale.
 Car, il n’y avait aucune raison, aucun calcul politicien valable, pour introniser l’Ibère à Sion. Aux primaires socialistes pour les présidentielles 2012, Valls était arrivé bon dernier avec 5 % des voix ! Aussi, en le nommant, François Hollande bafouait une première fois l’électorat socialiste.
 Lui laisser le champ libre revient à tromper les socialistes une deuxième fois. C’est là où le bât blesse.
 Mais un électeur socialiste qu’est ce que c’est, sinon un âne bâté ?

 C’est aussi un retour du réel, qui remet les pendules à l’heure, en marquant les vrais préséances hiérarchiques du gouvernement.
 Quel autre Pays pouvait s’enorgueillir de posséder à son sommet un tel premier ministre placé au dessus du Président ? Ce dernier devint le maillon faible de la chaîne matrimoniale qui lie éternellement le Premier.
 Celui qui par son bilan fut nommé le « pire ministre de l’Intérieur », est devenu le pire ennemi de l’intérieur, assis dans son bureau de Premier ministre dans lequel il prospère et ourdit ses intrigues.

 II
 L’Exécutif était déjà en miette, et Hollande à ramasser avec une pelle, par une Nafissatou de service.
La fonction de Bonaparte de la Cinquième fut définitivement ridiculisée par lui, ce qui fut révélé par un bouquin ridicule. Qui montrait que Hollande ne faisait même pas le poids devant son Premier ministre.
 L’appareil d’Etat semblait en panne, jusqu’au premier Corps de répression, la Police, qui est entré en sécession, du jamais vu, estimant que l’Etat d’Urgence ne tenait pas ses promesses, la frustrant du Droit de flinguer tout le monde, sans sommation, à tout va ! [1]

 III
 Lundi à 18h30, Manuel Valls devrait déclarer officiellement sa candidature à la dictature sioniste, à Evry, commune où en 2008 il plantait un arbre pour la cause palestinienne.
 Un homme de conviction, on voit.
 Il va nous éclabousser de grands mots sur la France et le progrès social, lui qui est éternellement lié ailleurs, et qui a taillé à la hache dans les acquis de la classe ouvrière !

 Manuel Valls c’est exactement l’alter ego d’Hillary pour la France. Même programme et semblable hystérie.
 Une Femen, nommée à l’Intérieur, n’aurait rien eu à envier à l’Ibère à Sion de la Servitude. [2] Manuel Valls président, c’est Strauss-Kahn, que dis-je, Anne Sinclair multiplié par Haziza à l’exécutif. L’Elite sans fard, la plèbe sous la trique... et tout le bataclan. Valls au pouvoir ça va peut-être être marrane, mais pas marrant du tout.

 Le mot d’ordre fondamental de cette campagne qui s’ouvre doit être :

 TOUT SAUF VALLS ! 

 IV
 A priori, ce péril primordial peut sembler relativement improbable.
 Le bas Catalan s’étant mis à dos les deux classes fondamentales de la société.
D’une part la bonne bourgeoisie, qu’il a mise à genoux avec ses Flics et ses Femen, et d’autre part la classe ouvrière à qui il a infligé à coup de 49.3 une régression sociale majeure.

 La bourgeoisie a trouvé son Fillon, fait sur mesure pour elle, tout à fait présentable, et non pas souillé par ces relents de poissons de la petite fille d’un marin-pêcheur.

 La classe ouvrière, quant à elle, reste politiquement orpheline, elle n’a aucun porte parole sincère et loyal, seulement des canailles, livrée qu’elle est aux fantoches Filoche, ou aux Sauveurs suprêmes comme l’ex ministre et sénateur Mélenchon, qui rêve de marcher sur les traces d’Aléxis Tsípras en Grèce.

 Alors, le "peuple de gauche" votera-t-il pour pour HILLARY VALLS ?
Et les partis, syndicats, et assoces de cette gauche, seront ils capables de faire campagne pour l’homme de la loi El Kromhi ?
 Oui !
 Et ils ont même commencés !
 Philippe Martinez, secrétaire général de la CGT : « De Macron à la droite, en passant par le Front national, ils sont tous pour accentuer les politiques d’austérité ».
 Ces politiques n’ont-elles pas été poussées au paroxysme par le gouvernement de « gauche » actuel ? L’école dévoyée, l’hôpital public saccagé, le droit du travail piétiné !
 N’oublions pas que lors des mobilisations pour retrait de la loi El Khomri, Martinez, de bout en bout, fut le flanc-garde syndical du gouvernement. C’est lui qui a permis à Valls de réussir son coup de force. [3]

 Et Martinez d’enfoncer le clou : « C’est la continuité de ce qui existe déjà, mais de façon accélérée », ajoutant que Fillon élu, « la mobilisation sera d’actualité ».

 Fillon ce serait pire que Valls ! Donc il faudra voter Valls.
 C’est la nouvelle antienne à la mode à gauche, et à l’extrême gauche ! On parle « d’un tournant droitier du grand capitalisme », bref on fascise le Fillon, on le badigeonne de noir, pour faire apparaître bientôt le Caudillo plus rose.
Ce dernier ne gueule t-il pas que sans lui : "la gauche peut disparaître" !

 V
 Marine Le Pen se prépare à affronter ceux qui ne sont, déclare-t-elle, que « les doublures » de Nicolas Sarkozy et François Hollande.
 Bien dit ! 

Trois cas de figure prévisibles, si le Caudillo passe à la primaire ( ce qui est à craindre) : 
Fillon-Caudillo
 Marine-Fillon
 Caudillo-Marine

 Ce dernier pronostic est celui sur lequel misent les Vallsiens. L’enjeu pour la France serait capital ! Un redressement progressif du plaisir d’être en France, ou la France réduite en un vaste bataclan. 

Trois candidats, trois bases sociales.
 Car si Fillon est le crack du CAC 40, et Valls le coq du CRIF, ça ne suffit pas pour se faire élire, il faut une base sociale plus large.

 Celle de manuel Valls sera constituée par la boboïdie des centres viles + l’Immigration.
 Le ministre de l’intérieur choisi par Valls, Bernard Cazeneuve le 26 mai 2014, soit un an et demi avant le Bataclan ne déclarait il pas aux apprentis djihadistes : — « Aux jeunes qui partent en Syrie, je veux dire qu’il y a 1000 combats à mener dans la République, pour la France ! »
 Appel entendu un sinistre Vendredi 13.
 Si Daesh est la créature de l’Empire, l’Islamisme en France est l’alliée des laquais de l’Empire.
L’immigration a voté Hollande, elle votera pour Monsieur "Pas d’amalgame" !

 Monsieur Fillon quant à lui a le soutien de la bonne bourgeoisie et du grand capital ; pour être plus exact de la composante libérale et "entrepreneuriale"du Medef.

 Reste donc pour Marine les couches populaires dites "de souche".
 En ce cas, elle a tout intérêt à rompre en visière, à faire une campagne en rupture.
Sociale et identitaire.
 A nous faire oublier cette tâche que fût pour le Front national le fait d’avoir voté l’état d’urgence, c’est à dire les pleins pouvoirs à un gouvernement pourtant responsable et coupable du chaos sanglant ! [4]

Pour gagner, Marine devra faire une campagne non pas fleur bleue, mais pleine de Flammes !

 Notes [1]
Si la police avait été vraiment du côté de la population, on aurait vu ses représentants faire la grève du racket des automobilistes.

 [2] Fourest à l’époque du Printemps Français, avait narré dans un livre « Inna », comment elle et les répugnantes Femen officiaient la main dans la main avec Valls, alors à l’Intérieur. Elle raconte par exemple que suite à une pénultième et obscène exactions des Femen, ces dernières, une fois n’est pas coutume, furent embarquées par la police. Caroline Fourest écrit : « A peine cinq minutes se sont-elles écoulées, que Manuel Valls m’appelle sur mon portable. Il vient aux nouvelles en demandant “Vous êtes arrêtées ?”, et ajoute aussitôt “J’appelle le préfet et je me renseigne”. Une fois arrivées au commissariat, les Femen sont toutes libres ».

 [3] Avec son compère Jean-Claude Mailly, et appuyé par la FSU et SUD, il s’est tout le temps opposé à la grève générale. Tous ces dirigeants syndicaux ont refusé d’appeler à la grève générale pour le retrait de la loi El Khomri, ce qui eût mis ce gouvernement à genoux en trois jours ! Ils ont dévoyé cette lutte et sauvé le gouvernement en organisant de prétendus « temps forts », épuisants et sans lendemains, qui furent autant de « temps morts ».

 [4] Marion Maréchal le 16 septembre 2015 : « Nicolas Sarkozy et François Hollande sont responsables du chaos d’où surgissent les monstres du djihadisme, du terrorisme, de l’état islamique, des migrations submergeantes, que les lâchetés rendent inendiguables. L’un et l’autre, Nicolas Sarkozy et François Hollande, chacun sur son strapontin historique, ont contribué à ce chaos criminel. » Et deux mois plus tard on vote l’état d’urgence avec les responsables et coupables d’un chaos criminel ?


lundi 28 novembre 2016

la primo génitale de la droite du fric

Le Fion l'a mis bien profond sous la Jupette, cependant qu'à fond de cale le Fish portait la poisse au Coupé, dont le score fut au grattage aussi près d'une puce que celui de la Niquolit-Konpuant-Malrasé  d'un pou de la Raie-publique.

