jeudi 28 novembre 2019

De tout un peu, beaucoup....


§. Monsieur Conservano me fait l'honneur d'apprécier le fond de mes idées, dit il, tout en désapprouvant mon style.  C'est fort aimable à lui, mais le style étant lié aux zidées par la chaîne d'or, qui sait s'il n'y a pas une erreur quant à l'appreciation de leur fond, une erreur de fond, une profonde mécompréhension ?
 Et qui sait si les audaces stylistiques, les inventions syntaxiques ne sont pas là pour brouiller les pistes, en faisant des passages les plus chargés d'idées autre chose qu'une marche glorieuse vers la 17ème chambre.  Et qui sait si ces passages ne sembleront artificiels qu'à ceux qui ne les pénètrent pas.
Conservano conserverait il son inclination pour le fond des dites zidées, et ne les rejetterait il pas avec leur style, s'il les percevait ? That is the question.

§.   La pluralité des femmes n'est que l'illusion chatoyante, comme le prisme dispersif qui multiplie l'éclat d'une gemme.  Il y a La femme, comme il y a La nature, La vie !

§. La boutique romaine, la radio de toutes les droites, celles de Macron et de Zemmour, s'applique consciencieusement à relier GPA- j'ai pas de papa, et autres PMA à l'eugénisme national-socialiste d'une part, et au marxisme de l'autre.  Cela est asséné constamment et répété en boucle. 
Marx et Hitler le couple transgenre du « progressisme » qui anime les gens de l'Etat !

§.  Or donc, nous avons les deux boutiques installées du crétinisme, qui ont pignon sur rue et fournissent intellectuellement la dissidence.  Les deux boutiques sont bien sûr concurrentes, la concurrence stimule le commerce ! Toutes deux s'enrichissent l'une par rapport à l'autre dans une surenchère de facticité . Elles se désignent l'une l'autre, se concentrent l'une sur l'autre, en se montrant du doigt, ou plus exactement leurs cercles concentriques s'agrandissent l'un l'autre jusqu'à prendre toute la place.
Elles ne sont même pas quelque chose qu'on pourrait haïr, elles ne sont rien de réel, rien que les maisons concurrentes de la contestation débile du capitalisme sénile. C'est une évidence qui crève les yeux, comme les balles du LBD 40, aussi nous sommes peu à la voir.
 L'abbé —  Peu ? Vous ne vous comptez pas pour grand chose, tout en vous multipliant.

§. Qu'est ce qui permet la séparation radicale entre d'une part la fluorescence des gilets et d'autre part l'auréole de la bonne bourgeoisie qui déambule pour tous ? Si ce n'est que le Spectacle catholique, l'imposture de la droite marcono-maurassienne a ouvert sa représentation anti GPA/PMA sous l'intitulé Contre le Progressisme ou/et contre le Marxisme ? Aussitôt l'antifâchiste va se précipiter pour défendre  progrès et libération de Femme, face à la Noire réaction.
La boucle est bouclée, la facticité en marche dans le cercle vicieux.

§. Une époque, un cycle, une Période comme on disait chez les marxistes, a, bien sûr, une cause, une généalogie, rien ne sort de rien, mais est aussi une singularité; en un mot, il y a de l'emergence, de la nouveauté radicale, de l' inédit.
Ainsi l'auto mouvement du monde se passe d'une cause extérieure au monde.
  L'abbé : — C'est la Nature créatrice, Natura naturans, la nature naturante, qui produit la Natura naturata, la nature naturelle. Thèse panthéiste, mon fils.


§. Julius Evola écrit :  « Il faut admettre que l'historiographie de gauche a su se pencher sur les dimensions profondes de l'histoire au-delà des conflits et des bouleversements politiques épisodiques … elle a su découvrir le processus général et fondamental qui s'est réalisé au cours des derniers siècles, dans le sens d'une transition d'un type de civilisation à un autre … que la base de cette interprétation ait été à cet égard marqué par l'économisme et la lutte des classes n'enlève rien aux dimensions grandiose du tableau d'ensemble de cette historiographie ».
Son projet fondamental à cet égard sera de fonder une historiographie de Droite qui ait la même profondeur que l'historiographie marxiste.
Il n'hésite pas à dire lui-même : « Comparée à l’historiographie de gauche, celle propre à la tendance de la droite apparaît donc superficielle, épisodique, bi-dimensionnelle, parfois-même frivole »
On ne saurait être plus précis, sauf à ajouter, moraliste et ridicule.

§. Ce monde n'est que pourriture, gouverné par la pourriture.  Les attaques ad hominem ne sont pas seulement justifiées mais nécessaires. Ne pas voir ça c'est être un animal de basse cour, fait pour la ferme des animaux et le gouvernement des Porcs. Il faut lire ceci calmement, c'est écrit sans véhémence, c'est un constat philosophique, pas une diatribe exacerbée.

§. Mes amis.
Où sont ils ?

§.  La période qui s'ouvre après la victoire du pays des gangsters allié à la satrapie judéo-asiatique stalinienne sur l'impérialisme allemand, cette période, passée la récréation des trente glorieuses, peut être définie comme une réaction sur toute la ligne. Et une réaction qui va croissant, exponentielle !

§. Si encore, on pouvait dire, comme dans la caverne de Platon, qu’il y a ceux, pauvres esclaves, qui n’aperçoivent que les apparences des choses, sans en connaître l’essence, et que nous, esprits éclairés nous verrions la réalité ultime, non plus l’apparaître mais de l’Être !
Mais il ne s’agit pas du tout de ça ! Il ne s’agit pas de Platon, mais de Hegel !
Ce ne sont pas les ombres sur le mur de la prison mondaine qui sont la fausseté même, ce sont les prisonniers eux mêmes, qui sont devenus des fantoches.
Ce qui n’est pas rationnel, n’est pas réel. La réalité n’est pas forcément l’attribut d’un état de chose existant.
Le système capitaliste décomposé en tant qu’il est dénué de toute nécessité, est irrationnel, donc il n’est pas réel. Nous sommes dans la béance d’un cycle historique qui creuse sa propre tombe, et qui attend son cadavre.

§. Se mettre en selle aujourd'hui pour courir sus au Progressisme, criant haro sur le droit-d'l'hommisme ! c'est chevaucher le vent et s'en prendre aux feuilles mortes !

§. La seule discussion qui vaudrait, serait celle assise sur les poutres de Notre-Dame, à partir d'elles, de ce départ de feu, elle seule produirait les flammes propres à incendier les esprits !
Le reste est bon pour les domestiques.

§. On a détruit l'immémoriale Tradition au nom du Progrès/ Puis on a dénaturé le Progrès. Les réformes sont des contre-réformes, l'antiracisme un racisme, le féminisme une pornographie...

§. Le moderne a conchié la Mystique au nom de la Raison, le postérieur post-moderne s’est assis sur la Raison.

§.  L'Absurde est passé de l'état de principe de philosophie existentialiste à raison d’Etat.

§. Et d'autres choses encore...


lundi 11 novembre 2019

La Guerre, le fascisme,

par DRIEU LA ROCHELLE
dans Socialisme fasciste, 1935 : 



« La guerre militaire moderne est sur toute la ligne une abomination. Je me suis efforcé depuis quinze ans de démontrer et de faire sentir que cette guerre, en effet, détruit toutes les valeurs viriles (…).
Pas l'ombre d'aventure, le facteur individuel faute de contact entre les adversaires étant réduit au plus mince.  Dans la prochaine, ce sera vrai pour l'aviation comme pour l'infanterie et l'artillerie.
A l'arrière c'est la vie de caserne, réglée, automatique, à l'avant aussi. Pas d'aventure, donc pas de gloire. Voilà la guerre moderne, elle n'a plus rien d'humain. Et quel est le résultat ? Des millions de morts, de blessés et de malades. Pas de gloire et des destructions immenses. Les villes anéanties : Londres, Paris, Berlin, Milan rayées de la carte au premier jour. Les femmes, les enfants, les vieillards, les animaux, les plantes, la forme même des paysages, tout cela dissipé comme le corps des soldats. Une Europe réduite au désespoir, à la négation de tout. La jeunesse qui est la vie, qui est la beauté ne peut être que contre cela.


