jeudi 21 mars 2019

Acte XIX : les Sentinelles de la Synagogue



"N'y manque que les soldats, nos vaillantes sentinelles de la synagogue. Hommes et femmes à Famas, vous nous avez laissé massacrer au Bataclan l'arme au pied, car vous aviez des ordres.  Allez vous demain obéir et tirer sur nous ?" 
Telle est la question que je posais le 16 décembre dans un article sur le site d'Egalité & Reconciliation .
(Gauche du travail (SOS Racisme) et Droite des Valeurs ( A.F). Ce qui se tient. Maurras était fondamentalement anti Boche, donc anti Aryen. Il a poussé à la boucherie de 14.)

On s'est bien foutu de ma gueule pour cet appel à la soldatesque de l'Otan. Hé pourtant nous y sommes ! "Acte XIX des Gilets Jaunes : le gouvernement mobilise les militaires de l’opération Sentinelle." Donc les manifestations fluos sont maintenant identifiées à du Terrorisme. 

On s'en souvient, le 13 novembre 2015 les Sentinelles de la Synagogue avaient reçu l'ordre de rester l'arme au pied devant l'abattoir.  Je les nomme ainsi pour la raison que j'ai vu pendant 2 ans, dans le douzième arrondissement de Paris, nos braves sentinelles monter une garde vigilante devant les locaux  Beth Loubavitch, rue de la Gare de Reuilly, pour prendre ensuite leur faction devant les grilles de Hôpital Rothschild, rue de Picpus, à 200 mètres.  Je n'y aurais rien trouvé à redire si entre ces deux vénérables institutions ne se dressaient la grande Bibliothèque Picpus, six étages, et le lycée Saint Michel de Picpus, laissés sans aucune protection.
Que Saint Michel archange, patron des parachutistes, veuille protéger les écoliers !

Pourtant les tueurs fichés S des services avaient marqué les 13 novembre un certain goût pour l'extermination du jeune goy!  Mais les Autorités ont choisi de protéger préférentiellement de vieux Juifs au stade terminal, et des Juifs en forme olympique. En forme, religieusement parlant, puisque la secte Loubavitch affirme entre autres choses que : «  seuls les Juifs sont des êtres Humains, les goïm sont de la semence de bétail »,  et que :  «  il y a moins de différence entre un goy et un animal qu’entre un juif et un goy ? »
Et je sentais bien, quand je passais devant le périmètre de sécurité des locaux Loubavitch pour me rendre à la Bibliothèque, que les hommes et femmes à Famas qui me regardaient de travers n'auraient pas fait pas de difficulté pour m'abattre comme une sale bête.

La Bibliothèque Picpus a eu beau se rebaptiser Hélène Berr, du nom d'une personne hélas disparue dans la Shoah,  les Autorités n'ont pas été dupes :  chez Hélène ne fréquente que de la semence de bétail ! Donc, ni sentinelle, ni protection !  Chez Hélène On n'y entre comme chez Jean Moulin.

Au fond en 2015 les SS ont servi à sécuriser le périmètre du bataclan pour permettre aux djihadistes alliés de l’armée française, qui faisaient du bon boulot en Syrie, d'en faire en fRANCE.
Bien sûr les soldats ne font qu'obéir aux Zordres !
Quant à celui qui les a donné le 13 novembre, un général d'Opéra-Bastille au nez consciencieusement épilé, on ne saurait lui reprocher de ne pas connaître sa partition. C'était une enclave inviolable le Bataclan, sacrée comme une ambassade, c'est là qu’avait lieu le gala annuel pour le bien-être des soldats de Tsahal.
Donc l'armée de l'OTAN, section hexagonale, n'avait pas le droit d'intervenir dans ces territoires occupés sans déclaration préalable de guerre.

 Il y eût aussi le scandale de la propre garde rapprochée du bas-Catalan Valls, stoppée net dans son élan vers le Bataclan situé à proximité.
 Pour ne rien dire de la coïncidence surprenante de la répétition sanitaire, et de ce mot très mystérieux de monsieur Cazeneuve  à monsieur le Préfet de police Cadot : « je m'attends à 130 morts ».  Propos rapportés dans le livre "Les coulisses du 13 novembre", et que l'un des auteurs François Malye  a confirmé le Dimanche 13 novembre, sur France 5.
 Ces paroles visionnaires auraient été prononcé dans "l'après-midi" du 13 novembre 2015, lors de la présentation du Plan armes destiné à désarmer  complétement le peuple de france.