(Philistine : — C'est d'un goût !)


Un excellent de Benoist ( je sais, je sais, on doit pas dire le "de"), ici, sur le Fion.


mardi 22 novembre 2016

Dans le Fion Juppé !

Fillon a gagné parce qu'il a dit qu’il allait changer les rapports avec la Russie de Poutine, et qu'il fallait flinguer  DAECH et pas Assad.
Et seulement pour ça.
C'est un effet secondaire de l'élection de TRump.

Juppé, malgré son catholicisme affiché, n'est qu'un laquais....

mercredi 16 novembre 2016

TrumpER Myself



§. Or donc, après ma prestation subalterne et balbutiante à radio ER, le bruit court que j’aurais "racialisé" la victoire de Donald Trump. Que je serais un « tribaliste » !
—  88% du vote Nègre pour Kali-Klinton ce ne serait pas un critère,  mais une incidente.
Le vote de la Lippe, ce serait uniquement la faute du Nez. J'aurais le front de voir les choses autrement.
Un Con écrit : « Pauvre Félix, après le trotskisme le tribalisme. Je n’ai jamais compris ce que Soral a pu lui trouver.  »
T’inquiètes pas, Duconneau malgré mon acouphène je ne suis pas encore assez sourd pour ne pas entendre sonner l’Heure.

§. KK a raison de renvoyer la publication de mon dernier livre aux calendes.  Finalement je n’intéresse qu'une poignée de lecteurs, cependant que les ouvrages de branlette intellectuelle font florès.

§. On a pu lire aussi que je serais un disciple de Zemmour.  L’homme qui croit, après les tueries du Bas-Catalan, à la version de service, celle des assassins.
 Le contraire de moi, en somme !
Publié dans Rivarol : Que vous ont inspiré les attaques terroristes du 13 Novembre ?
 Myself : — ....Les français me font penser au petit Chaperon rouge du conte, au lit avec le méchant loup. Il se méfie des grandes dents de l'« état d'urgence », il s'étonne des inutiles bras long des « services », mais il ne soupçonne pas [encore?] le mufle sanglant sous le masque.

§. J’admets bien volontiers, ma place tertiaire, voire quaternaire, dans l’association. Mais ce que j’admets plus difficilement c’est que des esprits de troisième catégorie se croient autorisés à une familiarité dont je dois leur demander maintenant compte, car elle n’est de mise qu’entre pairs, jusqu’à l'autorité de ce tutoiement qui sonne comme une vulgarité.

 §. Tout à coup, les voilà qui sortent, coalisés, ânonnant du sous-soral pour primate coranique, ou pour beauf musculo-respiratoire, ne jurant que par leurs « couilles » ! Tout ne serait qu'une question de poids testiculaire. Eux, sont lourdement pourvus on s'en doute. Moi pas, naturellement, car je suis "poète".  Ce qui veut dire pédé ou légèrement femellisé sur les bords. Je n'entendrais pas la çossiologie, mais seulement un peu la zoologie, puisque le racialisme dont on m'accuse est un matérialisme zoologique. Ma haine des abstractions ne résulterait que de mon inaptitude, bien connue, au concept.

 §. — La poésie ? Elle est contre la platitude essentielle, elle seule proteste complètement contre la hideur du monde post-moderne.
Le poète est un voyou de l’esprit.

§.—  Pour la plupart, les balivernes prétentieuses des abstractions ont toujours le dessus contre l’expérience et les émotions de la vie ordinaire, vécues et comprises avec tous ses risques. Ils appellent ça penser.

§. — Soral ? "Les propos du tribun flamboyant" (Ibara), ils ne les comprennent que de la façon la plus basse, la plus vulgaire, c'est à dire sans génie.

§. Pour moi, je n'admets de réfléchir uniquement que sur les situations réelles, concrètes.
 Je ne suis pas un nintellectuel.
Je suis resté une sorte d'existentialiste, du moins d’existentiel, au sens où je me méfie des grandes pensées systémiques. J’ai toujours préféré à Hegel, les philosophes dit « du soupçon » comme Nietzsche ou Kierkegaard.

 §. —  On m’a entendu dire "Je ne suis pas marxiste". Je voulais dire exactement à Alain Soral, "Si c’est ça le marxisme, hé bien, moi je n’en suis pas".

§. J’ai écrit dans Rivarol ceci : Mon engagement inaugural à l'extrême gauche s’intègre maintenant dans un sens plus global, une totalité dans laquelle je conserve le marxisme en tant que le meilleur outil de compréhension de l'entropie du champ clos capitaliste. De par son corpus scientifique, son noyau dur de découvertes conceptuelles, le marxisme est une extraordinaire physique sociale, dont le champ d'application serait celui du mode de production capitaliste. Mais la compréhension ultime de cette entropie sociale, en tant que « deuxième loi de la thermodynamique » dans le règne de la quantité, est le processus d'Involution, tel que la Tradition nous l'enseigne. Cette physique et cette métaphysique s'enrichissent l'une l'autre, à la condition de liquider tout l'aspect idéologique du marxisme, et d'introduire un peu de dialectique dans la rigidité doctrinale de la Tradition.

§. Physique parce que cette science dure, efficace, ruine toute sociologie, la rendant obsolète, un bavardage. Un logos.
Jamais, comme aujourd'hui, la vétusté et l'inanité des idéologies gauche/droite n’est apparu avec autant d'éclat. Plus besoin de produire des analyses mais du reportage. Tout est étalé au grand jour
Les vielles zidéologies m’emmerdent je vois les hommes réels tels qu'ils sont.
Je hais ces pauvres abstractions qui donnent au moindre l'illusion de penser, eux qui ne pensent que par chromos.
 Je rejette avec répulsion le fatras messianique et progressiste, et je ne peux qu'adhérer à la vision métaphysique évolienne, soit à une transcendance immanente.

§. Le Marché mondial, le système de prédation bancaire, ont unifié « c'te planète ».  On peut donc considérer l'humanité entière, avec toute ses composantes ethniques, religieuses, qui formaient un tissus bariolé, divers, comme unifiée.
 C'est un système clos. Le monde entier est dans la camisole de force du mode de production maffieux, qui est le capitalisme en voie de putréfaction.
 À ce titre il subit le deuxième loi de la thermodynamique.
Qui stipule que tout système clos va vers une homogénéisation et un désordre croissant.  

§. Il n'existe aucune idéologie du passé, donc aucune politique praticable, qui réponde aux exigences du temps présent.
 Puisqu'il faudrait d'une part porter un coup décisif au pouvoir du Capital, et d'autre part rompre avec la fondation universaliste, et mettre au monde  un socialisme différentialiste. Un socialisme identitaire.

§. Un musulman patriote est un oxymore pour maure, soit deux déterminations qui s'excluent l’une l’autre. Si on est patriote on fait de la religion une affaire privée. Si on est d’Islam, sa patrie est la Umma. L’Islam "de France" est un pur phantasme : combien de divisions ?
 La umma, communauté de tous les musulmans va au-delà de leur nationalité.
 En ex-France elle est un masque pour la solidarité raciale. Véhémente, celle là.
 Si la substitution de population n’a aucune autre origine que la lutte des classes, je ne puis que me rendre à cette autre évidence : il faut une unité à un peuple pour se battre. La question ethnique est profonde et fondamentale. Les guerres de classes et de races sont désormais totalement imbriquées.

§. Toutes les vieilles zidéologies sont puisées dans l'arasenal du vieux XX siècle et donc ne sont plus en rapport avec l'inédit de la situation présente.
 Une catastrophique explosion démographique + la pérennisation des mafias bancaires. Et la clique dégénérée des Mafieux favorise la submersion des proliférencieux, pour fonder une populace grouillante à leur mesure.
J'ai fait litière du dégoûtant judéo-crétinisme et de tout universalisme sirupeux.  Comprendre que « le circulus de dévorement » comme disent les Goncourt est la loi ultime.

 §. Pour conclure, il me faut dire à ceux qui mettent à tous propos leurs testicules sur la table, même à l’heure des repas, quelques paroles aimables.
Premièrement,  si cette permanente mention de leurs génitaux les valorise à leurs yeux c’est parce qu'ils sont trop accro aux sites de Ben-porno où l’on reluque autant la nudité masculine en acte, que de la nudité féminine en impuissance.
 Deuxièmement, tout le poids de vos prétendues "couilles" n’a pas réussi à écraser le féminisme. Au contraire.   Cette ostentation des attributs sexuels masculins n’est que la compensation de la virilité intérieure absente.
Je ne suis certainement pas un bégueule, un « prou-proust » comme dit Louis-Ferdinand, un ennemi de la gaudriole. Bien au contraire.
 Mais la sempiternelle mention de vos attributs sont comme vos néo-barbes, ou les vulves rases de vos connasses.  Quelques unes, pourquoi pas, mais tous et toutes, c'est absolument ridicule.


lundi 14 novembre 2016

Bataclan

Hier, un Assassin est revenu sur le lieu de son crime.


mercredi 9 novembre 2016

Divine Surprise !