 «  L’État ne peut vivre et se renouveler que par l'insurrection, la révolution, la guerre intérieure. Et l'Espèce a besoin de cette insécurité dans l’État (…). La jeunesse voyant l'esprit de paix tuer l'esprit de révolution, a restauré l'esprit de guerre pour sauver cet esprit de révolution dont il est inhérent. Mais c'est ici que nous, Français, qui n'avons point été mêlés à toute cette aventure (bien que nous l'ayons pressentie dans le syndicalisme révolutionnaire d'avant-guerre, et que nous ayons produit Proudhon, Blanqui et Sorel, apôtres de diverses manières de la révolution guerrière), nous devons ouvrir l’œil et profiter de notre distance.  Nous devons admirer ce beau sursaut de la jeunesse d'ailleurs. Mais puisque nous sommes voués à la sagesse plutôt qu'à l'audace, profitons-en. Puisque nous sommes amenés les derniers à une certaine action, tâchons d'en prendre les avantages sans en adopter les inconvénients (…).
Mais elle [la jeunesse européenne] s'est jetée dans l'excès contraire. Elle a restauré pêle-mêle la guerre avec la révolution. La jeunesse de l'Europe centrale et orientale, pour sauver la révolution, a admis la guerre. Elle a réagi, elle s'est montrée réactionnaire, en plein (…).
La révolution fasciste, qui a peut-être compris la solution propre à l'esprit européen du problème social, n'a pas compris le problème de la guerre. Elle n'a pu faire la dissociation d'idées, nécessaire aujourd'hui pour le salut de l'Espèce, entre la guerre moderne et la guerre éternelles, entre la guerre et l'esprit de guerre (…).
Dans le bellicisme des fascistes, il y a un effort beaucoup plus qu'un abandon, un effort qui se crispe, qui s'exagère. Dans le fascisme, la crispation est de trop et signale une erreur. Le fascisme demande trop à l'homme ; en même temps qu'il lui redonne la vie, l'orgueil de sa jeunesse, il le prépare à une mort hideuse et stérile. Notre effort, pour être plus mesuré, pourrait être plus heureux. En analysant notre but mieux que les autres, nous pourrions nous façonner à une tension plus saine et peut-être plus durable. A cause de la déviation démoniaque qu'a subie la guerre moderne, nous nous contenterons de l'exercice transposé de la guerre : du sport. La guerre peut bien supporter une transposition comme l'amour. Il y a loin du rapt primitif à l'amour sentimental. Il faut bien que l'Espèce se contente de cette transposition et de cette atténuation de l'instinct de reproduction. Remplaçons les batailles par des matches de football, l'héroïsme de la terre par l'héroïsme du ciel. Espérons que l'esprit du sport suffira à nous maintenir assez belliqueux pour demeurer révolutionnaires dans le cercle intérieur.


 « La guerre éclate, dans cinq ans. La France et l'Allemagne se ruent l'une sur l'autre. La France seule serait battue, encore plus sûrement qu'en 1914 (…). La prochaine fois, ce sera la lutte à couteaux tirés entre le fascisme e le communisme. Les nécessités de la lutte obligeront les bourgeois d'Occident, mêlés à la lutte entre le gouvernement antidémocratique de la Russie et le gouvernement antidémocratique de Berlin, à jeter aux orties leur dépouille démocratique (…). On verra des bourgeois jusque-là nationalistes s'apercevoir que le nationalisme n'était pas l'âme de leur vie autant qu'ils le croyaient. On les verra justifier soudain l'esprit allemand et entrer dans des concessions telles que n'en ont jamais rêvé les braves gens de la gauche. Hitler a encore de beaux jours devant lui. Toute cette énorme et confuse situation nouvelle semble donc se ramener à ce dilemme étrange ; les Français préféreront-ils devenir communistes pour ne pas devenir Allemands ? Ou devenir Allemands pour ne pas devenir communistes ? Et n'en sera-t-il pas de même en Italie et en Angleterre ? (…). Le troisième caractère abominable de la prochaine guerre reste la puissance démoniaque et irrémédiablement hostile à l'humanité, des instruments. A lui seul, il suffirait à la rendre exécrable.


 « Le fascisme, c'est la crispation de l'homme européen autour de l'idée de vertu virile qu'il sent menacée par le cours inévitable des choses vers la paix définitive. Il n'est pas sûr que le fascisme veuille vraiment la guerre et soit capable de guerre, surtout de la terrible guerre moderne. Le fascisme se contenterait peut-être volontiers de sport et de parade, d'exercice et de danse. Qui sait s'il ne montrera pas épouvanté devant la conséquence dernière de son attitude ? Il confond dans ses paroles le sport et la guerre, la restauration physique de l'homme – si nécessaire pour lutter contre les méfaits des grandes villes et pour maintenir l'homme dans ses facultés essentielles – avec la continuation des vieilles formes militaire. Mais peut-être qu'au fond de lui-même, la distinction est déjà faite entre la transposition de l'esprit de guerre en sport et parade et la continuation de la forme militaire. »



mercredi 30 octobre 2019

Mai-68

Mai-68. Quel est le lien entre l’esprit révolutionnaire juif et cet événement ?

 Juif et  esprit révolutionnaire comme si ça allait de soi, comme si ça coulait de source. Comme si on était en 1920.


 Guyénot : « il faut comprendre que l’esprit révolutionnaire est toujours latent dans la jeunesse juive, et qu’il suffit de bien peu de chose pour le mettre en action et le canaliser. Cet esprit révolutionnaire chronique — qu’il faut bien distinguer des mouvements révolutionnaires légitimes qui peuvent à certains moments soulever des peuples contre leurs oppresseurs — fait partie de la psychologie collective juive.


 Dans la question comme dans la réponse, il ne peut s'agir que de l'esprit anti-traditionnel. Pour savoir ce qu'est la Tadition je renvoie à Julius Evola, à Raymond Abellio....


 Mais il est aisé de comprendre ( je parle pour moi)  que l'anti tradition peut avoir aussi son conservatisme.  Les Juifs américain ne se nomment il pas eux mêmes néo conservateurs ?


 on peut appeler révolutionnaire celui qui veut, qui se bat pour une révolution, un bouleversement, de l'Ordre Établi quel qu'il soit.

Mais l'ordre peut s'instaurer sur les valeurs anti trditionnelles peut être un Désordre établi.




travailler au Bataclan dans le but de fonder un Ordre urgentiste et policier qui est un paroxysme de pourriture, d'involution et d'anti tradition.

 Ainsi les Juifs d'aujourd'hui, par rapport à l'ordre social économique actuel sont la phalange la plus avancée.


 Exemple:après la révolution de Février dans l'Empire russe le Bund parti révolutionnaire fut le plus extrême défenseur de ce régime.
Mais  anti bolchéviques fanatiques ils se battirent avec Dénikine pendant la guerre civile. Juif = révolution. Juif = révolution bourgeoise ! Les dirigeants juifs de la révolution prolétarienne comme Rosa Luxemburg qui méprisait les juifs ou Simone Weil, ou même Karl Marx


 Les milieux « réactionnaires » sont restés les réactionnaire de la période précédente, celle du communisme. En réalité ils ont anticommunistes avant toute chose.

