samedi 30 avril 2011

Contre Félix


Les écrits de Félix sont d’humeur, on le sait.
Le dernier peut paraître un peu rude, du strict point de vue de la religion (je pense tout de même que ce texte va bien au-delà de cette importante question ).
Cependant, c’est de bonne grâce que je décide de publier, en atténuation, cet avis de notre amie musumane. Dieu la bénisse.
L’abbé Tymon de Quimonte

« Pour les français musulmans, seulement 10% des viandes vendus seraient hallal, nous sommes bien loin des "100% en Ile-de-france". Quant à BB, je me suis toujours demandé ce qui la motivait, la haine du musulman, ou le bien-être des animaux .
Cette généralisation de "faux hallal" n'existe que pour donner bonne conscience aux musulmans modérés, ou "du dimanche", afin que lui aussi puisse à son tour, ingurgiter la même quantité de viande que le Français de souche.
Pour moi, le quick hallal n'est pas hallal, ainsi que toute les viandes "hallal" que l'on nous vends au supermarché, car il ne respecte pas l'abattage rituel... malgré ce qu'ils racontent.
C'est l'offre qui a crée la demande.
Il n'y a pas mieux que le fermier du coin, avec son élevage à taille humaine. BB n'a pas tout compris, c'est l'industrie qui ne respecte pas les animaux. »
Mouslima

samedi 23 avril 2011

Union Sacrée autour d’un Sacre

Une Union Sacrée
Avant les turpitudes de DSK Nafissatou il convient de se souvenir que l’élection de l’élu parmi les zélus, j’ai nommé : le Directeur du FMI. était le projet.....
Pour réussir ce tour de force contre nature : faire élire par les travailleurs eux mêmes le plus mortel ennemi des travailleurs, il fallait disposer, en face de lui, d'un repoussoir absolu.
Pour faire élire un agent américain à la tête de l’Afrance il a fallu rafistoler et propulser l’inadmissible Dinde Royale. Quel sera cette fois le repoussoir absolu, pour l’élection d’un agent israélien ?
Mais le même que celui du Chichi mes chochottes : « F comme Naziiii, N comme la lune » ! Le FN encore et toujours, face auquel, il sera possible, pensable, imaginable, pour toute la Gôche, le Sénateur Mélanchon et le facteur factice en tête, d’oindre d’avantage d’huile le huileux Thénardier du Capital financier avec la Sainte Ampoule de l’Antifâââchisme !
On le sait finalement cette option jugée trop risquée fut abandonnée.
Que nafissatou ait été directement manipulée ou que les zautorités se soient précipitées, n'importe peu en dernière analyse. Car il est bien évident que dans la vie ordinaire un ....qui viole une femme de chambre est tout à fait .....
Mais ce qui retiendra notre attention c'est la différence entre 200, et les metteurs en scène ont dû renoncer à nous rejouer une folle pantomime,  et frapper les trois coups annonçant la représentation au suffrage universel d'une variété du Théâtre ce soir du 21 avril 2002.

Les antifâchistes ont des têtes d'oiseaux,
un épouvantail suffit à leur essor.
- Quel masque passera pour plus ignoble encore, que celui crochu et verdâtre du Créancier international, de l’Huissier impitoyable de la Dette, l’infâme FMI bourreaux des peuples et des continents, avec son Tenancier actuel, l’incontinent bourreaux des cœurs ?
Celui du Spectre qui hante l’Europe depuis la Deuxième Extermine-à-Sion mondiale, l’Ombre épouvantable qui fait siffler la tempête sous les crânes d’oiseaux, le vieil Épouvantail bouffé au Mythe, dressé là depuis trois générations.

Brise Marine
D’où cette désignation, flagrante, de Marine par le Gros Media, choix qui n’a rien à voir avec la Chôa, n’en déplaise aux bourdons bourdonnant sur la pureté de la Ruche, mais avec un calcul d’épicier : elle seule sera susceptible d’être au second tour.
Tandis que Bruno… ben non.
Mais chez ces apprentis sorciers gît une contradiction : pour caréner la Marine antivoile il faudra d'abord l'amarrer solidement à la bitte du Dogme; cependant que le Jour venu où le vent contraire soufflera ( le second tour) il faudra bien la carguer d’Opprobre, la démâter du Dogme...
Ô briser la Marine,
Perdue, sans mâts, sans mâts, ni fertiles îlots.
Mais qui sait, nous n’y sommes pas encore : ô mon cœur, entends le chant des matelots! qui échouera, qui sait, ces calculs foireux.