Mon Dieu l'abbé, grâce à vos prières....
Victoire de Donald Trump, contre toute attente et contre tout l’Establishment !
Vivent les Mâles Blancs !

Première réaction : Marine LePen : "Félicitations au nouveau président des Etats-Unis Donald Trump et au peuple américain, libre ! MLP"

La haine pour l'Oligarchie grandit !
Les zélites s'étranglent de rage et de consternation. La pègre d'Hollywood, Ben Cinema et la racaille égotique des zacteurs, twittent en sanglotant de toute leur petite colère impuissante...

L'ambassadeur de France aux Etats-Unis Gérard Araud,perd ses petits nerfs et décrit «un monde [qui] s'effondre sous nos yeux» sur Twitter... puis, réalise qu'il sort de la réserve diplomatique et efface son message.

En Ex-France, un des ignobles parasites du Sénat, une Benquelquechose, se prenant pour le centre du monde déclare :


"La victoire de #Trump, c'est aussi une défaite majeure de la lutte contre le réchauffement climatique. Une défaite pour cette planète. "
Pourquoi cette restriction ?
C'est une défaite pour l'Univers, et au delà !







GAG : "L'Elysée n'avait préparé qu'une seule lettre de félicitations à Clinton."
"La veille des résultats, les conseillers de François Hollande n'ont préparé qu'une seule lettre de félicitation adressée à Hillary Clinton" . RTL
La clique du Hollandais Volant et du Bas-Catalan, n'a pas envisagé une seule seconde une victoire de Donald Trump !
 Quelle abominable sanglante et puante racaille !
Dans le même ordre d'idée, l'Immonde reconnaît qu'il n'a pas prévu la victoire de Trump, qu'il n'a pas pris le pouls de l'Amérique profonde. Tu m'étonnes !  Leur dernier reportage avait lieu à New-York, au milieu de la lie cosmopolite, de là ils concluaient à l'Hillaryté gagnante.  New York étant à 80% clitonidien.  De la même manière que Paris votait à 80% OUI au traité constitutionnel, cependant que la France entière disait NON à 55%!

Allons ! Ce n'est qu'un début.  Le plus dur reste à faire.



mercredi 19 octobre 2016

Kali-Klinton



Vu sur Fragrans Feminae

Existe-t-il un lien entre la gynécocratie et la victoire prévisible, abjecte, monstrueuse, de Clinton, l’Hilare-hystérique sorcière ?
 Oui à tous les niveaux.

 Au niveau fondamental. Cause finale
Clinton est l’élue du Kali Yuga. La Sorcière de l’âge sombre annoncée par la Tradition.

 Niveau idéologique. Cause formelle
Règne supérieur, sacerdotal, du féminisme, en tant qu’argument massue, devant lequel le temporel s’incline.

 Niveau effectif. Cause efficiente
Le vote des femmes.  Très nettement M votre Trump, F Clinton.

 Révulsion rationnelle, abjection morale, horreur esthétique.

 Ténèbres. L’Élue, mise en chaleur thermonucléaire, rira !  Et l' hystérique Hylarité surplombera les cataclysmes atomiques.

Le vice béant et puant, ménauposé,  va pisser sur la morale.

 La Vieille Femme, de genre encore femelle, mais de sexe plus, élevée à la déchéance suprême.


dimanche 2 octobre 2016

scholies

§. Pour supporter de vivre ici-bas il faut au moins un espoir. Le mien vacille comme la flamme tremblée à la chandelle mourante.  Prête moi ta plume pour écrire en vain. Je crains que mon livre ne paraisse pas, finalement, ou que s'il réussit à voir le jour un jour ce soit par le forceps puis dans des langes souillés de mécompréhensions.
Cependant que tant de merdes naissent dans les louanges!

§.  C 'est la vie !  Il faut accepter, elle a toujours été dure et cruelle aux gens de ma race.

§. L'essence du "monde moderne" c'est la gynécocratie. J'ai écrit contre elle la diatribe la plus extrême, la plus définitive, sous une forme raffinée. Cela ne passe pas.

§. Un peu d'esprit réactionnaire pousse vers l'extrême-droite. Beaucoup en éloigne.

§. Un caractère viscéralement antidémocratique ne redoute pas l'égalité, mais la familiarité, qui corrode et corrompt, qui est l'égalité de Procuste. Un faf est familier. Si ses idées sont de droite son mental est de gauche. L'anarchiste véritable au contraire défend des idées socialistes mais possède une mentalité d'aristocrate.

§. Pour le vulgaire le mépris n'est pas un art, mais un commerce, puisqu'il a du mépris à revendre. Il méprise énormément pour augmenter sa boursouflure, car il aime l'attitude du mépris.
Mais l'altitude du mépris lui restera à jamais inatteignable.




mercredi 21 septembre 2016

Choses vues et sues

Regardé sur le site E&R, un peu de la video de Dieudonné.  Parlant des militaires et des policiers il dit :  "je suis pas certain que lorsqu'ils vont leur demander de tirer sur le peuple ils vont suivre les ordres comme ils le faisaient en 14-18."
Et bien moi je suis sûr du contraire.

Tout d'abord en 14-18, les soldats n'ont pas tiré sur le peuple, où va-t-il chercher ça Dieudo, ha ha ha, mon Dieu qu'il est drôle, quel humoriste !
C'est la gendarmerie qui tirait sur les soldats, par derrière, pour qu'ils marchent plus vite aux charniers, pour faire durer plus longtemps l'hécatombe.

Si l'exemple de la guerre de 14-18 vous paraît trop lointain, ou trop abstrait, veuillez je vous prie considérer que la néo-soldatesque sise près le Bataclan, pendant le carnage, est restée l'arme au pied, sans intervenir.  Normal, c'est un territoire occupé le Bataclan, une enclave, inviolable comme une ambassade, c'est là qu’a lieu un gala annuel pour le bien-être des soldats de Tsahal.
L'armée française de l'OTAN n'aurait pu intervenir au Bataclan sans déclaration préalable de guerre à Israël.
Est-ce, un seul instant, concevable ?  Sûrement pas. Alors, "éternellement", n'est ce pas....

Je vous l'ai déjà dit, dans le douzième arrondissement, nos soldats et soldates montent une garde vigilante devant les locaux  Beth Loubavitch, rue de la Gare de Reuilly.
La secte loubavitch affirme entre autres choses, « que seuls les Juifs sont des êtres Humains et que les "goïm sont de la semence de bétail"qu’il y a moins de différence entre un goy et un animal qu’entre un juif et un goy ? »
Et je sens bien que les femmes à Famas et les noirs sous l'uniforme, qui me regardent avec suspicion quand j'ose passer devant le périmètre de sécurité des locaux loubavitchs, pour aller à la bibliothèque Picpus, ne feraient pas de difficulté pour m'abattre comme une sale bête.
Puis, rentrés dans leurs cases, ils se prépareraient  des sale-selfies à la quenelle. Faire la quenelle ne signifie rien du tout. Ne prouve rien.
La révolution n'est pas un spectacle comique.

Ensuite, quand ils ont suffisamment gardé les Loubavitchs, les militaires s'en vont d'un pas martial prendre faction devant l'Hôpital Rotschild, rue de Picpus, protéger les longévités agoniques des Humains nonagénaires et cacochymes en phase terminale.
Juste entre les deux sites, à l'angle de la rue de Picpus et de la rue de la Gare de Reuilly se trouve la grande bibliothèque municipale de Picpus, cinq étages de bibliothèque, vidéothèque, section jeunesse...là, nulle garde, nulle protection, on y entre comme chez Jean Moulin.
La Bibliothèque a beau s'être récemment renommée Hélène Berr, les zautorités ne sont pas dupes, n'y fréquente que de la semence de bétail.  Peuvent crever la gueule ouverte ces veaux.
Que ceux qui ont des yeux VOIENT.

Aux policiers maintenant. Ils ont mis, ces très coûteux représentants du Désordre Établi, une heure un quart pour arriver au Bataclan ! Faites le I7, dîtes "Allo il y a une croix gammée dessinée au stylo bille à 800 mètres de la synagogue de la Roquette." Vous n'aurez pas raccroché que déjà vous entendrez hurler les sirènes...
Non, vraiment, pas besoin de tirer sur le peuple, faut laisser faire les collègues djihadistes.

dimanche 18 septembre 2016

Rentrée

C'est aussi la Rentrée pour Alain Soral, prévenu par courrier du ministère de l'intérieur, que les services de renseignement avertissent qu'il devrait faire gaffe, se gaffer des gaffes, et plus particulièrement de leur subdivision du Département Anti Extémistes Socialement Haineux, qu'il se tienne à carreau sinon il va passer à l'as, que s'il continue comme ça il va se faire tuer par un des agents du daech.
Les services de renseignement renseignent, les services tout court sévissent, et leurs affidés saignent les récalcitrants.
A bon entendeur...



