Arthur Schopenhauer:
La nature, en séparant
l’espèce humaine en deux catégories, n’a pas fait les parts égales. C’est bien
ce qu’ont pensé de tout temps les anciens et les peuples de l’Orient ; ils se
rendaient mieux compte du rôle qui convient aux femmes, que nous ne le faisons
avec notre galanterie à l’ancienne mode française et notre stupide vénération,
qui est bien l’épanouissement le plus complet de la sottise germano-chrétienne.
Cela n’a servi qu’à les rendre si arrogantes, si impertinentes : parfois elles
me font penser aux singes sacrés de Bénarès, qui ont si bien conscience de leur
dignité sacrosainte et de leur inviolabilité, qu’ils se croient tout permis.
Il y a trois questions distinctes qui,
certes, se recoupent, s’interpénètrent, mais ne devraient pas être confondues :
la Femme ou l’éternel féminin, le
Féminisme authentique, et le féminisme étatique actuel. Or, par une sorte de
nominalisme qui prend le mot pour la chose, elles sont imbriquées dans une même
représentation gigogne. La voici :
les femmes auraient toujours été opprimées par l’homme, d’où le Féminisme, qui
est cette « guerre ininterrompue, tantôt ouverte, tantôt dissimulée », qu’elles
auraient mené incessamment contre cette Oppression immémoriale ; le féminisme
actuel n’étant que l’actualité de ce féminisme ininterrompu.
Telle est la fausseté ontologique féministe, le voile de Maya de sa
Représentation. Dans cette optique, «
notre » féminisme actuel serait un féminisme qui a réussi. Certes, « tout n’est
pas encore achevé », mais ce féminisme a conquis des places de premier rang, du
prestige, il est une matière à part entière qui s’enseigne, il a changé les
mœurs, la morale, et le sens de la vie. Y a t il quelque chose qu’il n’ait pas
obtenu ?
Sa prévalence est telle, que les quelques lignes de Schopenhauer citées sont
étalées avec complaisance sur la Toile comme preuve de l’antiquité et de
l’inanité de la misogynie. Il y en a même un qui l’a mis en exergue d’un blog
intitulé « Schopenhauer est un con » !
Le féminisme d’État actuel redoute autant la misogynie philosophique d’un
Schopenhauer que le lobby pharmaceutique redoute la déontologie médicale
d’Hippocrate de Kos.
Or donc, ce qui fait le sel de cette citation proposée ne
sera pas sa satire «des femmes », mais celle des messieurs atteint de la galanterie
à l’ancienne mode française, de la stupide vénération, de la sottise
germano-chrétienne.
Qu’est-ce-que cette «sottise germano-chrétienne » ? C’est le sérieux allemand
devant des histoires juives, quand le rire homérique s’imposait. Schopenhauer,
comme Nietzsche, voyait l’Allemagne devenir une nation de philistins.
Ce substantif : Philistin est
une clé. Le bourgeois est LE Philistin par excellence, et la femme par essence.
Schopenhauer :
« Des exceptions isolées et partielles ne changent rien aux
choses ; les femmes sont, et resteront, prises dans leur ensemble, les
Philistins les plus accomplis et les plus incurables. »
Dès le début, le bourgeois se traînait aux pieds de sa
femelle et de la Courtisane. La bourgeoisie décadente l’a portée au pinacle. La
société bourgeoise moderne a posé la plus stricte égalité des sexes en droit,
et en prime à offert à la femelle sa pension alimentaire, avec sa ration
sexuelle. La gynécocratie bourgeoise n’est elle pas essentiellement, bornée,
triviale, pétasse, inculte, antipoétique, fermé aux choses de l'art et de
l’esprit ? Schopenhauer pensait que
sur la femme et l’amour, les poètes voyaient plus clair que les philosophes.