La Gauche Plurielle sanctionnée

Une différence fondamentale avec le fameux 21 avril 2002 de triste mémoire : Marine devrait réussir une vraie percée électorale du F.N, ce qui ne fut nullement le cas en avril 2002 !
À ce moment, ce résultat fut, avant toute autre chose, une sanction à l’encontre de la Gauche dite plurielle, le gouvernement qui a le plus privatisé depuis 1945! Gouvernement ultra-féministe qui rétablit le travail de nuit des ouvrières dans l’industrie, gouvernement le plus enduit de jeunisme et qui supprima l’interdiction de faire travailler en entreprise des enfants de moins de seize ans, gouvernement immigrationniste raffolant des petits beurs, et exhibi-sioniste haïssant les vrais arabes, à tel point que la Jospinasse ne trouvât rien de mieux pour complaire à ses maîtres raéliens que d’aller insulter le Hezbollah libanais à Ramallah en Cisjordanie, ce qui lui valut cette volée ce pierres prémonitoire par des étudiants palestiniens.
Avril 2002 ne fut nullement une quelconque poussée hémorroïdaire de l‘extrême-Droâte, (en voix absolues le FN ne progressa pas, ou à peine), mais une véritable grève des votes de l’électorat ouvrier et populaire qui propulsa mécaniquement le troisième à la place du deuxième prévu.
Grève massive des votes qui ébranla tout l’édifice de la V° république, parce que l’élection du Bonaparte au suffrage universel est la clef de voûte de ces institutions.
Aussi la réaction à cet événement fut à la mesure de la trouille des biens pensants, y compris de JMLP qui n’en menait pas large. Car la violence d’une réaction est d’autant plus grande que la menace a paru terrifiante.
Fascisme et petite-bourgeoisie

Le fascisme, dans la définition marxienne classique, c’est la petite-bourgeoisie enragée qui se déchaîne contre la classe ouvrière, et qui vole au secours de la classe dirigeante défigurée par la peur.
À cet égard, les événements de mai-juin 2002 furent une forme contemporaine de cette politique, la plus spectaculaire manifestation du néofascisme de masse d’après guerre, en Hexagonie.
Qu’importe l’étiquette du flacon : « l’antiracisme » (le racisme anti-blanc) et le « féminisme », ne compte que l’ivresse du lynchage ! Les idéologies changeantes ne changent rien au contenu réel, au contenu social d’un phénomène politique.
Ces petit-bourgeois urbains, ces téléspectatrices énamourées de Patrick Benguigui, avec tous les salariés des activités parasites, pub, services qui vendent de la merde et du vent etc., contrairement à l’ouvrier, sont sensibles aux fumeroles idéologiques (la parité), qui dissimulent le contenu réel, l’exploitation capitaliste brutale (le Travail de Nuit pour les ouvrières ). Le capital leur demeure inaperçu, anonyme, cependant que le prolétariat blanc, le sale populiste, leur semble fauteur de régression sociale, empêcheur de citoyen-du-mondiser en rond, ils ont pour lui une répugnance invincible.
(Cf : les Deschiens qui mettent leurs propres sales gueules, trivialement ignobles, au service de cette idéologie raciste.)
Les illusions perdues des marxistes fossiles 

Ainsi en 2002, la petite-bourgeoisie sentit ses intérêts, ses goûts et ses couleurs métissées, menacés à mort par cette présence du Populiste en Chef au second tour :  terminées les grasses subventions aux assoces, annulation des défilés de trous du cul en talons aiguilles, des raves partouzes et autres bassins de vente libre et non faussées de drogues, fin du règne de la diversité....
Contrairement aux marxistes fossiles qui analysèrent cette masse hétéroclite comme la « jeunesse », en général, et qui serait sottement victime d’une illusion, cette pseudo « jeunesse » composite (la pègre des banlieues, les petites filles antifâchistes, les marchands de téléphones portales, etc., etc., toute la lie communautaire, tous les téléspectateurs anti-LePen ) cette racaille n’a pas des illusions, mais une vision du monde bien .....et parfaitement  homogène aux intérêts de l’oligarchie financière.
 Cette petite-bourgeoisie décomposée, alliée au lumpenprolétariat raciste immigré, forme la « classe intermédiaire » la plus abjecte et la plus répugnantes  depuis l’aube du capitalisme.  Elle a massivement voté OUI à Maasstrique, cependant que la France populaire disait NON au traité constitutionnel.  Paris qui est le camp de concentre-à-Sion de ces vilains personnages,  veautait OUI à plus de 80% cependant que la France entière disait NON ! à 55% !

