Les Covidés ne sont pas nés de la dernière pandémie. Ils vinrent au jour de manière conséquente et conquérante le soir du 21 avril 2002, puis s’étoffèrent en vigueur lors des semaines contre le fascisme du Second Tour. C’est à ce moment qu’on les vit sortir « tous ensembles-tous ensembles-tous ». Cette insecte multitude débordait de partout en bourdonnant.
C’est cette semaine là que j’ai décidé de devenir fasciste. Avant je n’aurais pas succombé à la tentation car je suis un homme de raison politique et mon criticisme pratique me laissait voir que le fascisme pensé avec exactitude, c’était eux, ce ramas qui manifestait contre une abstention ouvrière. On lira ICI avec volupté ce Petit rappel des haut-faits du gouvernement Jospin
C’était eux qui répondaient exactement à la définition dite de Dimitrov, qui fut validée par la IIIème internationale : le fascisme est la mobilisation de la petite bourgeoisie déchaînée contre le prolétariat, au profit des éléments les plus réactionnaires du capital financier.
Mais je les voyais se tordre dans les flammes imaginaires d’un Enfer de télévision. Et par leurs cris de douleur je ne pouvais pas ignorer que ce Mal qui les torturait, ils l’appelaient fasciste. Je voulais donc relever un peu, au moins nominalement, de cette force magique qui les accablait si absolument.
Bien évidemment il fallait aussi prendre en compte leur manipulation par cette tourbe fourbe : NPA, PCF, FA, CGT, SUD etc..
Mais ces derniers n’auraient jamais pu, par leur propre force, susciter cette surrection dans laquelle entrait tant d’adhésion, tant de vouloir ; tant le désir du vivre ensemble était le plus grand Vouloir, le vouloir sexuel.
En effet le « vivre ensemble », l’amour des immigrés, quelque apparence désintéressée et généreuse qu’ils se donnent ont leur fondement dans l’instinct sexuel. Le Vouloir de l’enlacement entre vulgus feminae et homo prognathus, était là, latent sous leurs hurlement, tellement ce désir était entré dans les mœurs, dans les cœurs de nos sœurs.
Ma raison pure et mon criticisme supérieur me laissait voir cette cause profonde, la vraie généalogie sous-jacente de cette apparition, avec une grande clarté dans les belles après-midi ensoleillées, quand je les regardais défiler, accablés d’heures sombres, liés dans leurs ténèbres intérieures, lesquelles les livrerait plus démunis encore dans le fascisme pharmacien.
Bientôt les téléspectateurs antifascistes de 2002 deviendront les Charlie, après qu’on a tué quelques-uns d’entre eux qui dessinaient tout le temps des bites ou des prophètes, rue Nicolas Appert. [1]
Aujourd’hui les Charlie en phase terminale sont devenus les Covidés, coalisés, injectés de frais, en marche vers les lendemains qui sentent l’ether, la morgue et la créosote.
Jusqu’à ce moment j’avais placé ma raison pure dans l’esthétique, et ma raison pratique dans les pamphlets politiques. En devenant fasciste je les fusionnais dans une totalité discutable. Car je crois fondamentalement dans l’égalité des Anus Sapiens. La seule inégalité entre les hommes est dans les races de l’esprit. Mais elle est purement métaphysique. Elle est celle que Pascal a révélé. Aucune société ne pourrait fonctionner sur cette hiérarchie.
Ce fascisme esthétique m’obligeait a des accommodements difficiles si l’on peut accoler ces deux mots, auxquels je ne me sens plus tenus, sauf à nous souvenir qu’il a existé une critique fasciste de la raison réactionnaire. Tout ça, autrement exprimé est dans Voltaire Antisémite , première partie.
II
Le mode de production capitaliste se soucie de la santé humaine comme d’une guigne. Toute la comédie du covid est une fable ridicule. Le But est de discipliner, de réduire, intellectuellement et physiquement, d’installer la pire tyrannie. Nous n’en sommes qu’aux premiers balbutiements.
Si dans sa phase ascendante ce MDP a couvert les pays d’hôpitaux, il a aussi couvert les champs de batailles d’innombrables cadavres mutilés.
Mais l’impérialisme vit sur ce prestige premier en dépit des boucheries.
Verdun voilà pourtant aussi un des visages d’os de la structure capitaliste. Tant le prestige du progrès est grand que cette image s’efface.
En 2018, la veille de l’ouverture du Bal masqué le Pouvoir viral a fait graver sur les deux cent mètres de mur du Père Lachaise, à l’extérieur, pour être vus des passants, tous les noms des tués de la Première Boucherie impérialiste.
Étrange !
Ce n’est pas une coïncidence, ni même une préparation au « Nous sommes en guerre ». Du moins pas seulement.
C’est un Hommage à la Grande Faucheuse esthéticienne, à l’Holocauste des Poilus. Un rituel et une Oblation.
Le mur en face de ce Mur propitiatoire, les féministes l’ont couvert de grandes inscriptions noires sur des bandeaux blancs :
— « Féminicide : la peur doit changer de camp ». Donc appel à l’homicide.
— « Féminicide : nous sommes toutes des Héroïnes ». Donc, raillerie des Héros de la Grande guerre.
C’est elles qui offrent la signification du Mur commémoratif et propitiatoire : préparez vous à crever !
J’ai assisté, un soir, tard, à ce collage de bandeaux par des pouffiasses juchées sur une camionnette. Elles étaient accompagnés par une voiture de flics !
Au début j’ai cru que ce terme débile de Féminicide était comme le Génocide communiste ou le Génocide vendéen, pour que la cause du féminisme ait aussi son Holocauste. La pensée génocidante est le génocide de la pensée.
C’est le nouvel usage. Bientôt le Droit distinguera le meurtre, qui concerne les mâles blancs, correctionnalisé, du féminicide passible des assises. Sauf dans certains cas répertoriés ici. Mais y en a t-il d’autres ?
Schwab avec sa gueule de chewing-gum à la framboise remâché dit explicitement qu’il y a trop de Blancs sur terre.
Hommage à la Mort, aux millions de Morts par ce pouvoir thanatocratique.
« La guerre militaire moderne est sur toute la ligne une abomination. Je me suis efforcé depuis quinze ans de démontrer et de faire sentir que cette guerre, en effet, détruit toutes les valeurs viriles »
Drieu la Rochelle. Socialisme fasciste.
À dater de ce moment, le divorce fondamental entre F et H sera prononcé. Car F ne respecte d’abord et avant tout que la Force, la force sociale de H.
C’est le terrible vouloir de l’espèce qui vit en elle, et se traduit par son hypergamie. Durant la Grande guerre l’homme s’est déprécié en se laissant massacrer en masse, sans s’emparer en retour du pouvoir.
Ne pleurez donc pas sur les horreurs de la guerreAvant elle nous n’avions que la surfaceDe la terre et des mersAprès elle nous aurons les abîmesLe sous-sol et l’espace aviatiqueMaîtres du timonAprès aprèsNous prendrons toutes les joiesDes vainqueurs qui se délassentFemmes Jeux Usines CommerceIndustrie Agriculture MétalFeu Cristal Vitesse
Ces
dommages-intérêts minimum n’ont pas été saisi. Tout le mal à venir du siècle en
découle.
Ce fut une dépréciation spontanée, souvent inconsciente parce que l’idée de la virilité, de la vitalité, de la la force, dans l’entendement de F ne pouvait consentir à cette extermination. Elle se détournera de celui qui n’engendre pas l’Avenir.