Hier j’ai vu passer ce défilé de blattes, de punaises et de cancrelats qu’est une procession antifa.
L’un de ces cafards, fébrile, et déjà à moitié crevé, avait succombé accidentellement, ou plutôt, avait été victime du provocateur qui émarge à la préfecture de police et qui le poussait depuis longtemps à se mettre en avant dans toutes les rixes, dans l’espoir antifa de ce qui est advenu, au-delà des antirêves les plus antifous.
Après cet accident providentiel ( pour eux) les petits lâches antifas étaient allés pleurnicher sous la Robe malodorante et souillée de Madame la Justice, comme des chiots sous la Chienne de garde, pour être protégés des dissidents à biceps. Et il est vrai qu’après de tels verdicts qui ressemblent davantage à des crises d’hystérie de mégères indisposées, les dissidents vont y regarder à deux fois avant de rendre les coups.
( Dans la France où les Chances homicides quittent les prétoires en bénissant « votr’honneur » de sa miséricorde par Allah !)
Et il y en a qui regimbent contre le règne du Big Pharma ! Qui regrettent ce monde d’avant !
Vivent le Véreux et le Salomon ! Vivent les confinements et les couvre-feux ! Vivent les vaccins obligatoires et les piqûres de rappel à Dieu !
Que toute cette engeance cadavérique périsse ! Devienne enfin ce qu'elle est.
Hélas nous seront les dommages collatéraux de cette justice immanente, mais derrière l’infinie corruption des hommes de mains sales, se tient l'infinie nécessité de l’Esprit objectif.
Que toute cette engeance cadavérique périsse ! Devienne enfin ce qu'elle est.
Hélas nous seront les dommages collatéraux de cette justice immanente, mais derrière l’infinie corruption des hommes de mains sales, se tient l'infinie nécessité de l’Esprit objectif.