mardi 20 décembre 2022

samedi 19 novembre 2022

Ukraine : une guerre prévue

 Publié initialement le 5 mars au lendemain de l'intervention russe en Ukraine. 
Texte que je republie aujourd'hui car si ce blog doit rester figé dans l'Immobile, autant qu'il soit embaumé dans l'éternité. 

Par delà la cause immédiate de l’intervention Russe en Ukraine, son origine sous-jacente est l’hégémonie américaine sur l’Europe, car la grande thalassocratie sait que « de l’Atlantique à l’Oural » , le grand Empire eurasiatique serait le seul espace-temps géopolitique capable de s’opposer à cette hégémonie.

C’est l’Europia de Jean-Claude Albert-Weil, le « contre-monde », qu’il oppose au « souk marchandaliste-Coca-MacDo », et dont la possibilité d’apparition a toujours hanté la Ploutocratie américaine.

Dès les années 1940, cette ploutocratie avait exprimé de la façon la plus brutale parce que la plus vitale, par le plan Morgenthau [1] les impératifs de sa domination mondiale par rapport à l’Europe.
Pour des raisons qui seraient trop longues à exposer ici ce plan se révéla irréalisable.

Mais Morgenthau représente l’essence et Marshall l’accident. Morgenthau représente la nécessité, Marshall la contingence. Marshall est un arrangement temporaire, un sursis.
Dès 1971 l’impérialisme devait siffler la fin de la récréation des Trente glorieuses. Cela ne pouvait pas durer. Sa contradiction arrivait à un point d’explosion. Marshall ne fut qu’une parenthèse artificielle basée sur le volant d’entraînement de la guerre du Vietnam. Pendant cette courte période de croissance du capital accumulé, il fut donc possible de faire certaines concessions aux travailleurs.
Mais à la fin des années 70 la loi d’airain de la baisse du taux de profit, fait que cela n’est plus possible.

Les années 80 furent un retour à la dure réalité des lois de Fer de l’Impérialisme, un retour au plan initial, un retour à Morgenthau : décroissance, démantèlement industriel, importation massive d’arriérés, 500 000 avortements annuels, etc.

Tout y sera décomposition, affaiblissement moral, sexuel, spirituel. Elgébêtisme délirant et terrorisme étatique déchainé.
Avec l’extinction de la Sidérurgie devait aussi s’éteindre les hauts fourneaux de la Conscience radicale.

Puis vinrent inéluctablement la chute de l’URSS & l’Europe bombardée à Belgrade, avec l’installation d’un Kosovo maffieux islamo- américain au cœur de l’Europe.

Le Centre de la vassalisation effective de l‘Europe ainsi abaissée est l’Union dite « européenne ». De par la faiblesse de son capitalisme et la veulerie abjecte de sa bourgeoisie, l’ex-France est devenue la chienne de garde la plus enragée de l’Union.
À l’intérieur, du fait d’une domination communautaire hostile et de son insupportable police, elle est une nation opprimée. Non pas une nation d’opprimés mais opprimée en tant que nation, et occupée par des hordes brunes. Un peuple nouveau apparut, fruit de cette vassalité et de cette castration : le bobo. Il n’a pas en lui un atome de France.

Le Grand Reset est une accélération entropique de cette vassalisation. Transformation définitive des nations européennes en vulgaires latifundes, et leurs bourgeoisies en compradore, comme prévu dans le plan Morgenthau.
La guerre Otanesque contre la Russie, donc contre toute velléité de l’Europe de tourner son regard vers l’Est, cette guerre était incluse dans ce pack thanatocratique sanitaire : euthanasie vaccinale ET guerre.

Qu’y a t il derrière l’obligation vaccinale ? Le Profit, certes, il est sa cause matérielle immédiate, mais il y a aussi la volonté de réduction drastique de la population mondiale, européenne, russe, et américaine essentiellement, c’est-à-dire une volonté génocidaire.

Car les injections fallacieusement nommées vaccins vont causer, à court et moyen terme des centaines de millions de morts, majoritairement masculins, à ce qu'il semble, avec une stérilité pour les femmes et de nombreux malheureux enfants deviendront littéralement des OGM, à jamais dépendant des laboratoires.