Soral et Cazeneuve en un combat venimeux


mardi 13 septembre 2016

C'est la rentrée

Salut à tous. C'est la rentrée.
J'ai laissé le bloc à l'abandon, et ça ne se fait pas, je le sais bien. Me restera-t-il une poignée de fidèles ? Je ne les mérite pas.
J'ai rompu les amarres quelque temps avec tout le virtuel, marre de surfer sur les ondes vagues du net, j'ai sillonné le vague du monde. Sans Ail-phone et sans PC, j'ai reposé ma tête dans les fines herbes,  j'ai vu des monts, des forêts, j'ai écrit un nouveau livre, à la main, sur un cahier.
Remerciements à  L. d'avoir prodigué généreusement son précieux temps et usé sa très mauvaise vue sur mon écriture abominable pour le taper, le vilain !
Il paraîtra tantôt, début novembre, je touche du bois, et même du fer, Tocar ferro  disent les Catalans.


Auparavant, le 1er septembre, c'était la Rentrée scolaire dans le cadre de la Réforme du collège de Madame Belkacem. “Réforme” difforme, insensée, qui précipite les parents d’élèves et les professeurs dans la consternation. Il faut lui reconnaître ce mérite : dans ce domaine, l’école publique (comme d’ailleurs dans tous les autres, sécurité publique, hôpital, immigration, chômage, etc.), pour ce qui est de l’acharnement thérapeutique, du travail opiniâtre de dissolution et de ruine, le gouvernement du Bas-Catalan laisse loin derrière lui tous ceux qui l’ont précédé.
 Aucun autre, pour le moment, ne peut sérieusement s’aligner.
 On attend la fin de ce pouvoir comme on espère la guérison d’une maladie mortelle, sans vraiment trop y croire.

 Mais il convient de faire la part des choses, et se souvenir de la maxime si belle et si vraie que Pangloss aimait à répéter à Candide : Tout est pour le mieux dans le pire des mondes. [1]

 Ainsi, les gentilles Mineures dessalées que l’on aime à regarder courir en criant de joie, poursuivies par les Mineurs prognathes et priapiques à la sortie des collèges, auront un enseignement digne de leurs petits pertuis, grâce aux soins vigilants de la néo-Tartuffe, passée du ministère des Femmes savantes à celui de l’École des Femmes.
C’est à ça que l’on juge de la véritable Culture.

 Après les avoir déliées de la honteuse appellation moyenâgeuse de Mademoiselle, Madame Belkacem les débarrasse maintenant de l’inadmissible contracture des vieux programmes scolaires sexistes et machistes, en les nettoyant des scories grecques et latines, et de l’allemand cette langue impardonnable, et de toutes ces histoires à dormir debout qui n’intéressent plus que de vieux fossiles nostalgiques d’un âge révolu. Il faut vivre avec son temps, quand même !

 Fort heureusement l’enseignement de l’Islam reste un “module” obligatoire.
Néanmoins l’étude de la Chrétienté au Moyen Âge et celle du siècle des Lumières deviendront optionnelles. Avec cette réserve que l’enseignement des "débuts du christianisme" et des "débuts du judaïsme" seront encore au programme en sixième, comme le préconise le CSP.
 Cette réserve réjouit les représentants des syndicats de l’enseignement catholique sous contrat, qui ont soutenu la "réforme" Belkacem, pourquoi ne pas le dire ?

 Le siècle des Lumières facultatif c’est très bien. Car c’est l’enseignement de l’incroyance, de l’esprit critique et de l’ironie voltairienne, soit l’irrespect envers les valeurs les mieux établies des superstitions sémitiques millénaires, qui, avec la drogue, l’alcool, la sodomie (optionnelle) et le Renseignement, formatent l’esprit des combattants qui font du bon boulot en Syrie, à Nice, et ailleurs.
Si l’on rapproche cette mise sous le boisseau du matérialisme français du XVIIIe, avec celle de l’étude de la Chrétienté du Moyen Âge, on voit que rien n’est tout a fait blanc, ni noir, mais bistre. 

Quant au Grec et au Latin, quelle absurdité ces langues mortes, alors que la vie est là, barbarophone, qui nous interpelle de ses borborygmes rauques in the street. Le grec et le latin « sont une forme d’enfermement dans la culture classique » expliquait la jaune consœur de Belkacem, Fleur, quand elle fut Ministre de la Culture, et qui reconnaissait loyalement n’avoir pas ouvert un seul livre depuis des années.
 Ah, Fleur c’était le bouquet !
 À l’encontre de la « Culture cultivée » [SIC] qu’elle dénonçait et qui serait celle des dead white males haïs par le tout puissant Féminisme hamériquain, Fleur Pèlerin prônait la « culture inclusive ». Quand on lui demandait ce que c’était, elle répondait dans un français impeccable : the street art !
Soit l’art de la rue : tags, crachats, kalachnikov, bataclans et étrons canins !

 À la place du réactionnaire cursus scolaire, les zélèves auront désormais droit aux coups de cutters dans le plexus solaire.
 Bien sûr, toute cette basse besogne se fait au nom de « l’égalité et de la souplesse », car telle est « la philosophie » de cette nouvelle "réforme".
 Souplesse dans l’espace-temps avec, au fur et à mesure du voyage scolaire, des « offres » de thèmes, variés, à choisir par délibérations, pour la durée d’un seul trimestre !
 Pourquoi dans la foulée ne pas constituer le Trimestrat en politique, au lieu du long quinquennat qui lasse tout le monde ?

 Le but : en finir une fois pour toutes avec les psycho-rigides programmes nationaux. L’Élasticité du vagin au lieu de la rigidité du phallus.
 N’est ce pas aimable ?

 Perplexes, les parents qui livrent ainsi leur progéniture à l’entrée d’un collège s’interrogent :
—  Est-ce que notre enfant de douze ans sera avec d’autres enfants de son niveau ?
Ou bien "en classe" avec de solides reproducteurs de quinze ans, qui lui enseigneront les bonnes manières en matière de langues fourrées.
—  Combien y aura-t-il d’heures, de minutes plutôt (en ces modules il faudra compter en minutes, voire en secondes de cours), de math, de français, d’histoire, de sciences ?
 On ne sait pas, on ne comprend plus rien !  Et c’est tant mieux, l’étonnement est la base de la philosophie !
—  Aura-t-il au moins, notre chère tête brune crépue, de vrais professeures, qualifiées, ou du moins un tout petit peu du métier ?
Ou des CDD analphabètes, momentanément détournés du Djihad par les soins diligents du ministre de l’Intérieur ?

 Bernard Cazeneuve le 26 mai 2014, soit un an et demi avant le Bataclan : « Aux jeunes qui partent en Syrie, je veux dire qu’il y a 1000 combats à mener dans la République, pour la France ! »
 Appel entendu, en urgence, à ce qu’il semble.

 Une seule chose demeure certaine, nos enfants apprendront moins, c’est-à-dire seront moins aliénés par l’instruction, au sens réactionnaire du mot, mais en revanche recevront davantage d’éducation, d’éducation à la tolérance et à l’ouverture par balle, qui leur servira dans la vie réelle à bien tolérer les exterminations séquentielles que l’Etat nous promet par tous ses orifices.
 Il faut bien que jeunesse trépasse !

[1] En réalité la maxime de Pangloss, reprise de Leibniz est : Tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes. Voltaire. Candide ou l’Optimisme.

mardi 26 juillet 2016

Cassandre

Or donc, après le territoire occupé du bataclan, c'est l'enclave niçoise qui fut le théâtre de la guerre civile que mène l'Etat contre le peuple.
Nul n'est prophète en son pays, sauf moi.

Comme on est jamais si bien servi que par soi-même, laissez moi vous rappeler que le lendemain de l'élection de Hollande, donc il y a plus de 4 ans,  j'écrivais Pire que la gauche plurielle, une analyse du nouveau gouvernement en laquelle nous pouvions lire  : "Le gouvernement Hollande va devoir être un gouvernement de choc contre la population laborieuse. La nomination de Valls à l’Intérieur n’a pas d’autre sens. Et ce gouvernement de choc va s’appuyer sur la petite-bourgeoisie et l’Immigration, la fraction haineuse de l’immigration."
Et qui se concluait de la sorte : " il s’agit de la préparation à une guerre sans merci, celle que va livrer le pouvoir, son Etat, ses flics et ses cagots de tout acabit, contre les derniers hommes libres."

Dès la nomination de l'Ibère à Sion chef du gouvernement, je commettais un Arriba español !
Qui commençait par :  "Hollande a dit Je vous ai compris, vous voulez que ça change, alors je vais mettre un flic sioniste à la tête du gouvernement pour vous apprendre à vivre."
Et se terminait ainsi : " Le ver est dans le fruit, l’ennemi à l’Intérieur, M. Valls assis dans son bureau. C’est là que Hollande est allé le chercher pour faire son "gouvernement de combat" contre le peuple. Car voyez vous ma chère, la prise du gouvernement par le Ministre de l’Intérieur prélude à la prise de la France par le premier ministre."

