Or donc, depuis le 7 octobre et le commencement de l’Infanticide digne du roi Hérode, nous n’avons eu de cesse de clamer, vox clamentis in deserto, notre dégoût de l’anti-siounisme subventionné, car elles sont subventionnées les assoces, Capjo, Europalestine et autres, n’en doutez pas, ce sont des branches de la gauche issue de l’appel au secours, du SOS lancé au racisme noir et arabe depuis 1984.
Tout était magnifiquement faux, dans les analyses qui posaient un
clivage absolu entre le pouvoir sioniste et les antisionistes subventionnés, et nullement par erreur d'analyse mais par manque
d’intuition.
Avant que naquit le Front républicain n'est ce pas que nous prédisions :
« Et ça va repartir pour un tour, un tour de piste du cirque antifa, comme en 2002, les antissionistes racisé.e.s woke et les sionistes étudiants Juifs, quand ils se mettent en mode SOS, enfin réconcilié.e.s » ?
Si fait.
Or donc, après en être venu aux mains, les Etudiants Juifs de France et les Etudiants Pot de science, tombèrent dans les bras les uns des autres ! Embrassons nous, Folleville !
C'est l'Accolade ultime devant le danger. C'est qu'on vit arriver une sinistre casquette. Arborer une casquette de la Wehrmacht pour déconner, sembla aux antifas plus grave que défendre la pulvérisation de Gaza. Devant cette casquette l'union sacrée était de mise.
Encore une citation de Felix Le Chat de Schrödinger, car il est à fois vivant et mort :
« C’est la même volonté de puissance qui se dissimule ici sous le masque Woke, en Ukraine sous le faux drapeau nationaliste, et qui se voit à découvert en Palestine. »
Pendant cette autre bagatelle rituelle à Gaza, pendant ce Déluge d’uranium, là-bas, en Ex-France l'algérien Merah assassinait un arabe, puis quelques juifs dans une école. Et le lendemain un Noir en tuait un autre à Toulouse. Alors l'UJEF avait clamé sur ses pancartes :
« En France ON tue des Noirs, des Juifs et des Arabes » !
La Gauchissure ne se tint plus de joie ! Non plus qu'un Angolais, gracieux, puisqu'il portait un bracelet électronique, qui viola puis poignarda Marion, 13 ans, le lendemain de ces manifestations, pour renverser un peu les statistiques.
C'est bon pour pour nous autres, déjà politiquement et économiquement expropriés, en exil dans notre pays, déracinés sur notre sol natal, nous qui nous traînons au milieu de zombis, de barbarophones et de ruines morales.