Les couvre-feux et les arrêts domiciliaires, l’abject passeport intérieur sanitaire tout y puait la caserne à plein nez, car tout dans les péripéties sanitaires n’a eu d’autre but que l’apprentissage de la dictature militaire, nécessaire en temps de guerre.

Encore une fois, navré de me répéter, en 2018, juste avant l’instauration de la Tyrannie sanitaire le gouvernement du Virus issu du charnier du Bataclan, a fait graver sur les deux cent mètres de mur du Père Lachaise, à l’extérieur, pour être vus des passants, tous les noms des tués de la Première Boucherie impérialiste.
Ce n’est pas une coïncidence, ni un hommage, mais un Rite, une Oblation, afin de faire naître un égrégore, dans le sens le plus cabalistique et maçonnique.
Cet égrégore, tout vagissant et souillé, portant sur sa face la Couche qui retenait ses excréments de pensée, le voilà tout soudain qui se relève, colossal, Hénaurme [2], furieux, hurlant après sa pitance de sang.

Notes

[1] Henry Morgenthau, alors secrétaire du Trésor (ministre des Finances) des États-Unis.

[2] Flaubert

lundi 7 novembre 2022

Pour ma part,

 

 la « vérité » est d’ordre cosmique nullement anthropologique. A tel point que parfois je trébuche sur la bûche du physicalisme, mais je me rattrape à la poutre de la Croix



vendredi 22 avril 2022

Barrons la route... oui, mais à qui ?

                                        J’attends les Cosaques et le Saint Esprit 
                                                                Léon Bloy

Mystérieusement le micro-Virus fait une trêve pendant la période votante, il retient ses Variants qui piaffent d’impatience derrière les cameras. On dirait qu’il marche la main dans la main avec le Macro-organisme infectieux qui s’est emparé de l’ex-France, ce qui ne laisse pas de nous surprendre : les Virus auraient-ils des mains ?

Par leurs façades populistes, « l’Union populaire » et le « Rassemblement national » se ressemblent, et l’on pourrait imaginer leurs propriétaires se jetant amoureusement dans les bras l’un de l’autre et passer le prochain dimanche à la campagne. Mais il n’en sera rien, l’ex-Sénateur Mélenchon préfère les hommes. Son populisme est pure démagogie, son programme n’est populiste qu’en peinture, dans la cuisine et la chambre à coucher il est féministe et woke, et islamo-gauchiste dans les toilettes.

Les grenesses décoloniales et les coraniquettes racisées forment le gros des troupes de la Femme Insoumise. Mais elles ne trahissent pas leurs mâles comme les gendermettes souchiennes, les féministes extrémistes qui ont volé au secours de Sonia Nour. La Nour qui, entre un boucher halal égorgeur de femmes et les femmes blanches égorgées, préférera toujours le Mâle. Les noires décoloniales et les coraniquettes racisées comme Bouteldja ne trahissent pas leurs hommes, elles.

La haine raciale des unes et le ressentiment sexuel des autres convergent, si l’on peut risquer ce mot en cette matière, vers le « Mâle Blanc » comme elles disent.
Ce Janus Bifron féministe n’est pas nouveau. C’était Gloria Steinam et Angela Davis. Les deux grandes égéries des campus à la fin des années soixante aux Zétats Zunis quand le MLF naissait en vagissant. Gloria, lesbienne, juive et femme se disait trois fois opprimée. Angela, idem, mais noire au lieu de juive. Gloria avait elle révélée à Angela qu’elle est était à la CIA depuis 1962 ? L’Histoire ne le dit pas.
Gloria et Angela s’en prenaient au pouvoir machiste blanc dans le mouvement étudiant. Les deux appelaient les hommes noirs à elles, en tant que frères opprimés par le Mâle Blanc.
Telle fut constituée la doctrine. Telle elle s’est continuée.