Et l'entretien que j'ai donné il y a quelques mois à Rivarol se terminait ainsi :

Que vous ont inspiré les attaques terroristes du 13 Novembre ?

Ces tueries inaugurent un brutal basculement dans la situation politique. Des moyens de guerre civile ont été employés contre le peuple français, pour instaurer un état policier. C'est un coup d'état.
Il faut distinguer la Terreur de son Spectacle, qui éclatait au Stade de France ! Ailleurs, les carnages n'ont pas été improvisé mais au contraire planifiés, hyper organisés. Si nous ne réagissons pas à temps, la France finira réduite en un vaste bataclan, comme Gaza.
Les morts et les blessés, plus de six cent, sont quasiment tous des petits blancs salariés de la classe moyenne. La physionomie des victimes ne correspond pas du tout à celle de la foule ordinaire du quartier populaire qui fût le théâtre de ces abjections. Il y a donc eu tri. Sélection sur des critères de classe et de « races », bien que ces dernières aient été abolies le 16 mai 2012 par décret gouvernemental.

Un réveil du peuple français est possible pour vous ?

Possible dans l'absolu, mais cette possibilité reste aléatoire, rien ne l'assure. Et même tout nous assurerait du contraire. L'heure est tragique et nous n'avons plus rien de tragique.
Hier, après le Spectacle des Tueries-hebdo, on avait appelé la populace à descendre dans la rue, pour qu’elle fasse sa Charlie. Aujourd’hui le pouvoir s'en méfie un peu quand même ! parce qu'on craint toujours les réactions d'une grosse bête quand on touche à ses petits. D’autant qu’on lui promet : « Ce n'est qu'un début, ça va saigner encore et encore ! »
En l’État, Monsieur Popu me fait penser au petit Chaperon rouge du conte, au lit avec le méchant loup. Il se méfie des grandes dents de l'« état d'urgence », il s'étonne des inutiles bras longs des « services », mais il ne soupçonne pas (encore?) le mufle sanglant sous le masque.

à lire : Entretien d' Alain Soral dans Rivarol 


dimanche 10 juillet 2016

gueule de poteau de bois



VIVE LE PORTUGAL!
C’est un vrai régal !

Le gibier du bataclan n'a plus,
Comme il est de la balle au pied dévolu,
Qu’à retourner se prendre des balles
Par les hommes de mains cannibales
De ceux, qu’en vain peuple, il élut
Et qui prirent un  pouvoir absolu.

(On aurait pu dormir grâce aux portugais
c'était une perpective plutôt gaie,
mais hélas les cannibales
foutrons leur merde tribale
ce soir encore par les rues
où ils ont en nombre accouru.
Et, cependant, les flics dorment
afin de reconstituer leur force de travail
pour cogner sur les ouvriers qui forment
les légions contre la loi travail )



jeudi 7 juillet 2016

Deutschland uber balles !


Délivre nous ce soir du bleu, puisque telle est, dit on, la couleur de l'équipe  licrasseuse, aussi bleue que peut l'être la crasse que laisse l'Athlète qui sort du bain.

23 H :  François Hollande a gagné ! Merci mamie Angela !



ça va gueuler toute la nuit ! Oublié le bataclan !
Déjà ça klaquesonne à mort, comme pour l'élection du faux-françois !


et la plus grosse, la plus puante, c'est celle du  fouteballe !

23 h 37 . Sondage LPQI: la cote de popu-hilarité de Hollande remonte de 12 points


vendredi 24 juin 2016

Leave !

« Je pense que nous sommes déconnectés de la classe ouvrière blanche » 

 C’est par ces mots riches de sens que Stephen Crabb, secrétaire d’Etat au Travail et aux Retraites a reconnu la défaite de l’Union américaine, plus connue sous le nom aimable d’union européenne. 

L’assassinat de Cox aura donc été vain.
 C’est Cameron qui est mort. Enfin, il faut l’espérer, mais avec la Ploutocratie, il faut s’attendre à tous les coups fourrés.
Nous autres, nous en savons quelque chose ayant dû avaler la couleuvre en 2005, et c’est dur à digérer une couleuvre pour un "froggy."
 Il faut dire aussi que si la France entière ne fut qu’une clameur NON !, à Hidalgo-City, à l’époque Delanoé-ville, le vote OUI a frôlé les 80% !
 Et pour réussir à enfiler par derrière le grand corps démembré de la France, il faut en passer par son pétulant Anus parisien.

 Le ministre Crabb encore :
 « Lorsque nous avons essayé de leur expliquer à quel point le marché unique européen était bénéfique pour leurs emplois, leurs moyens d’existence, nous n’avons pas transmis ces messages avec succès. »
 Really ? Ils ne vous ont pas cru les benêts. Ils préfèrent ajouter foi à ce qu’ils vivent, aux millions de "petits boulots" et d’emplois précaires sous payés, aux licenciements, à la précarité, à la vie chère à la barbarie. Quelle bande d’abrutis ces prolos blancs, il est vraiment temps de les remplacer définitivement !
 Il faut dire qu’ils avaient mis le paquet : Les trois syndicats Energie & mines, celui des conducteurs de locomotives (ASLEF), des cheminots (RMT), des boulangers (BFAWU), avaient appelé à voter pour le retrait de la Grande-Bretagne de l’Union européenne !

 La "classe ouvrière blanche" de Grande Bretagne vient donc de passer le témoin aux ouvriers français.
 C’est un encouragement à tenir bon, pour défendre le Code du travail, c’est à dire un pilier fondamental qui maintien la nation et la classe qui oeuvre.
 Jusqu’au retrait, jusqu’à la défaite du gouvernement Hollande-Valls-Cazeneuve !

 N’oublions pas que ce gouvernement, en dehors de ses traits spécifiques, cette odeur sui generis qui n’appartient qu’à lui, n’est qu’une marionnette de l’Union dite européenne. C’est là qu’est le Centre de l’Entreprise funéraire qui racle nos nations jusqu’à l’os, avant de les jeter, squelettes s’entrechoquant et cliquetant, dans la fosse commune.
 C’est ce Centre décisionnel qui a manigancé l’el-Loi Khomri, qui peaufine son « accord de libre-échange transatlantique entre l’Europe et les Etats-Unis », [le kafkaïen TAFTA], traité qui parachèvera l’allégeance et la servitude économique de l’Europe.

 « Passé le choc du séisme historique du Brexit, l’Union européenne pourra-t-elle survivre à l’humiliant désaveu infligé au projet d’intégration né des ruines de la Seconde Guerre mondiale ? » interroge Paris Match ?
 Bonne question ! (à ceci près que le « projet d’intégration »n’est pas né des ruines de la guerre, mais de la reconstruction des trente glorieuses ; il fallait revenir au pla Morgenthau, rétablir les ruines ! Telle est l’essence de l’U.E),
 À nous (les peuples) d’y répondre !

 Leave ! Life !

jeudi 23 juin 2016

unos días en Sevilla

à  Ibara,
¡Hola Caballero ! Andalucía !


¡Arriba España!









Elle est toujours là,
Ma muse alanguie,
Et sa main s'appuie 
Sur mon crâne las.

Ma muse du Styx, 
Près de moi repose, 
Sur mon crâne pose
Sa dextre d'Onyx.



Puis, ça repart ! Hombre !



mercredi 15 juin 2016

Vacance

Pardonnez moi, si j'ai laissé encore tomber le Bloc sur mes pieds fourchus, parce que je suis un peu dans un nouvel ouvrage;  et puis pour m'alléger, comme après l'orage l'air, et partir enfin dans le vent, le cœur moins lourd, sur ma vieille Bonneville.





vendredi 3 juin 2016

Sans les transitions

Le loup famélique de la fable ne perd pas son temps à expliquer son être au chien. Il fuit... et sera tué tantôt par le chasseur.

 « Un chien vivant vaut mieux qu'un lion mort » dit l'Ecclésiaste, pour la raison que la mort égalise absolument. Et tant qu'il y a de la vie il y a l'espoir...
Mais ce ne peut être que l'espoir de devenir un bon chien; ou d'avoir beaucoup d'os; un idéal de chien.

Aussi l'orgueil aristocratique fait dire le contraire « Mieux vaut être un lion mort qu'un chien vivant ».
C'est ce que dit Evola. Et ce que dirait Ibara j'imagine.
Ibara aime la Mort, parce qu'il croit dans la pérennité de sa nature.

 Mais l'Ecclésiaste réduit toute espérance et tout orgueil de l'avoir été. Car ajoute t-il « Les vivants, en effet, savent qu'ils mourront; mais les morts ne savent rien, et il n'y a pour eux plus de salaire, puisque leur mémoire est oubliée »
 Cette vision est subjective absolument. Oubli de soi et mémoire oubliée = rien.  Le salut est seulement dans la vie, tant qu'on vit, dans la naturalité vécue. La quoddité  ne résiste pas au néant. Et la quiddité est un concept vide.
Avoir été n'a plus de sens.  Un lion mort ne vaut pas mieux qu'un rat crevé. Un cadavre vaut un cadavre.  Feu Leo n'est absolument plus rien du tout, et l'avoir été se trouve nihilisé par la mort.
On n'est pas un lion mort, on n'est qu'une charogne qui pue.