Nous sommes, là encore, devant quelque-chose que personne ne semble avoir remarqué. Ce Plan arme décidé par un crâne d’œuf ministre qui dit prévoir une tuerie massive contre le peuple a pour projet de désarmer un peu plus le dit peuple !  N'est ce pas craindre sa réaction, craindre qu'il décide de se sauver lui même, par ses propres moyens  ?
Sans parler des autres éléments factuels, comme la vente Touitou, l’absence des vigiles, les témoignages visuels sur les tueurs des Terrasses, qui ne ressemblaient nullement aux égorgeurs du bataclan.
Le témoignage du chanteur des Eagles of métals, affirmant avoir vu les Arabes le matin même dans les coulisses du cabaret. Etc., etc, etc, on n'en finirait pas de dresser la liste des faits pour le moins troublants, qui ne laissent pas de nous précipiter dans des abîmes de perplexité.

Quant à l'Etat policier institué après les tueries organisées du 13 novembre il semble qu'il préludait à la dictature militaro-policière en marche, planifiée depuis lors. Les violences de samedi dernier n'étaient que le prétexte pour ce recours à l’armée contre les manifestants.
La lutte contre le terrorisme destinée à protéger le peuple n'était que la terreur de l'Etat contre le peuple
Je l'ai dit et répété au soir de l'élection truquée du Golden Boy sur ERFM avec A.Soral : son gouvernement sera un gvnment de transition vers un Etat à la Pinochet .
Ainsi, de contre-révolutions en contre-révolutions va s'achever la soi disant "révolution libérale-libertaire".

On lira aussi ceci 




samedi 16 mars 2019

Déclaration de Gilets Jaunes

Nous, Gilets jaunes, sommes des pauvres en colère et nous n’admettons pas d’être traités pire que des bandits et des terroristes !

 Nous n’acceptons pas que ce soient des législations et des méthodes de répression mises en place contre le terrorisme qui nous soient opposées !

 Nous, Gilets jaunes, ne cassons pas des vitrines, mais nous brisons… le silence des plus démunis, nous détruisons le carcan d’oppression et de passivité forcée des plus pauvres, nous cassons les mensonges du pouvoir des milliardaires, nous rompons des décennies de passivité des opprimés, nous détruisons les mensonges des gouvernants au service des profiteurs et des voleurs, nous démolissons les réformes antisociales et les politiques au service des milliardaires !

 Nous, Gilets jaunes, manifestant pacifiquement, n’acceptons pas que des milliers d’entre nous soyons arrêtés, emprisonnés, détenus, condamnés, alors qu’aucune preuve réelle ne nous est opposée sur nos soi-disant actes délictueux !

 Nous, Gilets jaunes, dénonçons les violences commandées par le gouvernement des milliardaires aux forces de répression : yeux arrachés, mains coupées, bras et jambes détruits, les coups au crâne, les handicaps parfois définitifs, les souffrances et les conséquences dramatiques, jusqu’à la mort causées par ces répressions policières.

 Nous, Gilets jaunes, exigeons la libération de tous les emprisonnés qui sont des victimes de la guerre civile que nous imposent les gouvernants !

 Nous, Gilets jaunes, exigeons que toutes les victimes de la répression soient reconnues comme telles et indemnisées !

 Nous, Gilets jaunes, exigeons que tous ceux qui ont été inquiétés, menacés, licenciés, condamnés se voient libérés de leurs peines et des sommes qu’on leur a fait payer pour des dégâts qu’ils n’ont pas commis !

 Nous, Gilets jaunes, dénonçons la mainmise du pouvoir sur les média, y compris ceux d’Internet, les Google et autres Facebook ayant, à la demande du gouvernement, cassé toutes les indexations des automates qui gèrent ces moteurs de recherche et applications !

 Nous, Gilets jaunes, refusons la fausse démocratie des débats du pouvoir, des élections du pouvoir, des institutions du pouvoir et des forces de répression du pouvoir !

Gilets jaunes de Poitiers




Tract des GJ de Poitiers 


Déclaration de GJ de Poitiers