jeudi 23 juin 2016

unos días en Sevilla

à  Ibara,
¡Hola Caballero ! Andalucía !


¡Arriba España!









Elle est toujours là,
Ma muse alanguie,
Et sa main s'appuie 
Sur mon crâne las.

Ma muse du Styx, 
Près de moi repose, 
Sur mon crâne pose
Sa dextre d'Onyx.



Puis, ça repart ! Hombre !



1 commentaire:

Anonyme a dit…

Direct au cœur tu me touches mon frère.
Bien à toi,
Ibara

"Dans la maison blanche se meurt
la perdition des hommes.
Cent pouliches caracolent
Leurs cavaliers sont morts.
Et sous la palpitante
constellation des lampes,
tremble sa jupe moirée
entre ses cuisses de bronze.
Cent pouliches caracolent.
Leurs cavaliers sont morts.
De longues ombres affilées
viennent du trouble horizon
et le bourdon d'une guitare
se rompt.
Cent pouliches caracolent.
Leurs cavaliers sont morts."

Frederico Garcia Lorca