 Non seulement ils voient dans le féminisme, l'immigrationnisme, le gender, du gauchisme, du communisme, de l'internationalisme
 Alors que c'est du turbo capitalisme, et un capitalisme qui les laisse loin derrière, car il a vaincu le socialisme réel.


 Ainsi se font face deux pensées « réactionnaires » aux antipodes.
Deux anti communismes L'un est antisémite l'autre juif.

 La vieille Réaction a évidemment vu l'écueil. Ainsi naquit la thèse de la double subversion ; et par le communisme, et par le capitalisme financier.   ils sont unis par le judaïsme

 Qui ne voit que cette théorie disqualifie toute tentative de révolution contre le Capital, et permet à la l'autre réaction capitaliste de passer pour « progressiste ».



   Comparons avec Marx : « Quelle était en soi la base de la religion juive ? Le besoin pratique, l'égoïsme. Le monothéisme du juif est donc, en réalité, le polythéisme des besoins multiples, un polythéisme qui fait même des lieux d'aisance un objet de la loi divine. Le besoin pratique, l'égoïsme est le principe de la société bourgeoise et se manifeste comme tel sous sa forme pure, dès que la société bourgeoise a complètement donné naissance à l'état politique. Le dieu du besoin pratique et de l'égoïsme, c'est l'argent. L'argent est le dieu jaloux d'Israël, devant qui nul autre dieu ne doit subsister. L'argent abaisse tous les dieux de l'homme et les change en marchandise. L'argent est la valeur générale et constituée en soi de toutes choses. C'est pour cette raison qu'elle a dépouillé de leur valeur propre le monde entier, le monde des hommes ainsi que la nature. » Autrement dit le capitalisme c'est le chrétien redevenu juif. Par étonnant qu'à la fin ce dernier soit le maître du premier. Ainsi avec Marx la Domination est une conséquence et non la cause. Il ne prête au peuple élu pas moindre élection. Ce serait plutôt le contraire. « Ne cherchons pas le secret du juif dans sa religion, mais cherchons le secret de la religion dans le juif réel. Quel est le fond profane du judaïsme ? Le besoin pratique, l'utilité personnelle. Quel est le culte profane du juif ? Le trafic. Quel est son Dieu profane ? L'argent. Eh bien, en s'émancipant du trafic et de l'argent, par conséquent du judaïsme réel et pratique, l'époque actuelle s'émanciperait elle-même » La différence entre les deux conceptions n'est pas une question d'opinion, mais une question d'intelligence. « Dans sa dernière signification, l'émancipation juive consiste à émanciper l'humanité du judaïsme" L'une bornée, offre l'expression la plus achevée du crétinisme. L'autre est pleine de « science, d'élégance, de violence » comme dit Rimbaud

mercredi 16 octobre 2019

Quelques réflexions



Le trotskisme complètement dégénéré n'est plus qu'une image d'Epinal et les trotskistes des séniles qui distribuent ces images à des mongoliens

Mais des images d'Epinal, le stalinisme


Ainsi du maoïsme.


Qu'est ce que le maoïsme ?
Un capitalisme asiatique.

Mao fit une révolution paysanne, donc la révolution bourgeoise mais sans bourgeoisie.
Il accomplit l'accumulation primitive du capital

Ce n'est pas un un socialisme avec des capitalistes, un communisme qui contient des capitalistes, quelle ânerie, mais un capitalisme absolument étatique

Et c'est l'autre impérialisme.



Le socialisme asiatique c'est la ruche

En vérité, la contradiction actuelle, entre les 2 impérialismes

Mais au fond l'un n'est

Si l'impérialisme se débarrassait de sa sangsue, il serait traitable,

Les 3 organiques

le mercantilisme américain
Le socialisme européen
La fourmilière asiatique

Les deux premiers ne sont pas dans leur nature
le premier doit se débarrasser de sa sangsue
le deuxième a raté l'expropriation du capital 

Si l'on veut simplifier

le vrai capitalisme
le vrai fascisme
le vrai communisme


Mais c'est un peu légèrement oublier que l'Ennemi, l'ennemi mortel c'est

Si vous voulez, le Capital se sert

comme manifestation de l'impuissance du capitalisme à réguler les transhumances humaines et surtout à proposer autre chose que la fuite éperdue dans ses zones de massacres impérialistes

la poussée démographique de l'Afrique, alors que, tenant compte de l'incapacité du capitalisme à développer ces immenses régions et à éradiquer la misère, les transhumances ne feront que s'amplifier sans rien solutionner. Le capital ne peut que miser sur le chaos

L'impérialisme asiatique mise sur la Ruche, la fourmilière.
la Chine va enrégimenter, organiser ces viles multitudes, et là, à ce moment, mes frères, s'en sera fait de nous.





mardi 1 octobre 2019

Oraison funèbre

Entretien avec Ginette O'Crassy.



Jacques Chirac, la deuxième gloire nationale après Johnny Hallyday, est descendue au tombeau.
La troisième est Le Pen, Chirac lui aura grillé la politesse, celui qui a ruiné la PME familiale fasciste en 2002, mourra donc avant son patron.
 Certains, dans les hautes sphères, se mordent les doigts roussis d’avoir trop tôt fait incendier Notre-Dame qui aurait été le cadre parfait pour des funérailles avec Encens et Orgue.
Mais Nano et Thermite mettent le feu aux poutres quand on le leur demande et ne connaissent pas les impératifs posthumes de la poudre aux yeux.

 — Nanoz et Thierry Lhermitte vous voulez dire ?

— Oui et non, le second a un alibi

— Lequel ?

 — Il jouait au poker

 — Peut-être, mais à ce jeu on fume comme des pompiers et on oublie les mégots !

— Je n’y crois pas !

— À la thèse du mégot ?

— Aux pompiers ! On aurait dit un arrosage de fleurs !

— Je vais vous étonner, mais moi-même je crois plus au complot qu’au mégot.

— Mazette ! Un complot d’extrême droite je présume !

— Oui, ou peut être islamiste : un attentat antisémite en tout cas !

— Il est vrai qu’à Notre-Dame on célébrait « la Circoncision de Jésus ».

 — Vous voyez, c’était un peu une synagogue !

— Sans parler de l’intoxication au plomb qui s’abat sur le 4ème arrondissement !

— Le Sentier asphyxié ! C’est du national-saturnisme !

— Il faudrait raser une bonne fois cette cathédrale toxique !

— Comme toute l’Église de la Contre capote catholique j’imagine !

— Ce que les Femen ne cessaient de clamer avec courage.

— Entrer dans les Eglises dans le plus simple appareil ne leur en demandait pas tellement !

 — Monsieur Venner s’est bien fait Charlie-hebdo dans Votre-Dame !

— Hara-kiri vous voulez dire ?

— Oui, enfin ce truc japonais !

 — Seppuku !

 — C’est dégoûtant !

— En vérité Dominique Venner ne s’est pas ouvert le ventre, il s’est tiré une balle dans la tête.

 — Enfin, si ça lui a mis un peu de plomb dans la cervelle !

— Un peu de respect SVP ! Ce geste est d’un samouraï !

— Il aurait pu faire ça ailleurs que dans une cathédrale gothique !

— Gothique ou pas ça ne manquait pas de style !

 — Quel style ?

— Le Bushido, la voie du guerrier ! 

— La voie des homos refoulés, comme Mischima, leur amour !

— Propos tout à fait homophobe et gratuit !