 Seule l’œuvre peut sembler sauver l'avoir été.
Mais l’œuvre est objet, peut être détruite, falsifiée, signée par un autre, dénaturée, à jamais incomprise.
Est elle la substance de l'auteur cristallisée ? Notre époque qui est la tentative de donner raison à l'Ecclésiaste, répond non. Paradoxalement, ce temps du culte de la Mémoire affirme la nihilisation de l'avoir été.
Cette seconde mort, absolue, c'est la gynécocratie. [Comment ? Pourquoi ? Démontrer! ]
 La gynécocratie donne raison au nihilisme subjectif.

Il faut être métaphysicien pour s'étonner comme Leibniz que "quelque chose existe plutôt que rien".
Ici encore, on dirait que je saute du coq à l'âne, après être passé du lion au chien.
J'ai seulement escamoté la démonstration, pour ne laisser que l'intuition. Voici le cheminement : Dieu seul peut annuler sa création. Mais peut il faire qu'elle n'ait pas été ? S'il ne le peut il n'est pas omnipotent donc dieu n'existe pas. Seul Dieu, l'Être, pourrait annuler l'avoir été. D'un autre côté sans l'Être pas de quiddité... etc., etc.



lundi 30 mai 2016

le nouveau Kalifat


Quand je pense que me suis fait traiter de complotiste et d'antisémite pendant plus de deux ans à propos de la Scierie par des langues de bois, parce que j'affirmais que le Califat islamique de Daech n' était que la créature de l’impérialisme US, lui même au service de l'Israël.

 Or, un nouvel E.mail d'Hilary Clinton, rendu récemment public, confirmait que l’administration Obama avait non seulement provoqué la guerre civile en Syrie, délibérément, mais pour la raison que c’était la « meilleure manière d’aider Israël »!

A peine cette nouvelle sue, nous apprenions que le nouveau président du CRIF se nommerait  Kalifat !
N'est ce pas extraordinaire ?

samedi 28 mai 2016

Orfeenixe


                                        Cet avatar de ma Nixe infidèle
ouvrant par cliquetis sur l'offrande de pivoines blanches
(à moins que ce ne fussent des roses)
à un Chapeau de bonne Guerra,
qui n'est peut être pas aussi peu hébraïque que celui que portait l’Éternel
éternellement lié
en l'Israël terrestre,


bien qu' ELOHIM ELOHIM !


 portât tous les pluriels du Monde
(Mais peut être pas la pluralité des mondes invisibles)
et laissât soupçonner le retour aux sources.

Or donc, je puis adresser à la nouvelle Epousée
qui a fini par convoler en justes noces
ayant auparavant convolé maintes fois en d'autres liens et hyperliens
en notre vieille Toile
mon épître aux galateeratos.
Celle d'un apôtre apostat non-juif  aux Juifs
dont ceux ici unis par les liens sacrés du mariage.
Non gué.

Et lui souhaiter tout le bonheur possible
celui que les Elohim goûtaient sans doute
auprès de leurs déesses.
Félix

Je joins ma bénédiction à ces vœux, si tant est que l'on puisse considérer comme votives certaines divagations de mon fils, non pas unique mais préféré. ( Et pourquoi n'irais je pas, à mon tour, feindre la mécompréhension, par amour des parenthèses ? Tant qui se ressemble s'assemble, à la fin.)
Mais de la m^me façon qu'il y eût des hymens mystiques non sanctionnés par l'Etat civil, peut être y a t-il aussi des souhaits sincères que le bon gros Bon Sens ne reconnaît pas.
L'abbé Tymon de Quimonte.

mercredi 25 mai 2016

Saint Barthélémy

Clic sur image pour y croire


De Lausanne, où j'étais ce viquande, je vous ai rapporté ce daguerréotype pris en l'Eglise Saint-François, pour que vous admiriez ce Calvaire, monument rayonnant de piétéqui nous fait communier en esprit à la Passion de Notre Seigneur Jésus.

Cette représentation plastique et mystique de la Crucifixion révèle la très haute spiritualité de son auteur, ainsi que celle de la théologie protestante contemporaine.
D'ailleurs, l’Association de l’hospitalité artistique de l'église Saint-François nous rappelle que : "la spiritualité protestante d’une part, et la culture contemporaine sous toutes ses formes (arts plastiques, musique, danse, littérature …) d’autre part, se rencontrent, dialoguent, se questionnent et s’enrichissent réciproquement."
D'une manière générale, la démarche de "l’Association de l’hospitalité artistique s’inscrit dans l’héritage artistique repérable à Saint-François : les grandes orgues, les peintures décoratives d’époque, les vitraux de Clément Heaton, d’Alexandre Cingria, d’Ernest Biéler, de Pierre Chevalley; la monumentale porte en bronze illustrant le tétramorphe de Katharina Sallenbach.
Elle poursuit ses activités dans un esprit d’ouverture, sans prosélytisme, ni repli identitaire
."
Voilà qui réjoui le cœur endurci du pécheur à la ligne droite.

détails 

Nous le savons, les édifices religieux investis par nos amis Protestants furent expurgés de tous les saints, les anges, et autres inadmissibles Vierges de pierre qui alourdissaient nos églises comme autant d'accablantes idoles païennes.
Cette austérité esthétique, ce dépouillement, pouvait passer dans un premier temps pour un essor vers la transcendance, vers l'épure, de qui s'efforce à l'inexprimable.
Mais ce n'était que l’expression de la métaphysique capitaliste contre la foi populaire. Le culte mathématique, la sorcellerie d'un nouvel ordre magique basé sur les chiffres et l'abstraction monétaire.
Il est vrai que pour contrer la Réforme protestante du XVIe siècle, la Réaction, la Contre-réforme catholique, la plus inféodée au Vatican, a pris la forme regrettable du hideux Baroque, qui n'est que la parodie de la piété féodale.  (Cependant en France, et c'est heureux, le Classicisme l'a emporté face au Baroque, au rococo, parce que la monarchie refusa la soumission vaticane absolue.)

Telles furent mes pieuses ruminations au pied d'un Calvaire sur lequel gît un Christ éclectique, Jésus vaudois et vaudou, hybride de Balai de sorcière et de Pneu crevé.
Dont le sens m'apparut, ardent, lumineux : Du balai pour une époque crevée !



mardi 24 mai 2016

Sororité aryenne en marche

Sur RFI on peut lire ceci : "Ce qu’on peut constater ... c’est la fracture qui sépare aujourd’hui l’Autriche. 86 % des travailleurs ont voté pour l’extrême droite quand 80 % des Autrichiens qui ont un diplôme universitaire ont voté pour Alexander Van der Bellen.
C’est aussi une fracture géographique : les campagnes ont plébiscité Norbert Hofer alors que les grandes villes et surtout Vienne ont plus massivement voté pour son concurrent écologiste. 

Enfin 60 % des femmes ont voté pour Alexander Van der Bellen, 40 % pour Norbert Hofer. Un chiffre qui s’inverse chez les hommes."

Ces conclusions vont dans le m^me sens que celles que j'avais offertes dans un mien texte relatif au vote féminin après les zeuropéennes de 2009, et que vous voudrez bien relire :  Suffragette c'est chouette.



La Véritable sororité aryenne







lundi 16 mai 2016

Une question d'honneur


En un sens c’est pas plus mal que les kroumirs du Bas-Catalan soient passés en force à grands coups de 49.3 magnum, grâce un véritable coup d’État institutionnel ! Cela ne laisse d’autre alternative aux ouvriers, syndiqués ou non syndiqués, que la grève générale interprofessionnelle reconductible jusqu’au retrait. Ou la capitulation sans combat.
Il y va de l’Honneur de la classe ouvrière.
Pas d’échappatoire possible, ni motions de censure ni autres ruades impuissantes des baudets parlementaires.
Mais obtenir le RETRAIT de cette loi croupie par des moyens extra-parlementaires reviendrait à faire reculer le gouvernement de guerre civile à tel point que son chef tomberait nécessairement.
C’est bien ce qu’a compris Mélenchon, qui déclare au JDD : « Il faut que la loi travail soit retirée et que Valls s’en aille. »
 Une fois n’est pas coutume, Dieu veuille exaucer l’Ex-Sénateur, le Tribun suprême des volailles rouges. Quant aux députés « frondeurs » du Parti socialiste, ils n’ont pas voté la motion de censure, au prétexte qu’elle était celle de la droite, preuve que leur soi-disant opposition à la loi Kroumhi c’était du flan. Du Flamby.

Cependant, comme disent les vieux militants ouvriers, « on ne déclenche pas une grève générale en appuyant sur un bouton ». Il faut un appel centralisé des appareils.
 Or jusqu’à présent les Mailly et autres Martinez, derrière un langage radical, ont tout fait pour essouffler le mouvement par l’appel à des « journées saute-moutons ».
 Cependant, depuis près de deux mois, depuis le million du 31 mars, bon an mal an, les travailleurs ont manifesté par centaines de milliers le 28 avril, le 1er mai, le 9 mai.
 Malgré la lassitude, malgré le spectacle de la contestation imaginaire des insomniaques des nuits débiles, ou les violences journalières anarcho-préfectorales, se maintenait, pure et simple, claire et nette, la volonté de défense du Code du travail, tel quel.