Essai de phénoménologie frénétique 

Or donc, la soi-disant "jeunesse", répondit Présent ! à l’appel de  sa chiourme, toute la racaille des zacteurs et cinéastes, les footballeurs sans ballons, les chanteurs sans voix, les écrivaines sans talent, et les autres putains du show-biz, et dans leurs lycées et collèges les vieux pions staliniens et les professeuRes féministes ignares... Les « djeunes » enlacées aux lycéennes hystériques (car tout le monde l’avait noté ce fut un mouvement Jeune-Fille, dans lequel les filles étaient en avant, l‘avant-garde des arrière-trains), rejoignait les bobos au bord de l’apoplexie, les pseudos artistes malades d’indignation, la pègre immigrée ivre de haine, et tous les branleurs « antifascistes » professionnels, le grand ramas hétéroclite d'électeurs frustrés de leur Jospin.  Et ils dressèrent comme un seul homme contre le retour de la Bête.
Des semaines durant, il nous fallut subir quotidiennement ces monstrations destinées à humilier et à affaiblir la détermination des ouvriers abstentionnistes, décriés comme « sales collabos, populistes, crypto-FN ».
En face de ce déchaînement artificiel, dont Jospin avouera cyniquement plus tard sur « Israël Sous-culture » en 2008 que c’était de la mise en scène, « du théâtre » il dira , personne n’osa relever le gant.
Ni LePen, ni les dirigeants de la classe ouvrière.  

L'émancipation des travailleurs sera l'oeuvre des travailleurs eux-mêmes ?

Même les anarchistes décomposés qui braillent à l’abstention dès que l’ombre d’une élection municipale minuscule obscurcit leur horizon borné, n’osèrent clamer : N’y allez pas ! Aucune voix pour le tandem Chirac/LePen, le représentant du Capital et son Epouvantail à moineaux !
Aucun parti, aucune organisation même infime, ni l’intransigeant Parti des Travailleurs ou la sectaire Lutte Ouvrière n’allèrent jusqu’à reprendre à leur compte ce magistral camouflet sur la face ignoble du Pouvoir, et laissèrent démoralisés ceux qui l’avaient porté.
Car cette gigantesque abstention portait en creux une exigence : la recherche d’une solution en dehors de la légalité, l’ouverture d’une issue révolutionnaire.

mercredi 20 avril 2011

Henri ou la lévitation universelle


Je viens de lire que l'affairiste Bernard Botul dit Henri Lévy, membre du conseil de surveillance de l'imMonde, au sujet de ce qu'il faut bien appeler l'Affaire Céline, contre toute attente, n'avait nullement klarsfeldisé.
Quand on y pense : ce Gros, plein de klarsfouti, ce klarsfeldgendarm clapotant dans sa fange, ce lourd hébreu en char à bœuf, ce cul de plomb durci, ce lévyte inévitable, cet odieux convive des dernières fêtes, choyé et sentant l'huile, et qui lape sa soupe bruyamment, et qui essuie ses doigts aux rideaux, et se mouche dans la robe de la maîtresse de maison, et qui somme, commande, et tape sur la table de son poing graisseux !
- Ça exige des Zautorités qu'elles éradiquent Louis-Ferdinand Céline de la littérature française ! Et ça obtient satisfaction ! 
Monsieur Homais a fait interdire Flaubert, Bloch a mis Proust à l'index, Nucingen a caviardé Balzac !

Or donc, le Botul,  marchand de bois précieux, a déclaré ne pas s’opposer à la commémoration de Céline.
" Avec le respect que je leur dois, je pense que Serge Klarsfeld et Bertrand Delanoe vont trop vite."  (-"Trop vite" ? Traduisons : attendez donc un peu, impétueux jeunes gens, les choses ne sont pas encore tout à fait mûres...) 
"Cette commémoration doit précisément servir à explorer l’énigme qui fait que l’on peut être à la fois un très grand écrivain et un parfait salaud " !
J'ignore comment on explore une énigme, comme on exploite une forêt africaine sans doute, mais je sais quel profond mystère doit être médité : comment peut on être un parfait salaud doublé d'un penseur minuscule, et léviter dans les cimes en tant que "philosophe". 
Voilà qui me dépasse. 