— Et les Geishas c’est gratuit peut être ?

— Je ne vois pas le rapport

— C’est un rapport sexuel d’oppression

— Il n’y a pas de rapport sexuel !

— On fait son petit Lacan ?

— C’est mieux que d’être pour les camps !

— Quels camps ?

— De castration !

— La faute à qui ?

— À la Ministre avec sa faux !

— La poétesse ?

— Mais non sa faux !  Son instrument sans lame auquel il ne manque que le manche.

 — N’est pas Lichtenberg qui veut, et surtout pas la Schiappa !

 — Elle Schiappa pas bien haut avec ses mesurettes féminazies !

 — Mais elle sait faire monologuer son vagin dans les théâtres.

 — Elle sait aussi écrire de la grosse pornographie sans style à laquelle il manque l’Éros !

— C’est possible mais quel rapport avec la mort de Chirac ?

— C’est vous qui m’avez fait perdre le fil ! Où en étais je ?

— Dans les gravats de Notre-Dame, c’est à dire à peu près nulle part !

— À la place de Notre-Dame HS, l’Etat offre à Chirac la place des Invalides !

— Une méchante allusion à son état après ses AVC !

— En réalité il avait une anosognosie, maladie de la Mémoire !

— Mais pas de son Devoir, qu’il a fait remarquablement, comme il se devait !

— Et La Providence l’a puni par où il avait le plus gravement péché !

— Propos très anti mythique et très homophobe !

— Hein ?

— Le Vélodrome d’Hiver vous fait perdre les pédales !

— Il l’a lui même reconnu au début de son exercice de Repentance :  « Monsieur le Grand Rabbin, Mesdames, Messieurs, Il est, dans la vie d’une nation, des moments qui blessent la mémoire, et l’idée que l’on se fait de son pays »....

— Vous interprétez comme d’habitude !

— Nullement ! Savez vous que Chirac a dit : « j’espère que le juifs sont contents parce que je ne peux pas faire plus » [1]

— Si c’est Zemmour qui le dit !

— Mais on pourrait multiplier les propos de Chirac qui prouvent de sa part une repentance de la maudite repentance du 16 juillet 1995 !

— Par exemple ?

— Hé bien quelques mois plus tard il avouera : « On ne peut pas promettre un nouveau truc tous les jours. Qu’est-ce que vous vouliez ? Que je leur montre mon cul ? » [2]

— Paroles très subtiles, empreintes de mystère, mais qui ne se rapportent pas forcément à la Rafle en bicyclette !

— Bien sûr que si ! Sinon il n’aurait pas fait allusion à cette partie de son anatomie ! Il était plutôt coutumier d’en exposer une autre ! « Mais qu’est-ce qu’elle me veut de plus, cette mégère ? Mes couilles sur un plateau ? » [3] Voyez vous ?

— Très bien. Finalement, selon vous, ce que l’Histoire gravera dans son marbre immarcescible, à propos de ce grand homme, 1m92, ce sont probablement ces propos.

— Oui ! Impertinents, visionnaires, ainsi tenez : « Rayez ce mot "opéra" de votre vocabulaire. Il n’y aura pas d’opéra à la Bastille. » [4]

— J’aime mieux celui là : « Sarkozy, il faut lui marcher dessus. Pour deux raisons. Un, c’est la seule chose qu’il comprenne. Deux, ça porte chance. » [5] 

— Celui que je préfère : « Comment voulez-vous que le travailleur français, qui habite à la Goutte-d’Or où je me promenais avec Alain Juppé la semaine dernière, il y a trois ou quatre jours, et qui travaille avec sa femme, et qui, ensemble, gagnent environ 15 000 francs, et qui voit, sur le palier à côté, dans son HLM, entassée, une famille, avec un père de famille, trois ou quatre épouses, et une vingtaine de gosses, et qui gagne 50 000 francs de prestations sociales, sans naturellement travailler ! Si vous ajoutez à cela... le bruit et l’odeur, eh bien le travailleur français sur le palier, il devient fou. Il devient fou ! C’est comme ça ! Et il faut le comprendre ! Si vous y étiez, vous auriez la même réaction. Et ce n’est pas être raciste que de dire cela. » [6]

 — Evidemment, le plus odieux ! Mais bon, on lui pardonnera cet égarement pour avoir stoppé le fascisme en 2002.

 — Hélas, hélas, hélas, n’en déplaise aux faiseurs de légende le FN n’avait pas réalisé la moindre poussée électorale. Mais il y eut une ABSTENTION record de l’électorat ouvrier et populaire.... donc celui qui devait normalement arriver en 3ème, Le Pen, se retrouve deuxième, non par son propre mérite, mais par défaut.

 — Honte aux abstentionnistes !

 — Le gouvernement Jospin avait rétabli le travail de nuit des femmes dans l’industrie ! Alors , en 2002, les ouvrières livrées au travail de nuit refusèrent de voter, et les petites-bourgeoises antifâchistes, comme vous, manifestèrent pour traîner dans la boue cette superbe abstention ouvrière !

— Qu’est ce qu’il ne faut pas entendre !

 — La vérité ! Et c’est Jospin qui la dira, plus tard, sur "France" "Culture", en qualifiant cette pantomime de Théâtre !

Notes
 [1] Eric Zemmour. L’homme qui ne s’aimait pas.
 [2] Jacques Chirac, cité par Le Canard Enchaîné, 18 décembre 1996.
 [3] Février 1988, à propos de Thatcher, sommet européen de Bruxelles. Cité in Libération, 9 mai 1995.
 [4] 21 juillet 1986. AFP
 [5] 1996 cité par Ghislaine Ottenheimer Le Fiasco, Albin Michel
 [6] 19 juin 1991, au cours d’un dîner-débat du RPR à Orléans.





vendredi 13 septembre 2019

Commentons, taine et tonton,

les actualités du jour

 D'après récent un sondage recto-électoral, la petite dinde Maréchal-nous-voilà qui a voté l'état d'urgence de sa mignonne petite menotte avec Me Gilbert Collard, (l'immense avocat de Mounir qui a obtenu de si brillants résultats dans l'affaire Julien Quemener), serait jugée par "l'ensemble des fronçais"  plus efficace pour les prochaines urnes, que sa tante Marine.

— Qu'est ce que ça peut bien nous faire ces petites histoires des héritières de la PME LePen. Qu'elles règlent ça en famille.

Hier au soir, sur Radio Courtoisie.  Après avoir daubé sur la GPAet autres PMA, leur ignominie,
des Penseurs ont cherché ensemble la cause profonde de ces ; et ils l'on trouvé !
 C'est Lénine!  Macron est soumis à une idéologie marxiste-léniniste. Son régime est une variété de pouvoir soviétique !

—  Vous comprenez, tous ces éminents ont des filles qui ont toutes votées Macron.
Cette idéologie ne vise pas à renverser le capitalisme mais à le pérenniser de manière autoritaire



Pour Alain Soral c'est pas encore le Ramadan.
Alors qu'il a tenu à l'objectivité avec une rare noblesse, le Raton-madan l'a
exactement comme tous les muzz

Entre Bouteldja et Finequelcrote on ne chosit pas. Le Sionisme ne nous porte pas davantage ombrage
de droite ou de gauche.

Les beaufs syndicalistes de la CGT s'habillent maintenant de gilets bleus de peur qu'on les confonde
les jaunes incandescents.
Cool, l'Unité entre la Révolte Fluo et les Salariés des grandes entreprises c'est pas demain la vielle !