L’ex Sénateur Mélenchon, vieux mâle blanc de plus de cinquante ans encombre LFI de sa prépotence. Il vient de l’Histoire. Trotskiste qui s’est vendu à Mitterrand, il a été sénateur socialiste, et ministre du gouvernement Jospin qui a le plus privatisé (jusqu’à lui), qui a rétabli le travail de nuit des femmes dans l’industrie ( au nom du féminisme), qui a aboli l’interdiction du travail des enfants de moins de quinze ans. Puis qui il a fondé le PG avec les débris du PCF.
C’est un vieux Rhinoceros historique qui encombre la ménagerie woke, purement idéologique. Les Autain, Garrido, Desbureaux, Obono, et autres Simonnet, piaffent d’impatience !
Même si le Sénateur n’était pas le social-traître qu’il est par nature, il aurait été obligé d’appeler à voter contre Marine, pour conjurer le mauvais sort de ses sorcières ultra féministes. D’ailleurs il a psalmodié « il ne faut pas donner une seule voix à Mme Le Pen » par trois fois, comme dans les évangiles !

Dialectique du maître et de l’esclave : le patron de la Femme Insoumise devient son valet de chambre.

Les immigrés sont les votards de la fRANCE inSOUMISE. Ils urnent Mélenchon comme ils mollardent par terre. Dans les zones occupées par les ternes populations des négoces et des trafics le vote FIFI dépasse de loin la moyenne nationale. Plus de 40 %. C’est un fait, vérifiable par tous. Le ministère de l’Intérieur publie les résultats détaillés de l’élection, par départements, par communes, par arrondissement. L’examen objectif de ces résultats oblige à faire le constat que Macron a été plébiscité par la bourgeoisie et Mélenchon par l’immigration.

Les Muz font fi du woke de LFI.
Youssef Hindi qui les croit inconscients voudrait les instruire que ce vote est un vote LGBT. Il pense qu’ils ne sont probablement pas réellement informés, parce que l’enseignement de la théorie du genre à l’école est tout à fait répréhensible du point de vue islamique par exemple.
Nous pensons au contraire que les « citoyens musulmans » qui votent Mélenchon sont des plus lucides. Ils votent pour la décomposition de l’âme française nécessaire à leur émergence. Ils connaissent l’ élgébétisme de LFI, mais ils s’en réjouissent : cette vermine ne les atteint pas. Ils ont trop d’identité pour sombrer dans le woke, gender etc.. dans lesquels ils devinent la pire faiblesse de l’européen, celle de l’instinct. Que périssent plus vite ces européens tarés et dégénérés, que notre règne vienne à l’ombre de l’Empire.
Il faut aller le vendredi à la sortie de la Mosquée Omar dans le onzième, pour voir la foule énorme des hordes brunes, les visages tordus de haine après les prêches ! Que pèse Youssef devant ces prédicateurs qui leur dit de voter Macron dimanche prochain ?
L’islamo-gauchisme accomplit le vœu de la Réconciliation.

De A à Z, de Autain à Zemmour. Pendant qu’on attirait les regards vers l’ombre du Zemmour, le vrai danger venait du Sénateur.
CCBF 3 n’est il pas l’histoire de la prise du pouvoir par la Femme Insoumise, et le discours de Madame de la Hollande, reine de l’Hexagonie n’est il pas le fondement de l’accord idéologique entre le banco centralisme et LFI ?
La Reine dit :

« Sur quelle base, sur quel pilier, sur quelle colonne pourrait s’élever l’État gynécocratique qui soutient les deux mamelles du féminisme : le Gender et la Répression des Mâles, si ce n’est sur le nôtre ? Que l’Explosion démographique du chaînon manquant soit devenue une aubaine, admirable opportunité sexuelle contre le Mâle Blanc n’est elle pas suspendue à la chaîne d’or du Grand Capital ? »

Ces E mails d’Emirats sont une intuition poétique de ce qui arrive, de la montée en puissance de LFI de par sa nature contre révolutionnaire...