Lui excepté, bien sûr, qui s’intitulait le « seul métaphysicien de l’amour
depuis Platon. »
En voici un poète, Charles Baudelaire :
« La femme, esclave
vile, orgueilleuse et stupide,
Sans rire s’adorant et s’aimant sans
dégoût ;
L’homme, tyran goulu, paillard, dur et cupide,
Esclave de l’esclave et ruisseau dans l’égout »
O combien ruisselant !
Le féminisme n’a pu se constituer et fonder sa sidération et son suprématisme
sexuel que sur cet esclavage inné, ruisselant, ce féminisme latent qui vit et
règne dans l’âme des esclaves de l’esclave. Arthur Schopenhauer:
« La Volonté est le bon génie de l’espèce. Ce qu’elle vise à conserver c’est
l’espèce, nullement les individus, dont elle se moque puissamment. Ceux-ci sont
sacrifiés sur l’autel de la génération »
Ainsi l’homme soumis au vouloir sera nécessairement soumis à
la femelle de l’espèce car elle est toute entière conçue par le vouloir-vivre,
corps et âme. Par sa néoténie et son hypergamie. Quant à sa « beauté »,
discutable, l’anglais autrement hardi l’appelle avec justesse le sex-appeal. Ce qui dit tout.
Cette soumission originelle de H à F est une donnée a priori de la nature
humaine. Tous les hommes, qu’ils soient pro féministes ou anti féministes sont
unis dans ce rapport sexuel ontologique. Je ne dis pas qu’ils se valent à tous
les égards, mais uniquement devant cette question.
Ceux qui portent les oripeaux de la Vieille Réaction, qui se posent en
nostalgiques féodaux, voudraient ils rétablir la primogéniture mâle ?
Laissez-moi rire. Vous imaginez nos bourgeois
pseudo-gentilshommes vouloir en revenir à la loi salique ?
J’en ai entendu dans le poste, un universitaire catholique de grande Tradition,
monarchiste, rescapé de la Shoah vendéenne, qui dénonçait avec force devant des parterres fleuris, la
Misogynie des Lumières et de la Révolution !
Ignorait-il, ce Philistin, la grande misogynie des Pères de l’Église ? De
Saint-Paul, de Saint Augustin, de Saint Thomas d’Aquin : «La femme correspond au second dessein de la
nature, de même que la putréfaction, la difformité et la décrépitude ». Aversion qui fait pâlir celle de Rousseau ou de Voltaire.
Les chevaliers servants de jadis, les champions de « l’honneur » des Dames
faisaient régner les égards qui leur
étaient dus. En vérité, ils représentaient le féminisme avant la lettre, mais
ont été remplacé par lui. D’où leur désappointement ! Ils sont donc passés dans
une opposition résolue à ce féminisme nationalisé, étatisé. On peut même dire
que la stupidité « germano-chrétienne », voire germanopratine, a été la base du
seul contre-féminisme un peu organisé. Que ce soit en proposant sous les jupes
un féminisme de rechange, plus propre et plus distingué, pour les plus
chrétiens. Ou en poussant une virile protestation masculine, pour les plus
germains, qui aiment à se nommer eux mêmes « les Macho-protecteurs ».
Il importe d’informer ces derniers que pour Arthur Schopenhauer « les peuples
de l’orient » ne sont nullement les
peuples de l’Islam. Les macho-protecteurs professent que l’islam serait un
rempart contre le « wokisme». De l’art de se voiler la face devant les femmes
voilées de l’islamo-féminisme. Messieurs, cette opinion misogyne revient à nier
« la moitié du ciel ». Ce ne sont pas les bâchées à lunettes qui arrachaient
rageusement les portraits de Lola, pour brandir ceux Nahel qui ont soumis leur
islamisme au féminisme, mais les féministes blanches qui se sont soumises corps
et âme à l’islam inclusif, au racisme décolonial musulman. Le féminisme sous
Burqa est pur de toute souillure mécréante. Rappelons que le woke désigne
d’abord « l’égalité » raciale ! Le féminisme réel, présent est subsumé dans le
Racisme. Les « racisés décoloniales » ne sont que les douces moitiés des mâles
coraniques courroucées qui enrichissent au couteau leurs compagnes du
vivre-ensemble. Car ils n’ont pas l’idolâtrie de « nos » femelles, c’est là
leur moindre défaut. Et lorsque de malheureuses jeunes femmes sont égorgées
dans une gare ou bien défigurées à coups de tesson de bouteille dans un jardin
public le féminisme islamique nomme dévotement « Martyre » l’égorgeur, et «
Patriarcat » le manieur du tesson.