mercredi 13 avril 2011

Y voir clair en Côte d’Ivoire

§- Le genre de truc qu’on peut lire un peu partout : « Paris aurait fait à Laurent Gbagbo la proposition de retenir pour la France 80 % du pétrole ou des revenus du bassin pétrolier du Golfe de Guinée.
Sur les 20 restants, une ponction de 10 % devrait être faite pour le compte du Burkina Faso et le reste à la Côte d’Ivoire. Des sources proches de ces discussions téléphoniques tripartites (Élysée, Ambassade de France en Côte d’Ivoire, Ministère français des Affaires étrangères) indiquent que le président sortant aurait opposé un refus plus que catégorique. Laurent Gbagbo aurait conseillé à ses interlocuteurs de l’assassiner plutôt de d’espérer de lui qu’il abonde dans leur sens. 
La liaison téléphonique ainsi rompue entre les trois parties, la France n’a eu d’autre alternative que d’ordonner l’attaque de la résidence de Laurent Gbagbo et d’y positionner des éléments rebelles des FRCI. »

§- Que voilà une information qui vient à point pour, si ce n’est justifier, du moins expliquer aux simples, la politique du Fouquet’s, là bas : le Pétrole !
Ainsi la France, c’est-à-dire le méchant pays néocolonial, n’aurait agi que pour ses intérêts impérialistes et le Pétrole.
La politique de M. Sarkozy ce serait toujours la Françafrique en marche !
Pourtant sous la férule du Gbagbo Total totalisait des profits records en cot cot d'ivoire.
En réalité c'est le type "d'infos" types, destinées à obscurcir les consciences.  La vérité c’est que le pétrole n’est pas l’enjeu économique essentiel.
On n’y voit rien en faits ivoiriens si l’on ignore que la côte d’Ivoire c’est d’abord la cote du cacao et du café, dont ce pays est respectivement le 1er et le 7ème producteur mondial.

§- Premier producteur mondial de cacao avec 1,2 millions de tonnes soit 40% de la production mondiale : Ya bon Banania !
D’où la concurrence implacable que se livraient, jusqu’à présent les deux rapaces impérialistes, le vautour yanki et le tout petit french faucon.
 Les Américains ont décidé de s’emparer de la Côte d’Ivoire au service des grands chocolatiers américains et depuis octobre 2000, la CIA travaille intensément à la déstabilisation du régime Gbagbo, car le puissant lobi des chocolatiers spéculateurs veut saisir directement l’ivoire noir dans sa tenaille de fer.

§- D’un côté Ouattara, l’homme des américains et du FMI. En tant que premier minstre de 1990 à 1993, il  a privatisé les entreprises d' État, détruisant les structures de gestion des filières du cacao et café, notamment la Caisse de stabilisation, livrant ainsi les paysans, pieds et poings liés, aux spéculateurs.
Il a appliqué impitoyablement les plans du FMI et de la banque mondiale et dévalué le franc CFA :  en remerciement il sera promu directeur adjoint du FMI. Il s’appuie principalement sur la communauté burkinabè, plus de quatre millions de types dont la plupart travaillent comme des esclaves dans les plantations de cacaoyers, à qui il offre la naturalisation.
Obama dans un message de la Maison Noire le 17 mars a fait savoir que « Alassane Ouattara est le chef démocratiquement élu de la nation ivoirienne », avant de menacer : « Si Laurent Gbagbo s’accroche au pouvoir, (cela) ne mènera qu’à plus de violence, à plus de civils innocents blessés et tués et à un plus grand isolement diplomatique et économique. »
- Face à lui se trouve donc le Laurent Gbagbo, arrivé au pouvoir en 2000 et qui avait renoué avec la fameuse politique Françafric au service des groupes capitalistes français.  Gbagbo servait les Bouygues, Bolloré and Co, qui ont vu, grâce à lui, leurs positions renforcées.

§- Mais la nouveauté extraordinaire dans cette sombre affaire, c’est que le Prézydent de l’ex-France, clabaudant dans ces eaux troubles, a décidé de couler le paquebot Gbagbo, car il navigue exclusivement sous pavillon Yankee !
Nicolas Sarkozy ne cherche nullement à ressusciter la « Françafrique », loin de là, c’est pourquoi une grande partie de la grosse bourgeoisie french avait dénoncé « le suivisme de Sarkozy », très préoccupée par la prise de position totalement compradore du chef de son état !  En raison, tout d’abord, de ses intérêts économiques en Côte d’Ivoire, et accessoirement pour la sauvegarde des quelques 15 000 français qui vivent et travaillent dans ce pays.