Les gauchistes qui étaient déjà des affidés des GAFAM et de Soros sont passés du côtés des nazis ukrainiens ! On entend maintenant des antiracistes farouches délivrer un répugnant racisme anti slave qui n’a rien à envier au père Himmler.



dimanche 27 mars 2022

Bulletin confidentiel

 Chaque période électorale devient un moment supérieur de crétinisme, un spectacle de pur abrutissement pendant lequel on constate une extinction généralisée de la conscience politique.
Même les meilleurs n’en sont pas exemptés. Présentement on nous a desserré un peu l'écrou totalitaire pour qu'on ne pense plus qu'à ça, cette pantomime grotesque avec ses misérables polichinelles avides. 

Je ne vote plus depuis si longtemps que je me demande si j’ai jamais voté. Ah, si, je me souviens : j’ai voté Non à Maastricht et au Traité constitutionnel, et Oui au Fâchisme en 2002.

« Élection piège à con » ce graffiti de Mai fut pour moi une révélation qui instinctivement me ravit même si j'étais encore trop enfantin pour le comprendre. Or j’étais très conformiste. Je croyais dans les fondements de la société. Je pensais qu’on devenait ouvrier si l’on travaillait mal à l’école, qu’un Grand général gouvernait la France parce qu’on l’avait choisi….
Pas question pour moi de comprendre l’essence politique du graffiti.
Que les jeunes gens de l’Université, de futurs messieurs, puissent formuler ce qui m’eût paru une insanité proférée par l’épicier ou le ramoneur, voilà qui passait mon entendement, aussi je lui cherchais une explication supérieure.

Auparavant, j’avais interrogé mon père : qu’est ce que ça veut dire maoïste ? — « Des jeunes types qui voudraient qu’on devienne tous comme les chinois, habillés pareil, le communisme absolu ! »
Je ne pouvais pas croire que ces types, mes aînés qui en étaient aux études supérieures pussent désirer vraiment le nivellement par le bas.
Absolu voilà le mot clé. Tant j’étais socialement conformiste que je ne pouvais imaginer de leur part une volonté de communisme absolu autrement que métaphysique. Leur communisme était une ascèse monastique. La Bure du prolétaire et une Bible à psalmodier.
Esclaves de l’absolu ils en devenaient inhumains ! Ce mépris pour les contingences me semblait cruel et aristocrate ! La touche d’irrévérence et de cruauté de ceux qui se savent supérieurs et veulent l’effacement de toutes les autres distinctions. Je ne jurais plus que par eux, avec de tels arguments que ma mère voulait me faire examiner.

Je n’imaginais pas un instant que des ouvriers voudraient cela. Je connaissais des ouvriers. Ils étaient travailleurs et polis, ils avaient un bleu du dimanche bien repassé, ils n’allaient pas à la messe parce qu’ils étaient du Parti communiste, mais Jésus leur pardonnerait les pauvres. Jamais, au grand jamais, ils n’auraient voulu tous nous obliger, hommes et femmes à porter le bleu et méditer le rouge, soit la Pensée de Jacques Duclos. D’ailleurs tout le monde savait que le Parti détestait les « gauchistes ».

Election piège à cons survint pour renforcer en moi cette conviction. Le Suffrage Universel le fondement de notre meilleur des mondes possibles, ils n’en voulaient point, car il y avait Sheila, Guy Lux, Henrico Macias, enfants de tous pays, toute cette maternelle yéyé qui ravissait mes sœurs.
Quel dédain aristocratique de l’opinion commune ! Car ce graffiti, contre lui, boursouflait les imbéciles : « Que c’est con de dire ça ! Qu’est ce qu’ils veulent la dictature ? » 

Qu’il est loin le temps. Plus tard je compris qu’il s’agissait de railler la participation des esclaves à leur servitude.
Mais aujourd’hui je pense à nouveau que j’avais raison dans mon intuition plus profonde que je ne l’ai cru jusqu’alors.
Aujourd'hui, même sans connaître l’histoire, ni la généalogie politique du pouvoir, même sans un atome de conscience politique, le premier convenu ne peut pas ignorer la nature mondiale, globale, du pouvoir des vautours du grand capital.
Personne ne peut croire une seconde qu’aucune de ces mouches à merde qui volettent autour de ce morceau de roi qu’est l’Élysée, ne sera de taille à discuter avec ces vautours. Ce qu’elles veulent ces mouches véreuses c’est aspirer avec leurs petites trompes les sucs délicieux de l’Ordure, et enduire leurs pattes de typhus, afin de continuer la sinistre farce pharmacienne.