Ce fameux patriarcat, dont les féministes actuelles nous
rebattent les oreilles d’ânes, à les entendre, n’aurait jamais été aussi
virulent qu’à l’époque de sa disparition. Que de pauvres demeurées crussent
vivre de façon imaginaire dans un patriarcat, relève de la psychiatrie. Le
Patriarcat, en première et dernière analyse, ne peut qu’être une société ayant
inscrit dans sa coutume et dans sa Loi, une prévalence masculine. Cela a été à
la fin du Néolithique, durant toute l’Antiquité, et même dans la féodalité qui
était basée sur la primogéniture mâle. Mais l’époque bourgeoise déjà
gynécocratique dans sa mentalité et ses mœurs, le deviendra dans le Droit
synallagmatique qui dépouille le Fils au profit de la Veuve. Quant à la
coutume, aux us, les fameux « stéréotypes » qui resteraient tenaces,
qui continueraient de sévir nonobstant les Lois, l’on voit bien que « l’envie
du Pénal » féministe, pose a priori
que la clique des privilégiés et la crapule des gens d’État seraient infiniment
plus évoluées que les peuples pétris de préjugés, auxquels il faut inculquer le
féminisme à coup de trique, à coup de discrimination positive.
La Parité obligatoire, par exemple, n’est ce pas d’abord réinvestir de la
valeur la plus pourrie la plus pourrie de toutes les activités parasites, celle
de politicard ? C’est-à-dire comédien du spectacle de la politique qui n’existe
que pour détourner l’attention du pauvre monde de la vermine accrochée sur son
dos. La féminisation de la malpropreté politicienne est bien d’une certaine manière
un rajeunissement, puisque comme tous les parvenus, les femelles politicardes,
émerveillées d’en être, apportent une certaine « fraîcheur » artificielle comme
des déodorants bon marché, dans les cabinets ministériels ou les chiottes
bouchées parlementaires.
Ce que ce féminisme change, c’est la place dans le monde des femmes les plus
adaptées à ce monde, qu’on laissera intact, et même qu’on va magnifier. Par la
statolâtrie et l’idolâtrie du capital, ces deux grandiloquences du
philistinisme bourgeois et féministe. Le gouvernement féministe qui a octroyé
la Parité obligatoire dans le même temps rétablissait le travail de nuit des
femmes dans les usines ! Comme social on a fait mieux.
La contraception, l’avortement ? C’est ça le progrès ? Le sanglant avortement
et l’abjecte Pilule, potion de magie noire en vue du noir pullulement. Il ne
faut pas être anti féministe, c’est à dire secondaire à lui, il faut être dans
l’affirmation, être un homme, être une femme. Authentique. C’est le pseudo
féminisme qui est faux, et tout entier dans la négation de la vérité, de la
réalité, de la vie, de l’amour, de la féminité, de la société, de la race, de
la beauté, du langage. Il a « féminisé » la langue, c’est-à-dire l’a
vandalisée, tuant son esprit et sa lettre, comme il tue les vouloir-vivre
embryonnaires, suspendant la reproduction de la vie à son arbitraire, à son
intime prurit. Son irrationalisme grossier est passé de principe métaphysique à
la raison d’État.
