En vérité, il s'agit d'un film d'Hollywood tourné par Stankey Lubrick qui filma cet Odyssée de l'alunissage dans le désert du Nevada.
Etudions la version officielle.
Il y aura quarante et une années terrestres, le 20 juillet 1969 à Houston, soit le 21 juillet 1969, à 3h56 à Paris, la mission Apollo 11 alunit sur la Mer de la Tranquillité.
Deux milliards de téléspectateurs, ébaubis devant leur petit écran, pensent voir, en direct, Neil Armstrong poser tranquillement le pied dans cette Mare Tranquillum.
Ses premiers mots sont gravés dans le marbre céleste : « Houston, ici la base de la Tranquillité. L'Aigle a atterri.»
Ses premiers mots sont gravés dans le marbre céleste : « Houston, ici la base de la Tranquillité. L'Aigle a atterri.»
- A vrai dire la seule chose qui m'en fasse accroire c'est ce choix de Neil Armstrong, archétype du " Blanc caucasien" comme son nom ne l'indique pas, dans le rôle principal.
Parce que, il me semble que dans l'hypothèse d'une supercherie-production hollywoodienne, l'acteur choisi, Armstrong, comme son nom l'eût laissait espèrer, aurait dû être un Black, non ? Une sorte d'Obama de l'espâââce !Il est vrai que 1969 n'est pas encore tout à fait 2009. D'ailleurs aujourd'hui on aurait choisi une actrice-astraunautE Noire. Comme une Votre-honneur dans tous les films.
La première Fââme dans la Lune ! Le premier con dans la lune.
Franchement, si c'est réelement un montage, il est vraiment discriminatoire et sexiste
D'un autre côté, nombreux sont les éléments qui autorisent de douter de la version made in Nasa.
Pèle mêle je me souviens : -de cette histoire du drapeau flottant, ce qui ne serait pas plausible vu qu'il n'y a pas d'atmosphère sur la lune, donc pas de vent.
- de cette rumeur assez sérieuse, évoquant le fait qu'une zone fortement soumise aux vents solaires se trouvaient sur la trajectoire empruntée par la fusée, et à l'époque, les matériaux composants ladite fusée n'eussent pas été à même de résister à la pléthore d'ions et électrons hostiles.
-Autre chose encore : en 40 ans on ne sera pas retourné une fois sur la lune. Pourquoi?
Pour mieux arranger nos affaires terrestres sans doute...
Pour mieux arranger nos affaires terrestres sans doute...
" Mon pauvre Pierrot, vois la Lune, cette américaine blafarde qu’ils ont vidé de ton pipeau." chantait Léo. Séléné déflorée, devenue cette vielle peau américaine demi nue ? Du pipeau ! Il faut croire dans les histoires anciennes, et non à toutes les antiennes relayées par toutes les antennes.
Séléné dont le nom signifie "brillante, lumineuse", descendait parfois, disait on, des cieux pour rejoindre Endymion, un mortel dont elle s'est éprise. Celui-ci tombe alors dans un profond sommeil dont il ne s'éveillera plus. Et nuit après nuit, Séléné, succube insatiable, continue d’abuser de lui, la salope.
Séléné dont le nom signifie "brillante, lumineuse", descendait parfois, disait on, des cieux pour rejoindre Endymion, un mortel dont elle s'est éprise. Celui-ci tombe alors dans un profond sommeil dont il ne s'éveillera plus. Et nuit après nuit, Séléné, succube insatiable, continue d’abuser de lui, la salope.
Elle représente la plénitude de la vie. Comme elle, elle est impure et vivace, et rayonnante de joie. Qui ne l'aimerait ? Et souventes fois la splendeur de ses clairs de lune a versé dans mon cœur altéré, les longs traits de son breuvage lacté.
Mais je prends garde à ne pas me laisser abuser par ce halo nitescent autour de l'astre froid, qui n'est pas le sien, mais celui, réfléchi, du Soleil. Sa lumière est fausse, refractée, un artefact.
" Profondément je m’en détourne pour la sainte, ineffable et toute mystérieuse" Hécate, avec son Croissant de lune en guise de diadème, et la lumière se réfractant sur son front d'argent.Mais je prends garde à ne pas me laisser abuser par ce halo nitescent autour de l'astre froid, qui n'est pas le sien, mais celui, réfléchi, du Soleil. Sa lumière est fausse, refractée, un artefact.
Maîtresse de l'Ombre, elle suscite l'hymne à la nuit dans le coeur impur de l'homme et les cauchemars. (Les Grecs les appelaient des hécatées.)
Ses compagnes sont les dures Erinyes dans le ciel, et sur la terre, une sombre louve.
Les noirs peupliers, les longs cyprès lui étaient consacrés.
Déesse chthonienne, elle reliait les trois étages du monde : les Enfers en bas, l’Ici-bas et le Ciel, en haut, et, à ce titre, était honorée comme la déesse des carrefours.
Déesse qui descend parfois sur terre, à la brune, sous la lueur blafarde de la lune, avec une robe bleue, du bleu le plus éteint, elle porte une flamme pâle, accompagnée toujours de sa louve aux yeux rouges.
Ô Déesse sardonique, sidéral Sourire aux coins relevés, ironie dans la Nuit Noire
Ô froide et lointaine maîtresse, intacte, à jamais infranchie, nul homme, fut il américain, ne posera sa lourde main sur ton sein ineffable
Tu n'appartiendra jamais qu'aux poètes et aux assassins.
Pour leur consolation... ou leur Remord, selon.
Pour leur consolation... ou leur Remord, selon.