§-On a pu voir depuis plusieurs semaines les vrais de vrais de la Françafrik, tels que Philippe Evano, Jean-François Probst et même les avocats Roland Dumas et Me Vergés, à la pointe du combat contre cette politique africaine rampante et reptilienne de monsieur Sarkozy.
« Acquis aux intérêts américains au point d’avoir fait adhérer la France à L’OTAN, véritable bras armé des intérêts occidentaux, Sarkozy œuvre pour l’instauration d’un nouvel ordre mondial dirigé par des ploutocrates anglo-saxons tels qu’Anthony Ward ou George Soros, qui maitriseront parfaitement les approvisionnements en matières premières en maintenant les populations des Pays Pauvres Très Endettés esclaves des éternels crédits du FMI. Dans cette optique ultralibérale criminelle, tout souverainiste comme Laurent Gbagbo est un gêneur qu’il faut coute que coute éliminer ! » César Etou

§-Au sein (flétri) même de son parti l’UMP, on avait pu entendre le député Didier Julia, membre de la Commission des Affaires étrangères de l’Assemblée dite nationale, déplorer de la part du Prézydent le fait de « s'identifier à la position américaine qui est anti-Gbagbo, parce qu‘ils n‘ont jamais pu conquérir les marchés de Côte d’Ivoire, ce n'est pas une position gaulliste ».
C’était un doux euphémisme !
C'est carrément une position courbée, de valet, de collabo.

§ -L’agent américain Sarkozy ne travaille certainement pas au bénéfice de l’impérialisme résiduel Français en ressuscitant la Françafrique. Loin s’en faut.  L’Afrique francophone est un fardeau jugé trop lourd désormais pour les chétives épaules du capitalisme français. Le petit faucon souhaite n'être qu'un chien de garde choyé à son maîmaître : telle est la place que brigue désormais le capital français, tel est le sens "historique" du Sarkozysme, cette régression.
Aux ordres des Sarkozy et Juppé, les crevures galonnées comme de vulgaires soudards des FRCI (l'armée privée d'Ouattara) servent le système mafieux que l’AmériKKK  installe en Côte d’Ivoire.
Ouattara closed ! Non seulement les ressources de la Côte d’Ivoire seront pillées sans pitié et sans la moindre miette pour le trésor public ivoirien, mais la Côte Ivoirine elle-même ne sera plus qu’un cimetière, comme celui des éléphants qui lui donnèrent son nom, aux cotes brisées et à l’ivoire éteint.
félix le chat

mercredi 6 avril 2011

Graine de Mort

Reçois à l'instant ce délicieux commentaire, courageusement anonyme, quel CRAN !, et qui crife à mort :  un vrai petit Granomort sodomite. 
"Anonyme a dit :
encore un blog de petits trou du cul atteint du syndrome du pauvre petit blanc victime vous paniquez car vous vous rendez compte que vous etes en voie de disparition et c'est une bonne chose signé : le nègre juif qui vous encule. "

dimanche 3 avril 2011

Moisi-le-Numide


Homo-horribilis-prognathus est un mâle ombrageux jaloux de ses prérogatives.
Il a raison : toute la société s’est coalisée afin de lui livrer de la sous-chienne en vrac, en rut, et à profusion, dont il fait ses délices.
C’est dans l’ordre.
Mais Bobo le gentil sous chien-chien mâle à sa mémère, n’a pas compris que l’injonction du métissage n’est qu’un mot tape à l’œil, un travestissement idéal, pour une nécessité plus triviale : la livraison gratuite, string en main, des plus savoureux spécimens du cheptel femelle à l’envahisseur.
Car si l'on peut manipuler les fondements, on ne peut pas violer les fondations anthropologiques, dont la clé de voûte est la compétition sexuelle entre mâles.
Et ce n’est pas notre temps de basse civilisation et de ressingeation qui risque de les remettre en cause.
Or donc, il a suffit d’élire tels ou tels, super-mâles dominants, pour que la femelle par conformité intra-utérine à l’intramondain, s’en éprenne.
Elle n’a pas que son connil qui soit élastique.
D’où ce spectacle constant mais consternant de l’élite féminine, puisque la Beauté et la mise en valeur de la beauté, sont la seule grandeur de ce sexe infâme, entrelardée avec la lie biologique des plus inadmissibles abrutis.

Il a fallu de longs millénaires à la grande nature pour peaufiner Blandine.
Il suffira de trois générations pour la voir disparaître
On sait par exemple que la blondeur et la blancheur de la peau féminine sont un signe d’élection sexuel.
Dans toutes les populations de la terre, la peau féminine (ces peaux de vaches), est plus claire que la peau des messieurs. Un même visage paraît plus féminin lorsqu’on éclaircit sa photographie, plus mâle si on la fonce.
Le taux important de variation dans la couleur des cheveux et des yeux est spécifique à une seule espèce; plus on descend ailleurs, plus la couleur devient uniformément brune ou noire.
La dépigmentation des zindo-européens est un résultat, non pas de l’acclimatation, idée reçue mais fausse, mais de la sélection sexuelle propre aux Néandertaliens.