La volonté de voter est la volonté de continuer ce pouvoir, avec d’infimes nuances, genre plus de théorie du genre avec l’Ex-Sénateur, ou moins d’Arabes avec le Juif-arabe.

« Nous sommes en guerre », certes !, et la guerre, ça simplifie. Y en a-t-il un seul parmi les minables clowns qui se poussent sur le devant de la scène qui ait dit : « si je suis élu, alliance avec la Russie » ?
Alors qu’est ce qui changera ?

Je n’écris pas ceci pour appeler à l’abstention, quelle sottise, ceux qui ont envie d’urner y vont, ceux qui n’ont pas envie n'y vont pas , mais uniquement pour énoncer le paradoxe que le suffrage universel renforce la dictature universelle.

Annexe

1848, suffrage universel mâle. Il fut octroyé par la bourgeoisie pour vaincre la tentative révolutionnaire de cette époque. La révolution n’étant présente que dans les grands centres industriels, le suffrage universel noya la poudre des fusils des ouvriers sous les flots des bulletins paysans et des boutiquiers. Puis les dirigeants socialistes devinrent eux mêmes des boutiquiers et des ploucs pour gagner aux zélections.

1944, droit de vote des femmes, par l’ordonnance du 21 avril 1944, parce le capital crut, à juste raison, que leurs suffrages iraient plus volontiers vers les partis bourgeois conventionnels plutôt qu’au parti communiste. Ensuite le parti communiste et ses avortons gauchistes devinent féministes, évidemment.

samedi 26 février 2022

dimanche 9 janvier 2022

Drôle de cauchemar

 



      Subitement je sors de mon rêve, dommage, cette belle et grande fille avec ses yeux d’aigue-marine laissait passer une vague espérance, comme cette lueur spectrale à travers l’occultant de la lucarne. Levé, je vais ouvrir la fenêtre pour voir le jour, quand j’entends l’eau des sanitaires couler avec fracas dans la salle de bain. J'y cours, allume, et merde! pas de lumière ! Je retourne à mon chevet pour voir l’heure, clic ! pas de lumière non plus ! Dès lors, je soupçonne que je suis peut-être en train de rêver. Je ferme les yeux pour jouer le jeu, rêver ailleurs peut-être, lorsque des fulgurations éblouissantes, rouges, bleues, vertes, d’une totalité écrasante, se mirent à clignoter sans arrêt, et sur ces plaques unidimensionnelles des flashs publicitaires jaillissent :  ASTRAZENECA, PFIZER, MODERNA, l'un après l'autre, sans cesse...

 Affolé, je rouvre les yeux mais ça reste pareil, l’espace dans la chambre est le même que celui dans ma tête, je suis à jamais dans l’a priori de l’esprit, impossibilité d’en sortir, la déraison pure sans remède !  Mais les catégories apothicaires seraient elles aussi des formes universelles de l'entendement ?  COMMENT EST CE POSSIBLE ? Solipsisme et Big Pharma seraient donc ensemble le Summum et l'Ultimum ? Il faut que j'aie été piqué à mon insu ! Quand ? Où ? Cette ordure dans les sanitaires ?  Je devins un hurlement démentiel :  au secours ! O Dieu pitié ! Lavez mon sang, éteignez les néons de ces éons éternisés en moi ! 

Parce que subsistait, ténue, infinitésimale, sous l’absoluité de l’horreur, l’intuition de l’autre Mort, la vraie, la délivrance, vague lueur aigue-marine qui s'étendit doucement pendant des siècles d'enfer, puis envahit mon esprit tout entier, et je m’éveillais pour de bon hors de ce cauchemar.

 Est ce bien sûr ?