 Le vieux Code du travail c’est un très gros morceau à emporter. Ce sont des décennies de lutte de classe cristallisés dans une Loi qui structure la classe ouvrière, et donc participe à fonder la France comme une Nation, et non comme une pouillerie, sans autre loi que celle du fric.
 Un pays industriel et civilisé et non un bassin d’emploi en lequel les petits et gros poussahs vont puiser puis rejeter dans la vase, au grès de leurs appétits, des intermittents de la vie.
Aujourd’hui le capital financier détruit le travail et mène à la précarité généralisée. Le vieux Code du travail qui était une arme contre cette précarisation se devait de disparaître comme survivance anachronique.
Comme les frontières, le mariage monogamique, la décence ou l’instruction publique.
Désormais les « droits à la personne » remplaceront les droits collectifs gravés dans la loi.
Et derrière tout ça, on ne le dit pas assez, le démantèlement de la Médecine du travail.
Un recul historique !

La gloire méprisable d’avoir arraché ce gros morceau de la rude gueule du molosse populaire reviendrait donc à un roquet bichonné, éternellement tenu en laisse par Madame la Baronne Rothschild ?
Le gouvernement post-bataclan, le plus faible de toute la Ve République, passe en force, et impose sa Loi ! Comme il a imposé un état policier ! Tel est l’apparent paradoxe.


Des grèves commencent dès ce soir avec les Routiers qui sont pas sympas. Demain dès 5 heures un appel au Blocage de la raffinerie de Donges. Sept syndicats appellent à deux « journées de grèves » mardi et jeudi. À la SNCF appel à la grève à partir de mercredi. Idem dans les aéroports.
Ça commence !
— Quoi ? Le bordel qui va emmerder tout le monde, pour rien, ou une vraie grève générale ?
Nous verrons si le torrent de la colère populaire saura déborder sa chiourme syndicale, ceux qui plastronnent aujourd’hui à la tête des manifestations, comme ils plastronneront demain sur les chars de la Gaie-prayde ?

La classe ouvrière sera-telle aussi aisément mise à genoux que la bonne bourgeoisie anti-mariage gué, dont c’est la posture naturelle. N’ayant pas su se défaire des dirigeants qui l’abêtirent, cette dernière fut facilement pliée en deux par Valls et ses Femen.

 Le million du 31 mars et le million de la Manif pour tous ont ceci de commun qu’ils sont des lions dirigés par des ânes.


dimanche 15 mai 2016

Entretien avec l'abbé


Avant hier je demandais à l'abbé Tymon de Quimonte son jugement de doctrine à propos de l'injonction qui nous est faite par l'Eglise non seulement  de pardonner à ceux qui nous ont offensé, mais d'"AIMER NOS ENNEMIS" !
Voici donc sa réponse, et le petit échange qui s'ensuivit.

L'abbé Tymon de Quimonte : Mon fils, Saint Augustin nous dit "En aimant ton ennemi, tu souhaites qu’il te soit un frère." Ce n’est pas ce qu’il est que tu aimes en lui, mais ce que tu veux qu’il devienne.

 Félix : On devrait donc séparer un traître de sa traîtrise, un scélérat de sa scélératesse. Et aimer le scélérat, le traître ? C'est répugnant. Et idiot. Cela sous entend qu'il pourrait être autre chose que ce qu'il est.

L'abbé :  Non pas ce qu'il est mon fils, mais ce qu'il paraît!.

Félix: Vous confondez, l'abbé, l'apparence, l'illusion des apparences, avec l'apparaître qui manifeste l'être. « Toute essence, toute vérité, pour ne pas rester abstraction pure, doit apparaître » dit le Titan [1]

L'abbé : Cela est vrai abstraitement. Mais pour l'homme réel, vivant, seul compte ce qu'il fait, maintenant ! Tout homme à le choix de ne pas faire le Mal. On ne devient un traître que parce qu'on a choisi de trahir.

Félix : Non , monsieur l'abbé ! On trahit parce qu'on est un Traître !

L'abbé : On ne naît pas traître, on le devient... de par la tentation.

Félix : Doit on vous nommer dès à présent monsieur l'abbé Tymone de Beauvoir ?

 L'abbé : Et dois-je vous appeler Félix le Facétieux ?  Heureusement, je vous aime comme mon plus prochain, et donc vous pardonne volontiers  cet excès de raillerie qui est un trait de votre caractère, et nullement votre substance éternelle.
C'est votre manque de charité qui vous fait enfermer un pécheur dans une détermination absolue, comme la traîtrise.

Félix : On a la trahison dans le sang. La femelle par exemple est une traîtresse née. Certes ce n'est pas la détermination la plus profonde, mais une caractéristique de cette détermination.

L'abbé : Augustinus dit encore : « Tu vois ton ennemi s'opposer à toi, t'accabler de paroles mordantes, se rendre rude par ses affronts, te poursuivre de sa haine. Mais tu es attentif au fait qu'il est un homme. Tu vois tout ce que cet homme a fait contre toi, et tu vois en lui qu'il a été fait par Dieu. Ce qu'il est en tant qu'homme, c’est l’oeuvre de Dieu ; la haine qu'il te porte, c'est son oeuvre à lui. Et que dis-tu en toi-même ? « Seigneur, sois bienveillant pour lui, remets-lui ses péchés, inspire-lui ta crainte, change-le. »

Félix : Mais il n'était pas entouré d'Africains hostiles et sous le gouvernement de la pire ordure. De ceux qui font du mal à la France. Ceux qui font du mal au christianisme. Ceux qui font du mal aux Pauvres. Ceux là sont les mêmes. Ils sont nos plus mortels ennemis.  Nous leur devons le mal dans les grandes  choses, mais aussi dans les petites, au quotidien. Dans la cohue grisâtre des villes; dans les nuages artificiels qui gâchent le bleu du ciel; dans les charniers des bataclans. Pardonner reviendrait à les laisser nuire. Ils faudrait les crever comme un abcès

L'abbé : « Ce que Jésus ayant entendu, Il dit: Ce ne sont pas les bien portants qui ont besoin du médecin mais les malades » [2]

Félix : Mais les Valls-Cazeneuve-Hollande ne sont pas malades ! Ils sont au contraire au mieux de leur forme. Ils ont tout ce qu'on peut souhaiter. Le pouvoir, le prestige. Et, ce qui va avec, toutes les femelles qu'ils veulent.

 L'abbé: Mais, mon fils, prenez le cas du premier que vous avez nommé. Le Caudillo de Fransion. Observez qu'il est passé de pro-palestinien à maître-queux du Crif.  Il a déjà varié une fois, il est susceptible de varier encore. A priori, en tant qu'homme, il pourrait se repentir, se rédimer. Pour celui-là il faut redoubler, que dis je, quintupler, nos prières.

 Félix : Monsieur l'abbé vous ne pouviez prendre exemple plus contraire, plus défavorable à votre propos. Pro-palestinien ne veut rien dire en soi. Voyez les pro-palestiniens indigènes de la république. Des traîtres à l'intérieur du parti palestinien. Comme leurs alter ego égyptiens et tunisiens, les muslims brothers. Antisioniste est un choix qui peut être dicté autant par l’intérêt ou le calcul politicien, que par une indignation sincère. Ce que Péguy appelle la mystique opposé à la politique. Le Caudillo en changeant d'option sur cette question n'a pas change quant à son fond.
Et ce fond immuable quel est il ? Il l'a dit : "Par ma femme je suis éternellement lié à etc"...Donc il se marque d'abord comme parfaitement hétéronome. Quelqu'un qui n'a pas son principe en lui m^me. Il trahit par là son essence compradore !

L'abbé : Observez ses maîtres, ceux qui l'ont mis là où il est, et qui dominent aujourd'hui. Hier encore ils rivalisaient de servilité quand ils étaient sous la botte. Ils ont changé en profondeur.

 Félix : Absolument pas.  Leur être est la bassesse et la servilité, quelle que soit la place qu'ils occupent. Mon "essentialisme" ne signifie pas que j'identifie l'être à la fonction !  Sinon Hollande = Philippe-Auguste.  Des circonstances ont placé certains hommes au premier plan, pour leurs qualités idoines. Des qualités de naissance, immuables,
Aujourd'hui ils dominent, mais avec la rage et la férocité propre à la faiblesse, au ressentiment. Comme la femelle. C'est pour cela qu'ils sont à l'origine de la gynécocratie.
"Nous étions des guépards et des aigles. Ceux qui viennent sont des chacals et des hyènes" dit le Prince Fabrizio Salina à son fils, devant la montée en puissance de la bourgeoisie. [3]  Aujourd’hui ceux qui dominent ne sont que des poux et des vers. Les dominants correspondent aux nécessités d' une époque cadavérique.

L'abbé : Mais tous les hommes du ressentiment ne forment pas une coterie. De m^me que les hommes énergiques et différenciés ne sont pas tous dans la dissidence. Il y a sans doute de vrais forts dans le pouvoir actuel, et dans votre dissidence il se trouve surement des lâches.