Ainsi « notre » femelle néandertalienne vient de prouver à une échelle jamais atteinte, que l’individuation chez elle est pure fiction.
Son existence propre, loin de représenter une exceptionnalité ontique n’est qu’un avatar existentiel de l’existential du ON.
L’hâmur qui est pourtant l’unique affaire de sa vie, on voit qu’aucun libre arbitre ne préside à son choix, la femelle s’accouple avec qui on lui dit de le faire. ON étant l’Impératif catégorique social, la Convention, la publicité, le catalogue LaRedoute des idées reçues; plus encore : le Dasein de la quotidienneté ou si l’on veut faire encore plus allemand, la Durchschnittlichkeit triomphante.
Elle est surdéterminée par les journaux féminins qu’elle dévore.
Avez-vous déjà observé une femelle absorbée dans ( j’allais dire la lecture, mais non c’est autre chose) l’absorbation d’un morceau de ces ordures imprimées qu’on lui sert en sauce ?
Une ride soucieuse barre son joli front, rien, pas même une explosion nucléaire ne pourrait l’arracher à sa délectation extasiée et morose, à l’écoute captivée de cette voix comme intérieure et qui lui dit tout : comment aimer, comment se faire aimer, qui aimer, comment l’aimer, que lui faire pour se l’attacher à jamais. « Comment rendre son mec fou de plaisir ? » ai-je aperçu en titre chez mon ORL préféré.

Or donc, disais-je, comme à son habitude bobo-sous-clebs n’a rien compris au film, faute de sous-titres.
Il a décidé lui aussi de se tisser des amours sur des nattes métisses avec des filles exotiques, capiteuses et joliment lippues, crépues et callipyges, pour faire chic.
Le niais. Il n’a pas la cote de prognathus auprès de sa blondine.
Il ne lui reste plus qu’à attendre que Monsieur Prognatus, ait terminé,  pour aller bouffer ses restes dilatés.
Mais ce dernier ne l’entend pas de cette verge : il châtie durement quiconque lui ravit sa proie, même postopératoire.
Entre parenthèse, il faut vraiment avoir le cœur bien accroché pour accepter de manger dans certaines gamelles après que certains ramapithèques les ont lapés de leurs lippes immondes.
Les femmes sont comme la légion d’honneur affirmait Baudelaire. On n’en veut plus quand on les a vu pendues à de certains zommes.
En outre,  horribilis-prognathus vit comme un désaveu essentiel, une castration symbolique, qu’une, qui était leur, eût l’heur de s’émanciper de leur attraction gravitationnelle, pour retourner, comme la sous-chienne de l’Évangile, à son vomissement originel.

C’est la mésaventure qui vient d’arriver à un pauvre petit diable pâle, transi d’amour, à la gare de Moisi-le-Numide où il attendait sa colombe à la blancheur suspecte.
Hélas, il est tombé sur une meute d’Horribilis, quasi invisibles sous leurs cagoules, hormis les invraisemblables lippes qui sortent et leur donnent cet air inimitable à la fois méchant et boudeur, meute qui les apercevant entrelacés, fut pris d'une haine raciale qui ne connaissait plus de bornes.
Et quand les bornes sont dépassées il n’y a plus de limites.
La suite est un air connu, mille fois entendu, faut il vous en faire la partition ?
L’un est à l’hôpital sur un lit de douleur, les autres dans la nature, rigolards, impunis, en train de perpétrer d’autres méfaits sanglants.
Renseignements pris, 18 ans, entre la vie et la morgue, le foie éclaté, infarctus splénique de la rate, atteintes du collagène des reins, les hanches et des côtes brisées, énuclée à gauche, les mâchoires en miettes avec les dents arrachées ou branlantes, le nez fracturé, en proie à des cauchemars de sang.
Et les flics impuissants, les journalistes complices : identités soigneusement tues, descriptions des tueurs absentes. Ô cette absence si lourde et criminelle !
La routine quoi.