Le féminisme, ce qui se cache aujourd’hui sous ce nom a priori aimable, pue. Et
sa première puanteur a été de rajeunir la vieille merde bourgeoise discréditée,
post 1968. Comme la grande Culpa, l’idéologie victimaire a aidé au réarmement
moral et politique du capitalisme discrédité après la deuxième boucherie impérialiste.
Les valeurs du féminisme et du capitalisme sont si parfaitement homogènes, que
nous pouvons risquer cette analogie en disant qu’il est passé d’une domination
formelle à une domination réelle. La première correspondant au féminisme
maternel, démétrien comme le nomme Julius Evola, l’autre à ce féminisme d’État,
ce féminisme total et totalitaire, dont nous avons un peu explicité la nature.
Nous n’avons pas dit son nom véritable, qui est imprononçable.
EVOLU, LIS EVOLA !
Il est intéressant de
remarquer, (...) que le côté ambigu, dangereux, de la substance féminine sous
son aspect occulte est mis en relation avec la potentialité démétrienne
(maternelle) de la femme, plutôt qu'avec sa potentialité aphrodisienne. Cela
nous est confirmé par le fait suivant : selon une tradition pratiquement
universelle, c'est sur la base des règles — phénomène lié précisément à la
potentialité maternelle, non à celle aphrodisienne ou dionysiaque de la femme —
que l'idée de la dangerosité magique prend le plus d'importance ; souvent, il
s'agit ici d'une influence capable, non seulement de paralyser le sacré, mais
de frapper le noyau le plus profond de la virilité.
Julius Evola,
Métaphysique du sexe (1958)
Il existe une
misogynie commune basée sur le dégoût que peut inspirer certaines servitudes
inhérentes à la femme en tant que mammifère. Car nous sommes, le genre humain,
toutes races confondues, une espèce mammifère, ne vous déplaise. Ce sont les
femelles qui portent les petits. Elles portent aussi mamelles, ce qui est
l’étymologie du mot mammifère, « qui est pourvu de mamelles. » Elles sont donc
laitières, et intiment réglées par le cycle cosmique, terre-lune. « Elle a ses
lunes », « elle a ses époques » disait-on autrefois. Rappels nécessaires en un
temps où les fonctions naturelles impliquées par l’appartenance à cette classe
mammifère, sont décriées comme des « stéréotypes » imposés par le
Patriarcat. Ainsi, de par le génie
irrationaliste du féminisme, les femmes ne sont plus détentrices intra uterinum pour quelques mois des
enfants à naître, mais en sont les propriétaires, comme si elles les avaient
crées ex nihilo, telles les pacha-mamas adulées par Bergoglio.
« Le droit des femmes à disposer de leur
propre corps », l’infinie stupidité de cette expression redondante quand elle
est liée à l’avortement ! Ainsi, après la négation des Lumières, on en revient
à un Obscurantisme transcendant, à l’obscurité initiale des grottes. Les
réactionnaires nostalgiques du Zoo de Versailles peuvent toujours s’aligner,
ils ont trouvé leurs maîtresses dans les personnes des féministes.
Comprendre les époques .
« Oh menstruating
woman, thou'rt a fiend — from whom ail nature should be closely screened ! »
Le sens alchimique du mot menstrues était celui d'une
liqueur dissolvante des métaux. Nous retrouvons cette symbolique des eaux
dissolvantes comme principe féminin, dans la tradition hermétique.
Symboliquement la submersion par les eaux amazoniennes corrode la virilité
spirituelle, agit comme une transmutation contre-alchimique du métal masculin,
qui va passer de nature noble à nature vile. Julius Evola nous montre que
toutes les traditions qui ont eu une véritable densité métaphysique ont
développées « L’idée d’une relation entre la substance de la femme, au moyen de
ses règles, et l’univers d’une magie nocturne (non apollinienne) et de
possibles influences psychiquement désagrégatrices ».
Ce n’est pas une idée
de Julius Evola, mais une connaissance qu’il rapporte, un savoir initiatique.