10 lignes de metro fermées. Elles rouvriront bien, va.












vendredi 6 septembre 2019

Moi si j'étais Moix

Moi, si j’étais Moix, hé bien je n’aurais pas demandé grâce.
L’Immense Philosophe de France-inter dont l’œuvre supplante celle de Platon, d’Aristote, de Kant, d’Hegel et des autres, additionnés en mesure centimétrique dans les rayons des marchands de livres, car Onfray, (c’est de lui qu’il s’agit vous l’aurez reconnu) n’est pas seulement un performeur sexuel, comme il dit des autres [Nietzsche, Freud] qu’ils ne le sont pas, il en a aussi une grosse.
Dans les librairies et les bibliothèques municipale, sa rangée de livres est impressionnante. Plus de 3 mètres 50, chez Marguerite Duras la bibli du 20ème arrondissement !

 Or donc, le gros philosophe gonflé à l’hélium médiatique, celui qui a réellement achevé la métaphysique occidentale, remplaçant la philosophie par le bon gros Bon Sens, a dit à Moix « j’ai toujours pensé que vous étiez un excellent écrivain. »

 Hé bien, si j’étais Luix, je serais parti de là, je veux dire je me serais campé solidement sur cette position d’écrivain remarquable, où l’on n’est ni couché, ni debout, mais bien assis, et j’aurais tenu à ces larves gluantes qui secrètent en ce moment sur moi leur moraline en quantité double, à peu près ce langage :

 Messieurs, bonjour !
De deux choses l’une :
 - ou bien je suis ce que vous disiez que je suis, soit un très grand écrivain, ce qui ne peut s’effacer ; une oeuvre de qualité traduit forcément certaine qualité chez l’ auteur.
-  ou bien je ne le suis plus, donc pour vous les oeuvres sont comme les hommes, choses délébiles, lavables en machine à penser, programme à 80° de réchauffement pour les esprits bréneux.
Nous savions que vous prostituez l’opinion, la morale, la justice, que vous changiez l’or en plomb, que vous souillez l’innocence, mais en plus vous prostituez l’attribution du talent, son taux étant indexé à la mesure du taux de servitude.
Et cela à la face jaune des français.
 En outre, me rabaissant, vous rabaissez aussi l’Angot ! Votre venin rejaillit sur Christine !
Dans la lucarne à gogoy on ne dépareille pas, on assortit, on n’aurait, pour rien au monde, accouplé un pauvre miteux qui ne peut même pas se payer une lame Gillette, avec cette lame tranchante de la pensée inique qu’est Christine.
On n’assied pas côte à côte devant Ben Camera deux écrivants, surtout quant l’un est une écrivaine, qui seraient en dissonance. Ce serait une erreur de casting, on n’accouple pas dans la pornographie mémorielle une virago des lettres pleine de fureur, de furor uterinus, avec un minable plumitif plein de Führer.


Et de fait, Moit et Angox formaient ensemble ce duo classique de l’ordre établi, la chienne de garde et le fox à poil dur, le Yin et le Yang. Ainsi sont très Yang et Yin, respectivement, la Milice cagoulée qui fait sauter les yeux pour pleurer des français désarmés, à peine piquetée ça et là, de fliquettes méchantes comme des tiques, et le Prétoire, véritable appareil féminin qui saigne à mort ceux qui pensent de travers, à peine épongé par quelques robes de burnes. Ainsi nous avançons dans l’enceinte d’Injustice de l’Etablissement Pénitentiaire France, avec ses obscènes murs de cons et sa Chiourme à la lourde trique.
 Moite et Angox, ce fut comme Moet et Chandon, Black et Decker, Charybde et Scylla, une paire indéfectible assise sur un tandem parfait, avec une pensée qui sort du même endroit.
L’Hystérique exaspérée et le Flic hérissé, la pas Belle et le très Bête, l’in-Femme et le Sous-Homme. 

Et plus avant, plus en arrière, plus dans le derrière, l’anathème rejaillit aussi par ricochet sur le duo précédent, Moix et Salamé, qui marchait si bien, qui tournait si rond, comme leurs yeux similairement écarquillés.
Qui pourra jamais oublier s’il les a vu une seule fois, les yeux globuleux extraordinairement écarquillés de Léa, exorbités comme s’ils voulaient jaillir de leur orbite, et laisser voir derriere le vide sidéral.

Vous souvenez vous, hommes de peu de Mémoire, de la Vestale scandalisée et de son Cerbère apprivoisé, ouvrant de grands yeux étonnés devant l’ombre d’une pensée propre, propre à contredire le Beau, et le Bon et le Vrai, selon le Grand Sanhédrin, la paire indissociable d’argousins de « l’insupportable police juive de la pensée », pour reprendre respectueusement les termes de Madame Annie Kriegel en 1990 dans les colonnes blindées du Figaro.

 — On a pas couché !
Et alors qu’est ce que ça prouve ? Que Moix aurait du goût ? Il vient de le prouver par son oeuvre picturale de jeunesse, providentiellement réapparue.

 — « Qu’est ce que vous venez viens me casser les texticules et mes noirs dessins avec ma jeunesse nazie ! L’est pas avec les nazis BHL en Ukraine peut être ? »

 Et, pris d’une ardeur toute rimbaldienne, [1] moi, si j’étais Moix j’aurais ajouté :

 « Moi, on me lira ! Je reviendrai devant vous les joues en paille de fer, l’œil furieux ; sur mon masque, on me jugera d’une race forte. J’aurai de l’or : je serai oisif et brutal. Les femmes soignent ces féroces antisémites sur le retour ! Je serai mêlé aux affaires politiques, j’irai chez Soral ! Je serais maudit ! »


 Note [1] On supposera que Moix ait lu Rimbaud. Mais A-t-on lu Rimbaud ? et peut on lire Rimbaud quand on lit l’Angot couramment ?


vendredi 30 août 2019

L’Inique et ses propriétés

§.Tout est décomposé, il n'est pas un domaine, pas un aspect, fut il le plus infime, le plus intime qui échappe à la règle, règle qui vaut pour l'infra comme pour la super structure. Ce monde contaminé de sang, a contaminé les sens et résolument tourné le dos au sens. L'Absurde est passé de l'état de principe de philosophie existentialiste à la raison d’Etat.

§. Le grossier néologisme « sociétal », est simplement un anglicisme que l’on oppose d’ordinaire à social, alors qu’ils veulent dire à peu près la même chose, hormis peut être dans l’acception de « climat » social, ou autres expressions apparentées, qui relèvent des rapports de force entre les classes.
‘’Sociétal’’, dit le dictionnaire, ‘’Qui se rapporte à la structure, à l’organisation ou  au fonctionnement de la société. ‘’
   En vérité ce terme apparaît dans les années 70, début 80, sous la plume de journalistes, et cet emploi redondant où l’on retrouve toute leur suffisance et leur grossièreté fut donc « popularisé » par le Journal cette salissure de l’esprit populaire. « Encore un siècle de journalisme et tous les mots pueront ».[1]
Du coup sociétal sera employé en lieu et place d’idéologique. On parlera d’environnement sociétal, de modèles sociétaux, d’avancées sociétales, comme par exemple le mariage homosexuel, la criminalisation du client dans un rapport avec une prostituée, la judiciarisation et la répression du harcèlement sexuel.
L'idéologie c'est le féminisme, tout le reste en découle.