Le croirez vous, cela renforce encore ma méfiance pour la Fifille à son Papa.
Parce que je comprendrais à la rigueur que l’on put passer des alliances tactiques, à la condition de défendre la Vie de nos enfants.
Les jeunes français blancs sont menacés de meurtre sur le territoire national en raison de leur couleur de peau, chaque jour apporte son lot d’agressions dont le mobile évident, criant, est le racisme primaire de primates.
Ici encore les informations sont données au compte-goutte.
Non seulement prendre le parti des bourreaux, ailleurs, pas loin d’ici, sur les rives du Jourdain peut-être, mais ne plus dénoncer ici l’immigration, cette catastrophe épouvantable, notre Nakba, mais l’"Islamisme", cela pour moi, passe la mesure.
Mais, dans les deux cas, n‘est-ce pas prendre le parti des envahisseurs ?
Et qu’on ne vienne pas encore me reprocher je ne sais quel attrait pour des « faits divers. »
Et m’accabler de la propre bassesse morale de nos ennemis mortels : je serais "braqué" contre les immigrés, par pur préjugé ! Alors que la Raison et l’amour de la vérité sont mes maîtres.
Et qu’eux sont aveuglés par leur hystérie de passion, dite l'antiracisme, ce racisme à rebours, remplis de tous les clichés, pétris d’inauthentique.
Assez.
félix le chat

vendredi 1 avril 2011

Poisson d'Avril.

§- Nous autres, les pauvres en esprit et les zumbles de cœur, les zobscurs, les plantigrades, nous sommes des primates, on nous l’a assez dit.  (C’est pourquoi nous serons un jour les premiers : primates = Primas atis, celui qui occupe la première place )
En attendant, nous préférons appuyer nos trop longs membres fourbus aux piliers immémoriaux du temple de la sagesse, notre pauvre petit entendement rabougri s’exhaussant aux préceptes rebattus de la vox populi.
Qui, nul n’en ignore, est aussi la Vox Dei
Mais,  demande le poète :
Le peuple est juge récusable ;
En quel sens est donc véritable
Ce que j'ai lu dans certain lieu,
Que sa voix est la voix de Dieu ?

- En ce seul sens, monsieur de La Fontaine, que la voix de Dieu quand elle parle le simple et beau langage du peuple, est assez peu entendue, et personne ne se gêne pour lui dire : "la Ferme primate, espèce d’ongulé !"
- Ongulé vous même, glauque cloaque à Sodome ! Car, nous autres primaires, nous préférerons toujours donner notre voix directement au Bon Dieu qu’à ses saints.
Ses saints fussent-ils avec seins.
Disons le tout net : Tant qu’à déchoir, l’an prochain autant voter directement pour la grande Déesse-Caca plutôt qu'une sous-déesse, fut elle fille de Neptune.
Poisson d'Avril !

§- Bien sur, poisson d'avril ! Mais notre déception, elle, n'est pas feinte : sur une radio communautaire de la communauté qui n'existe pas, Mademoiselle LePen a fortement désapprouvé la « tendance à se coaliser avec tous les réprouvés de la planète » de certains hurluberlus dans ses rangs.
« Je ne fonctionne pas comme cela ! » a-t-elle protesté.  Elle ne mange pas de ce pain noir là, elle est une vraie femme de droite, qui préfère fonctionner en se coagulant avec les privilégiés. Elle renoue ainsi avec la très grande tradition du parti des bien-pensants : agglutination des gavés, des nantis, des richards. C’est très franc.
En face, à gauche, va se dresser puissamment la consœurie des richards, des nantis, des gavés, et des enculés mondains.
On voit qu’on aura le choâ.

§- Nous autres, les damnés de la Terre, nous n’avons même plus droit à ça : un parti pour nous, un parti à nous. La cause du peuple, plus personne ne la défend.
Et c’est tant mieux : tout est perdu.
Pour en revenir à l’interviouve de la fille de Monsieur LePen, ce qui la gêne c’est que dans « certains quartiers il ne fait pas bon être Juif, Femme, Homosexuel  ! »  Elle ajoutait, pour faire bonne mesure, « et même blanc, et même tout simplement français. »  Ô merci du peu, madame la présidente !  
Or donc, si nous entendons bien, notre monde c’est un monde dans lequel les Juifs, les Fâmes et les Sodomites rasent les murs.  À partir de là, on en conviendra, on peut tirer l'échelle.