Félix : Sans aucun doute. Mais les Villepin seront toujours vaincu à l'intérieur de leur propre camp. Qui se défie des honnêtes hommes. Il faut des canailles. Ceux dont Soral dit "anthropologiquement c'est des merdes". The right men in the right place.
Et dans la dissidence voyez la camarilla des antisoraliens! Ce sont tous des misérables, et des envieux finalement. Ils sont  contre le "système",  actuellement, parce que il n'y a pas de place pour tout le monde à la mangeoire, mais ils ne sont pas des Résistants. Résistant ou Collabo, deux déterminations qui transcendent les partis pris politiques.

L'abbé : Nous n'en sortirons pas, mon fils.  Je vous demande de considérer qui, précisément, Notre-Seigneur, nous dit d'aimer ? — Notre prochain.  Prochain ne doit pas être entendu au sens d'une proximité géographique. Mais dans celui d'une proximité spirituelle : celle d'être homme, fait à l'image de Dieu.
Si ton ennemi n'est qu'une bête, pour en revenir à vos analogies animalières, il faudra le combattre à mort, c'est normal. Mais au moment du châtiment il faudra pardonner et s'efforcer d'aimer celui qui nous a nui mais qui était notre semblable, au regard de Dieu.

Félix : Vous avez trop grande opinion de la racaille simio-humaine.
Pour me faire comprendre acceptez je vous prie une hypothèse complotiste, qui en fera rire plus d'un, mais non dépourvue d'arguments cependant. Que les tueries du bataclan soit le fait des services secrets. Faudrait il pardonner à ceux qui tiraient les ficelles au plus haut niveau ?  Non seulement ils mériteraient la mort, mais la mort la plus ignominieuse.

L'abbé: Mais cette hypothèse, vous l'avez dit, est absurde. Je me refuse à réfléchir sur des vues de l'esprit.

Félix: Je n'ai pas dit qu'elle était absurde, mais complotiste. Mais c'est effectivement une vue de l'esprit.
De l'esprit qui toujours nie.

l'Abbé : Sed dans lege Domini voluntas eius et dans lege eius meditabitur die ac nocte.

Félix : Amen


Notes
1  Hegel
2  Matthieu 9:12
3  Le guépard. Film de Visconti


vendredi 13 mai 2016

Deux trucs sans rapport,

sauf peut être l'inauthentique.

I
PAN ! un coup de 49.3 magnum, et voila la Nuit Debout couchée raide !
Couchés ils l'étaient déjà de naissance, ces débiles.
Nuit debout, conscience allongée.
 Nuit debout et journée assise, qui se traîne, inter-minable et glauque, à l'ombre des chemtrails et le soleil s'est gâté comme la pomme de discorde pourrie.
De cette insomnie citoyenne aucun rêve éveillé n'a atteint à l’âpreté d'une quelconque révolution ; bien au contraire.
Voilà déjà un siècle que l'idée de révolution s'est rassise, passant de l'action consciente au rêve éveillé, soit à un phantasme diurne. Si encore il ne s'agissait que de leur impuissance journalière à abattre le vieux monde. Mais c'est la facticité de ce vouloir qui est en cause. Ils feignent même d'en rêver.

 II
Le Big Boss de Rome dit : ouvrez les cuisses frontières, ouvrez les rombières aux migrants.
 Petit curé s'en fait l'échotier dans son église vide.
 On nous avait bien dit que les migrants c'était des bites. Venus là pour sauver l'Europe de la dénatalité.

À faire : l'Histoire de la décomposition du catholicisme et plus généralement de la Chrétienté. De la naissance de l'enfant Jésus dans la paille à l'agonie du christianisme sénile qui n'en finit pas de radoter dans les ors et la pourpre cardinalice.

 Rien n'est plus déliquescent et répugnant que l'injonction actuelle d'aimer son ennemi.
 Pourquoi n'est elle jamais faite aux Juifs, et par là de leur demander de pardonner la shoah ? Parce que les cathos sont, littéralement, dans le mondain.
 Qui veut faire l'ange fait la bête. À trop vouloir s’emplumer d'angélisme on finit fourrée d'une farce comme une volaille, prête pour le four.

C'est Sublime, comme le dit Derrida, la folie du pardon !  Qui pourtant ne pardonnait pas Lolo Causte.
Car le pardonner, comme toutes les motions humaines recèle une physiologie particulière. Interroger ce que Nietzsche nomme les "entrailles de l'esprit".  On devine que ce pardon sublime vient de la fatigue et d'une lassitude morbide d'avoir à comprendre et à juger.
On se rend ainsi complice de la souveraineté du mal.  

Et si ce « pardon » cet amour entraînait nécessairement des souffrances plus grandes ?
 Jésus dit à Son Père "ils ne savent pas ce qu'ils font" les soldats romains,  Il n'a jamais dit nulle part de pardonner le Sanhédrin qui l'a fait crucifier.
Qu'en pensez vous monsieur l'abbé ?

mardi 3 mai 2016

L'art délicat de la matraque

Tous les Charlie, tous les Bruxelles, tous les gibiers de bataclan se réunissent le soir à la république pour jouer à la révolution.
Après avoir la journée dansé le pas de deux avec les mollusques caparaçonnés, au soir, pour souffler un peu, ils organisent des apéritifs dînatoires : on y chante, on y danse tous en rond : tous ensemble, tous.
On y prépare les lendemains amendés où la Loi Kroumhi passera grâce à eux mais travestie, vaselinée, donc comme un Transbigué dans un autre.

Il y a dans cette loi Khromhi un truc qui manifestement échappe à la plupart de nos jeunes camarades.
Ainsi, sur le site E&R nous préférons relayer un patron de services, ex du MEDEF, un belge, sans dire qu'il est POUR la loi Komhri !
En vérité, l'épicentre de la lutte de classe, n'est pas là où un vain peuple de boutiquiers le pense. Il est entre les millions de salariés qui défendent le Vieux Code du Travail tel quel, et les centaines de milliers de petit-bourgeois qui pourrissent ce mouvement.
L'extrémisme vide de ces trublions commandités ne saurait mieux se prouver que par leur mot d'ordre qui s'étale gigantesque sur leur stand place de la république : Rêve Général.
 Évidemment, évidemment, le rêve généralisé en lieu et place de la grève générale insurrectionnelle a de quoi inquiéter le Bas-catalan et le Haut-landais.

 Aussi nous ne saurions dire à quel point nous charme et nous délasse le spectacle des ces gardiens de la Loi El Kroumhi — les Robo-Kop, les Crustacés engoncés dans leur carapaces en plastiques — manœuvrant lourdement pour crosser du gauchiste.
 Mais ils ne sont pas assez mobiles ces gardes, à cause de cet excès pondéral de protections diverses. Ils manœuvrent entassés, comme les Pierrafeu dans un dessin animé de Hanna Barbera, on dirait un seul Flic à mille patte.
Il faudrait les lâcher dans le tas, débridés, à l'aise, un peu d'initiative que diable !

Voici "L'art délicat de la matraque", pour les Nostalgiques d'un temps où les Flics n'étaient pas encore entravés par leur équipement surprotecteur, et souples et alertes pouvaient s'en donner à cœur joie Saint-Denis.
Voyez comme leurs ancêtres en chemisette, manches retroussées, souples et à l'aise, cognaient dur, matraquaient ferme à trique rabattue, cela réjouissait l’œil du poète.
L'auteur de ces lignes philanthropes a connu certaines de ces manifestions. Et pas du côté des flics je le confesse.  Et c'était là une autre musique que ces ridicules pantalonnades parodiques où des Flics en plastique font pan-pan cul-cul avec des révolutionnaires factices.




Pour retrouver un peu de cette bonne vieille ambiance tricarde de nos jours, il faut regarder les brèves images des arrestations des militants identitaires. Là ça cogne dur.
Et ceux qui sont arrêtés font six mois de taule, direct. Au lieu que les gauchistes embarqués sortent dans l'heure, avec des excuses, et intentent des procès aux policiers qui marchent au doigt et à l’œil.

La plupart de nos jeunes camarades à la courte mémoire s'étranglent d'amour pour les policiers. Ils ont raison, il ne faut pas être rancunier.
 Comme il est loin déjà,  le temps béni où les malodorantes FEMME-HAINE se foutaient à poil derrière les camions des Gendarmes, avec des slogans pornographiques peints sur leurs hideuse mamelles pour chambrer les catholiques et gazer leurs enfants.
 Pendant que d'autres flics, en civil, se matérialisaient brusquement au milieu des manifestants pacifiques la matraque télescopique à la main, pour défendre ces courageuses putains du capital.

Vous voyez c'est chacun son tour : durant cette héroïque lutte des forces de l'ordre capitaliste contre les nostalgiques de la féodalité, c'étaient les gauchistes qui applaudissaient le républicanisme des compagnies de sécurité. Là, les flics cognaient dur au nom de la PMA et du mariage de Sodome !
Maintenant c'est à nous de rire.
Reste à savoir qui rira le dernier.