§. Pour contrer les purotins de la gauche et de son extrême qui voient de l’oppression des femmes à tous les étages, on trouve les puritains de droite qui voient de la « permissivité » et du « libertinage » partout !  L’infime antiféminisme est aux main des cagots. Ce n’est pas une remarque antireligieuse c’est un constat d’absence de vigueur.
 Il est vrai que les culs-bénis ont reçu le lourd renfort théorique des pantalons de velours staliniens qui décrivirent notre société de flics et de crevures galonnées, comme « libéral-libertaire » !
 Le "tournant de la Rigueur" aurait marqué un tournant libertaire !
Les colonnes blindés de l’abrutissent spectaculaire LGBT et les grands concerts fascistes du SOS sexisme et homophobie ont abusé ces gros durs qui n’ont vu que les guirlandes aux couleurs criardes, les plumes au cul, et les feux d'artifice de l'artificielle fraternité. Ils n'y ont vu que du rose, ces cons, de la couleur des mignons petits cons tout roses....

Pendant que les fonds publics s'écoulent en fêtes de fraternité, 
il sonne une cloche de feu rose dans les nuages. [2]

Pendant que les puissantes sonos synchronisées assourdissaient les râles des centaines de blancs sous les couteaux des potes aux patronymes soigneusement tus par la presse pourrie.
 Que les énormes tam-tam nègres qui faisaient se dandiner les petit-bourgeois fillistes des centre -villes couvraient la clameur de la classe ouvrière subissant un recul historique de deux siècles.
L'apparence du néo-fascisme fillé et prognathe, si contraire au paléo-fascisme viril et aryen, leur a masqué leur même essence policière.

§.  Misère du stalinisme, qui partage avec la bigoterie le besoin de cacher sa responsabilité dans la genèse de la mentalité féministe. Quoi de plus annonciateur du féminisme que le PCF « femme avenir de l’homme » ?  Autant que l’Église Vatican II  avec la "parole de femmes féministes et chrétiennes''. Féminisme et cléricalisme ont toujours marché de conserve.
 Que le féminisme triomphant ait renié cette filiation, et poussé à la dévotion envers l’État LGBT plutôt qu’au Dieu bizarre de l’ancien testament, n’est que l’expression du Sur-moi juif accablant qui a empuanti le septième ciel.


[1] Friedrich
 [2] Arthur

jeudi 25 juillet 2019

Brûlante actualité

 Fait très chaud et alors ? Demain il fera froid.
Reviennent ces étés pluvieux, venteux, grêleux, ces pluies diluviennes en juillet, ces faux-étés trempés de boues !  Pour nous épargner cette obscénité réchauffiste de canis culier lors de ces brefs épisodes de chiennes en chaleur, qui nous glacent le sang !

—  En fait le réchauffement de c’te planète crée une évaporation exagérée des mers qui explique ces averses tropicales...

— Par pitié ! Épargnez moi vos récitations de perruche caquetant les protocoles des sages de Kyoto, comme les media qui nous dégueulent de l'Al Gore.
Le temps qu’il fait, le temps qui nous fait, les temps dont je vous vois pétrie...

 Garder la tête froide, est-ce encore possible, dans ce Terrorisme d'Urgence qui allume les incendies, tue ou énuclée ses opposants en gilets fluos, condamne à de la prison ferme pour des mots, des gestes, des dessins, ferme les hôpitaux, baisse les retraites, augmente la Dime, interdit à peu près tout ?  Plus l'Etat opprime et castagne, jette les vrais travailleurs à la casse afin de rembourser sa Dette infâme du poker menteur, plus il se fait maternel, comme une vieille pute hypocrite, pour nous implanter la certitude que le bien commun fait le fond de sa préoccupation.

À la place du Père fouettard de l’époque précédente, usine, stade, caserne, une deux, une deux, en avant, marche ! en joue, feu ! nous avons cette Matrone fardée qui nous fait risette, et nous la bâille belle de tout son méat fétide et ses conseils maternels :

Dans le metro : « Attention aux arabes en descendant du train ; soyez vigilants des pique-poquettes, qui ne sont pas de Bercy, sont susceptibles d'agir dans les couloirs...

Ailleurs : « veillez bien à vos petites affaires, ne fumez pas, respirez l'air du large, mangez trente fruits par jours ; allez régulièrement à la selle, ayez six orgasmes journalier ; souriez vous êtes enculés, etc. 

Et lors des rares et misérables chaleurs «  buvez trente-cinq litres d’eau chameaux, il fait très chaud, vieillards descendez au frigo !

Ma mie, c'est la Canicule
 Descend que l'on s'enveloppe
Dans la fraîcheur des renoncules
Hein qu'on est bien là, saperlotte !

La fable réchauffiste : le seul réchauffement anthropique est celui là...si laid !



—   En fête, c’est bizarre ce côté arabe chez vous, c’est clair !  Les autres mecs aiment plutôt se rincer l’œil,  en fête.

—   Qu’ils disent ! Il ne faut pas fixer sa pensée sur ce que les gens disent mais sur ce qu’ils font.
 Et en « domination masculine » les femmes sont condamnées à la pudeur. C'est monstrueux, mais le mâle n'aime pas à être sollicité en vain.

—  Les gros frustrés, en fête !

—  Certainement.  Comme c'est les gros dégueulasses qui provoquent les "gaz à effet de serre", par leurs flatulences de viandards !  Et les gros débiles conspira-sionistes qui provoquent le populisme.


Contre les bouillons réchauffés climatiques d'origine humaine,  pour ceux qui ont la patience, qui veulent la conscience, voici de la science :
Le réchauffement climatique est un mythe :  le point de vue d'un vrai climatologue, Marcel Leroux.



mercredi 24 juillet 2019

Evoléninisme

Les succès idéologiques de l'Islam dans certain milieux « natio », vient de ce que les arabes musulmans sont des petits commerçants nés, un « peuple-classe », ils actualisent la chimère d'un capitalisme populaire dans les crânes épais des petits entrepreneurs de doctrines de droite.
 Cette chimère vient de la nature boutiquière de la dissidonce qui offre des « pensées » labellisées de qualités, certes, mais conserve l'étroitesse de vue du boutiquier qui n’a pour tout horizon que l’espace confiné de sa boutique.
 Car le boutiquier veut « redistribuer » les cartes pour jouer une nouvelle partie, sans la tricherie des voyous capitalistes ! Au lieu qu'il faut renverser la table d'un coup de pied, et dire on ne joue plus.

On ne peut plus ouvrir la revue Eléments sans rencontrer Taguieff.  A E&R, Cantona, Depardieu, Onfray etc; etc,  sont les nouveaux passe muraille !

 La nation ils n'ont que ça à la bouche, pourtant ils ne veulent rien lui offrir, toute idée de nationalisation leur fait voir rouge, du sale Rouge.

La boutique anti bolchevique a fourni du conférencier lors du centenaire de la révolution Russe. J(ai parfois noté, chez certains des anti-communisme d'épicier pro américain,

Adolf Hitler

« Ce n’est pas l’Allemagne qui va devenir bolchevique, mais le bolchevisme qui se transformera en une sorte de national-socialisme. En plus, il y a davantage de liens qui nous unissent au bolchevisme que d’éléments qui nous en séparent. Il y a par-dessus tout, un vrai sentiment révolutionnaire, qui est vivant partout en Russie, sauf là où il y a des Juifs marxistes. J’ai toujours fait la part des choses, et toujours enjoint que les anciens communistes soient admis dans le parti sans délai.  Le petit-bourgeois socialiste et le chef syndical ne feront jamais un national-socialiste, mais le militant communiste, oui ! » 

« Nous sommes socialistes, ennemis mortels du capitalisme d’aujourd’hui, ce système économique exploitant la population économiquement vulnérable, avec ses injustices sur les salaires, son évaluation immorale des hommes, de la richesse et de l’argent, au lieu de la responsabilité et de la performance. Nous sommes engagés à détruire ce système quoi qu’il advienne.»

jeudi 18 juillet 2019

Entretien avec RIVAROL

Rivarol : Voltaire antisémite est un curieux pamphlet envoyé à la face des biens-pensants qui firent de Francois-Marie Arouet (le vrai nom de l’auteur de Candide) une des références de leur “République”. Disons- le clairement, Félix Niesche va faire grincer bien des dents avec ses charges qui n’épargnent personne (pas même dans notre camp). Mais l’auteur est intéressant, plein d’humour et vivifiant, et il n’est peut-être pas inutile de lire des propos différents pour ouvrir de stimulantes réflexions ou de salutaires disputes, même si on ne partage pas nécessairement tous ses points de vue. 