§- On ne pourrait même plus aller voir mademoiselle LePen, si tant est que l’on pût s’approcher de son altesse, et lui dire humblement, le béret à la main  :  « navré de vous contredire vot’ seigneurie, mais voyez vous, les Fâmes, les Djuivants, les Bougres, ben les seuls quartiers dans lesquels y rasent les murs ce sont les quartiers réservés du cinématographe. J’disions pas les quartiers réels, huppés, habités par les gens qui s'engraissent par le cinématographe, mais les quartiers en carton-pâte dans leurs films d'Hollivoude, et que vous ne devriez pas Mamzelle, sauf vot' respect, prendre pour la réalité. »
 « Il nʼest pire dérèglement de lʼesprit de voir les choses non telles quʼelles sont mais telles quʼon voudrait quʼelles soient » dit Bossuet.
Pour discuter, pour simplement causer, se contredire, il faut une base commensurable.
Mais pour celui qui puise sa science dans la vie réelle par rapport à celles dont la conscience vit dans un film de Roger Hanin, il est inutile de s’enquiquiner à réfuter.
C’est toujours autant de force économisées, pour l'économie libidinale.
§- Ainsi, disais-je, par dérision (on l'aura compris),  les simples, soucieux d’adresser leurs suppliques directement au Bon Dieu plutôt qu’à ses assesseurs saints, parmi ceux qui iront malgré tout veauter, qu’ils aillent donc roter pour le taulier du FMI !
Parce que, quel que soit le bout par lequel on le lise : Elu par cette crapule*, il le sera nécessairement.
Inéluctablement.
Que croit elle, Mademoiselle LePen, qu’elle va obtenir l’Approbatur, le Nihil obstat de l’Oligarchie, à sa place ?
Qu’en se rendant plus "présentable" elle va rentrer dans leur plan ?
D’abord, il importe de demander : présentable aux yeux de qui ?
De la masse qui souffre et va cherchant une issue ?  Ou de la superfine couche de canailles qui fait la pluie de plomb et le beau temps durci ?
Ici encore nous trouvons flagrance d’hyper-légalisme aigue. Ça n’est pas parce que les flots de l’indignation humaine, spontanée, devant leur affreuse barbarie tribale ne filtre dans aucun de leurs médiats, qu’elle n’existe pas. Au contraire dans les tréfonds du peuple elle déborde largement.
Décidément cette candidate people n’est pas du peuple. Elle ne le connait pas.
Nous non plus, Mademoiselle, on ne vous connait plus.
Allez vous faire élire par vos zélus, si vous le pouvez.
Nous, on ne peut plus, on ira pas veauter, une fois de plus.

§- Cependant que ce dernier  dimanche cantonal, la foule esclave traînait des pieds pour aller faire où on lui disait de faire, aux urnoirs, l’an prochain, affirme-t-on, elle s’y rendra en masse bien plus compacte afin de se choisir un nouveau Maitre pour cinq ans.
On ne parle plus que de ça.
« Décider périodiquement, pour un certain nombre d'années, quel membre de la classe dirigeante foulera aux pieds, écrasera le peuple au Parlement, telle est l'essence véritable du parlementarisme bourgeois. » écrivait Vladimir Oulianov. (En voila un autre, desquels nous entendons tant et tant médire par ceux-là même qui se vautrent avec délice dans l’auge parlementaire... pas étonnant.)

§-  Dans un hypothétique duel Marine LePen vs Strauss-Kahn,  tous les autres partis, tous sans exception, avec toutes les radios, journaux et télé,  en tiendront pour ce dernier : qui peut croire que la majorité des hommes, ces femmes, trouveront la virilité intérieure de résister à l’appel des sirènes ?
C’est croâre qu’une véritable conversion, une métanoïa, se produira d‘ici 2012. Hélas, pour la multitude vile, l’existence détermine la conscience, pas le contraire.

§- Le seul moyen de triompher du piège mortel qu’on nous prépare, serait une authentique candidature de rupture, et non de léchage consciencieux de consistoire.
L’abstention extraordinaire, à chaque élection,  porte en creux l’exigence d’un changement révolutionnaire.
Commencer par décevoir cette espérance, pour flatter les petit-bourgeois atteints à des degrés divers, du crétinisme parlementaire, c’est l’erreur politique classique.
D’autant que ce léchage n’est nullement purement verbal, si j’en juge.

§- De très concrets lèchements tarifiés sont aussi à la mode de Caen du FN. De Dunkerque plus exactement : là, la charmante candidate du Fion National est une « Escort-girl » (sic),  féministe, et partisanE du saint-métissage.
Qui a déclaré, en guise de programme : « détester les araignées, les mensonges et le racisme. »
Nous aussi.
Parce que englués dans les fils de la toile électorale, l’ombre gigantesque de l’araignée mondialiste et raciste, plane au dessus de nos têtes farcies de mensonges.
Le plus implacable fondé de pouvoir du Capital financier sera le candidat socialiste
La cheftaine de l’extrême droite bien-pensante, féministe et sioniste,  représentera  les petits, les sans grades. 

Qu'est ce que ce monde ? Un 1er Avril permanent ?
Et qu'en sera-t-il de nous ?
Félix Niesche

* un palindrome, qui se lit dans les 2 sens.