C’est donc le sexe au sens naturaliste, physiologique, qui est le plus néfaste
pour la virilité spirituelle. On pourrait aussi bien le comprendre en référence
à la métaphysique de la volonté de Schopenhauer. Nous avons vu qu’elle se
traduisait par la dictature de l’Espèce sur l’individu. Donc de F sur H, en
tant que substance et principe de la reproduction.
Cependant, ailleurs, Evola dit explicitement que si la Mère est la
figure archétypale de la domination F, celle de la Courtisane, de l’Hétaïre va
lui succéder. Aphrodite succède à Déméter et ce sera bien pire pour la virilité
spirituelle. Celle ci va déchoir davantage car :
« la nature chtonienne et souterraine pénètre jusque dans le
principe viril et va le dégrader au plan phallique. La femme domine maintenant
l’homme en tant que celui ci devient esclave des sens et simple instrument de
procréation » Révolte contre le monde moderne.
Il importe de prendre conscience à quel degré de profondeur
cette conception est antagoniste au mental de la résistance au féminisme actuel
et au type masculin qui porte cette résistance. Car si j’avais le mauvais goût
de traduire Evola en sabir contemporain, ce qu’à Dieu ne plaise, cela donnerait
ceci : le féminisme aphrodisien réduit les hommes à n’être que des Bites. De
simples fornicateurs et fiers de l’être.
La Circé féministe transforme les mâles
en cochons reniflant après les vulves.
Il est patent que notre « féminsisme » est contre la famille, l’anéantit ; du
coup la tentation de le penser et le critiquer comme aphrodisien est trop
forte, surtout quand la Résistance puise ses forces réelles dans la
protestation religieuse. Certes, ils ont raison sur un point, le « féminisme »
que nous subissons n’est certes pas démétrien. Il n’est ni maternel ni sacerdotal, pour le
moins. Avortement qui anéantit la génération, qui met le nouveau né chrétien
dans l’étable, sur la table sanglante. Pilule qui casse le Cycle, le cycle des
Lunes, qui jette la femme-nature hors du cosmos.
Le féminisme sévissant est certes afro préférentiel mais est il d’Aphrodisie
pour autant ?
« Non ! » a répondu avec hauteur, un seul : Don Juan. Le Don Juan unique de
l’Enfer de Don Juan. Certes elle remplace le cycle démétrien par un cycle plus
enfoncé dans l’âge noir, l’âge de Kali, qui est celui de la Destruction et du
Sexe. Mais la gynocratie étatique n’est pas un âge d’érotisme, ce n’est pas le
règne d’Aphrodite, mais de Mégère. Il serait même selon lui, par certains côté
plus Salomé, dans la mesure où son impudicité même serait clanique. Et
horriblement naturaliste quand son « vagin » monologue dans les théâtres
subventionné, ou s’écarte atrocement comme pour un examen gynécologique dans la
pornographie.
Pornographie qui est pour notre Don Juan, un procès pédérastique. La Castration
féministe est dedans la subjugation pornographique. Ce que ni le féministe
chrétien, ni le fornicateur ne savent voir. Que la position du consommateur du porno
est celle de l’Impuissant, jouet du pornocrate, dans un pédérastique procès.
Au fond, le féminisme actuel est davantage aphrodisien, mais sans l’être, tout
en l’étant davantage. Car il ne fait pas de tous les hommes des phallus, mais
il les soumet à ceux là, car elles sont
leurs servantes. Elles ne sont que les servantes sorcières du Très Vieux Père.
C’est heureux que LE féminisme soit du genre masculin, grammaticalement, car il
l’est fondamentalement. Notre gynécocratie n’est pas un féminisme. Certes son
apparaître, sa substance est femelle, O combien, mais son essence est
masculine, il est le pouvoir d’un homme, le Vieux mâle dominant, ce Féminisme a
servi dès l’origine l’ordre capitaliste le plus ancien, le plus parasite, le
plus usurier, contre l’ordre fraternel des fils.