RIVAROL : Votre découverte de la « face sombre » de Voltaire date bien de l’écoute d’une émission de Radio Courtoisie que vous décrivez dans votre livre ? 

Félix NIESCHE :  J’en avais déjà ouï-dire auparavant, mais jamais avec cette puissance, cette homérique fureur. Il y eut d’ailleurs un attroupement au pied de l’immeuble de la radio, les gens se demandant ce qui se passait ! On aurait cru Valls à l’université d’été du PS quand il évoqua le même sujet, si ce dernier avait possédé un timbre moins aigu, ce fausset qui trahit l’homme éternellement garrotté dans les chaînes matrimoniales.
Plus tard, si je fis l’acquisition, exorbitante, d’un livre moisi dans une librairie poussiéreuse, le Voltaire antijuif de Henri Labroue, c’est à cause du retentissement de l’émission, sinon je l’aurais laissé à « la critique rongeuse des souris » comme dit Marx. (Encore un fichu antisémite, celui-là !) Cet ouvrage ouvre les vannes à l’énorme débordement d’antijudaïsme de Voltaire ! Les hauts cris de stentor poussés à la radio n’étaient donc pas exagérés.

R. : A lire les textes que vous avez récoltés, il semble que l’antisémitisme de Voltaire est d’abord l’expression d’une haine de la religion ? 

F. N. : Voltaire ne hait pas la religion en soi. Au contraire il pense qu’elle est très nécessaire pour l’harmonie sociale. Sa critique du christianisme reste cantonnée dans la philosophie, dans la polémique contre Leibnitz sur le « meilleur des mondes possible » qui donnera ce chef-d’œuvre qu’est Candide ! Lui même s’affirmait chrétien : « Je suis métaphysicien avec Locke, mais chrétien avec saint Paul ».
En revanche, il exècre le judaïsme, viscéralement, intégralement. Son antijudaïsme n’est pas secondaire à une œuvre qui conserverait sa valeur indépendamment de ce trait ; ce n’est pas une opinion mais un système, consubstantiel à sa philosophie. En outre, pour Voltaire ce n’est pas sa religion qui fait le Juif, mais le Juif qui fait sa religion. Malgré leurs grossiers plagiats des autres, car il soutient que les Juifs, dépourvus d’art et de génie, ont tout piqué aux autres, leur croyance reste répugnante et cruelle. « Dès que vous eûtes une loi, elle vous ordonna d’exterminer toutes les nations… Voilà comme vous aimez votre prochain ! Ce n’était pas ainsi que Jésus recommandait cet amour : Voyez la belle parabole du Samaritain ».

R. : Il insiste particulièrement sur les origines troubles du judaïsme. Pour lui, les juifs sont maudits par leur histoire ?

F. N. : C’est eux qui sont maudits, selon Voltaire, par nature, donc leur histoire le sera tout autant. Il les définit comme « une horde d’Arabes vagabonds » « déprépucés et gueux », “lépreux”, “pouilleux”, donc leur histoire atroce sera l’émanation de leur être, le fruit de leurs qualités intrinsèques.

R. : « Un juif n’étant d’aucun pays que celui où il gagne de l’argent » pour Voltaire, il est éternellement lié à l’usure ? 

F. N. : Il semblerait, oui.
 « Messieurs, lorsque M. Médina, votre compatriote, me fit à Londres une banqueroute de 20 000 francs, il me dit que ce n’était pas de sa faute, qu’il avait toujours tâché de vivre en fils de Dieu, c’est-à-dire en honnête homme, en bon Israélite. Il m’attendrit, je l’embrassai, nous louâmes Dieu ensemble et je perdis 80 %. »
Voltaire préfigure Marx : « Le dieu du Juif n’est qu’une traite illusoire. » Marx définit la monarchie de Juillet comme un pouvoir des « Juifs de la Bourse » où « l’État se laisse exploiter par les Juifs de la Finance ».

R. : Voltaire voulait-il une punition pour ce peuple ?

F. N. : Ben oui : l’extermination ! Rien moins. C’est épouvantable à dire, mais c’est ainsi. Pour Voltaire, le Juif est le Nuisible par excellence. « Je ne serais point étonné que cette nation ne fût un jour funeste au genre humain ». Il applaudit aux massacres de Juifs à l’occasion des croisades. Dans l’Essai sur les mœurs, il déplore même que les Juifs « fussent punis, mais moins qu’ils ne le méritaient, puisqu’ils subsistent encore ». Faut il commenter ?

R. : Voltaire, en plus d’être antisémite, semble avoir été très misogyne et raciste. Cela n’arrange pas son cas pour vous ? 

F. N. : Cela n’arrangerait pas son cas, comme vous dites, si je ratifiais ces appellations homologuées par une époque que je récuse entièrement.
Si on valide le féminisme, qui est un irrationalisme, un subjectivisme métapsychologique absolu, stipulant que la détermination sexuelle n’est qu’une représentation mentale, on peut qualifier Voltaire de misogyne, ainsi que tous les penseurs et philosophes qui se sont penchés sur cette dangereuse question, jusqu’à notre époque impuissante qui ne produit ni penseur ni philosophe. Il s’inscrit donc dans le tas de ceux que les féministes originelles ont nommé les OLD DEAD WHITE MALES, les vieux mâles blancs morts, qui auraient, selon elles, fondé philosophiquement l’infériorité des femmes.

Pour ce qui est du racisme, au sens contemporain, c’est une invention encore plus minable. En France par exemple, on la doit aux magouilles conjuguées de Pierre Bergé et de l’Élysée, lors du tournant de la rigueur, pour discréditer ceux qui trouveraient à redire à l’appel au secours, au SOS lancé au vrai Racisme pour infliger une défaite historique à la classe ouvrière, en remplaçant sa conscience de classe par l’arriération religieuse, et le prolétariat par les prolifiques. Ainsi avec cette nouvelle acception on pourrait même faire d’Emmanuel Kant un raciste : « Nous pouvons avec une grande probabilité être sûr que le mélange des ethnies, qui mène tout doucement au nivellement des caractères, sans qu’il soit question de considération philanthropique, sera vraiment nuisible pour l’humanité. »

R. : Vous n’épargnez pas l’Église catholique, en réalité la secte conciliaire qui éclipse et pousse au tombeau le vrai catholicisme, dans vos écrits. Seriez-vous en rupture avec le christianisme et plus largement avec la dimension spirituelle ?

F. N. : A mon avis c’est plutôt Rome qui est en rupture avec le christianisme. Qui a dit qu’« Auschwitz était le Golgotha du monde contemporain » ? Deux, Jean-Paul. Qui vient de dire que l’Enfer n’existait pas ? Bergoglio François.
S’il subsistait encore quelques lambeaux de la vraie Tradition, des restes de métaphysique encore utilisables « dans les lézardes, le foutoir, les interstices de ce monument baroque et poussiéreux », quand Ezra Pound nommait ainsi l’Église catholique, je crains que ce grand monument poussiéreux avec son grand appareil de doctrine, n’ait perdu ses derniers gluons de substance thomiste, et se soit effondré comme Notre-Dame dans les fumées de la reconstruction moderniste, perdant sa flèche vers la spiritualité et la transcendance.

R. : La personne de Jésus-Christ semble positive pour vous. D’ailleurs vous le définissez comme un « goy perdu parmi les juifs » ? 

F. N. : Je rappelais seulement qu’il fut par sa naissance terrestre galiléen. On ne pouvait pas être à la fois Galiléen et Juif il y a deux mille ans, de même qu’on ne peut-être de nos jours palestinien et israélien. C’est par ce berceau natal que se comprend le retentissement spontané de Sa parole dans l’âme des peuples indo-européens, cependant que celle des sémitiques y demeure absolument allergique et rétive.
Jésus est pour moi beaucoup plus que positif ! Il est le Négatif absolu du mondain, du Siècle. La plus pure antithèse du mental, de l’ego. Sa Parole inimitable, invite à une véritable conversion intérieure, pour atteindre le Royaume, c’est-à-dire la vraie vie, dès ici et maintenant.

R. : Vatican II est pour vous un basculement spirituel. Ce conciliabule est-il pour vous le triomphe du “judéo-christianisme” ?

F. N. : Certainement, et je crois que le chapitre “Vatican II” de mon livre en fait la démonstration suffisante. On ne doit pas se laisse bluffer par ce concile de 1965 qui parut, au premier abord, une bouffée d’air pur dans un vieil édifice sentant le renfermé : prêtres ouvriers, bonnes sœurs émancipées, etc. L’Église en fut soi-disant rajeunie, alors qu’au contraire le concile a consisté en un abaissement du Nouveau Testament et un rehaussement du Vieux. On a remplacé jusqu’aux Paroles du Notre Père : « Ne me laissez pas succomber à la tentation » par « Ne nous soumets pas à la tentation ». Quelle espèce de divinité prie-t-on ici ? Un dieu qui pourrait nous tenter afin que la soumission du christianisme au judaïsme soit gravée dans la prière.

R. : « Voltaire, comme tous les paresseux, haïssait le mystère » écrivait Baudelaire. Vous rappelez l’opposition des romantiques et des symbolistes à l’auteur de Candide. Pourquoi ces deux courants sont t-ils autant les ennemis des Lumières pour vous ? 

F. N. : Parce que les romantiques vivaient dans la trivialité du triomphe bourgeois. Qu’à leur époque les bourgeois faisaient encore profession de voltairianisme. Voltaire leur semblait alors l’archétype ricanant de cette engeance.

R. : Vous écrivez que nous sommes passés des Lumières modernes aux Ténèbres postmodernes. Ce glissement vers la barbarie est-il impossible à arrêter ? 

F. N. : Tout ce que je sais c’est qu’on ne rajeunira pas. Car ce glissement progressif du déplaisir correspond au vieillissement, à l’agonie, puis à la putréfaction du système économique et social qui enserre l’humanité entière dans sa camisole de force.  Deuxième loi de la thermodynamique : dans tout système clos, se produit obligatoirement un désordre et une uniformisation croissants.
Il faut être un penseur superficiel pour définir la contre-révolution capitaliste post-moderne des années 1980 comme libérale-libertaire. Elle n’est pas libérale mais monopoliste. Pas libertaire mais ultra-autoritaire.
Le Post-moderne est anti-moderne, férocement anti moderne ! C’est une réaction sur toute la ligne, dans tous les domaines. Une réaction différente de la Vieille Réaction catholique et royale, mais une réaction quand même, et plus profonde, plus en arrière, puisqu’elle revient sur les acquis du néolithique, sur les données civilisationnelles les plus immémoriales.
La Vénérable Réaction devant le triomphe du capitalisme sur le stalinisme va sortir de la poubelle de l’histoire, et après s’être débarrassée des trognons de choux, des arêtes de poisson, des conserves et des casseroles qui la recouvraient, s’est redressée fièrement et a clamé : — Et Nous ! Nous sommes là, nous les anticommunistes de toujours ! Nous avons des solutions pour rétablir l’Ordre !
Sauf que le Maître du jour ne veut pas de leur ordre mais du chaos.

Propos recueillis par Monika BERCHVOK. _____
RIVAROL

Félix Niesche, Voltaire Antisémite, Editions Kontre Kulture, 128 pages, 13,50 euros. Disponible ICI




jeudi 13 juin 2019

dimanche 9 juin 2019

Sur le fil du rasoir

Dans l'Infini tout est équivalent dit en substance Nicolas de Cues. De la Docte ignorance
Comment savoir est ignorer.

Il y a un principe de laideur maximum qui s'applique
(à ne pas confondre avec le principe du Leader Maximo.)

Il n' y a pas d'Être.
le concept "être" a été formé à partir du contraire de "néant."

Pourquoi y a t-il quelque chose plutôt que rien ? est l’expression du mystère ontologique, la limite absolue de toute connaissance. Or en dehors d'elle il n'est pas de connaissance véritable seulement des trucs.

L'être surgit du néant pour y retourner aussitôt
le Tout Petit à la Naissance se croit Tout. Il est le Centre. La vie est le long apprentissage de notre néant. Que nous n'étions rien, ne savions rien, hormis cela de n'être rien.
Cette est vraie aussi bien pour les étoiles que l'Univers en son entier qui marche vers la dissipation totale

Tout est menacé par son contraire. Le meilleur toujours a côtoyé le pire.















L'existence d'un rebut dans la Dissidonce ne surprendra que les faibles.

Le meilleur toujours a côtoyé le pire.
La moyenne mon cher,  la Moyenne ! La Norme.
Prenez l'antijudaïsme.
Marx Simone Weil,
il est sur les cimes
Mais il attire ceux là qui ne peuvent l'entendre que de la pire manière
L'antisémitisme du rebut, de ceux qui enragent de ne pas pouvoir mépriser plus bas qu'eux m^mes car ils sont eux m^mes ce qu'on fait de plus bas. Voyez ces faces de gorets, ces bides, ces oreilles.



Ceux là ont besoin d'être déclarée biologiquement membre d'une Race supérieure, à défaut d'avoir de la race, d'être racés.

Id pour l'antiféminisme bien sûr.
le Gros Con accablant

N'importe quel que vous preniez
dîtes m'en  un au hasard
La passion se change en haine




Comme l'Intelligence des Fâmes tant révérée par les admirateurs de la Sororité Aryenne.

En vérité, dans le règne de la quantité, les petits QI-QI des têtes d'oiseaux mâles et femelles statistiquement se valent bien.
H et F sont parfaitement égaux en moyenne intellectuelle.
Il y a belle lurette que les yankis, amoureux des statistiques, l'ont archi-prouvé avec leur manie des



C'est à dire aux extrémités, le génie et la ...sont Y.
X est plus étale, plus
Normal c'est la Matière
H est la Forme.

C'est valable aussi pour les Arabes.
Tous à Daesh. Tous d'Islam.
Cependant que chez nous, n'est ce pas, entre

"Une psychologie élémentaire de l’homme le considère comme une seule conscience. Pourtant, nous avons tous constaté qu’il y a une contradiction interne. Il y a débat permanent à l’intérieur de chaque crâne humain. C’est même le fondement de l’intelligence humaine. C’est de manière automatique que notre cerveau répond à toute information par une interprétation fournie par le cingulum. Mais cette interprétation n’a rien d’intelligente. Elle est généralement absurde. C’est la réponse contradictoire du cerveau qui permet que cette interprétation, après une série de contradictions et de confrontations avec tout ce que le cerveau croit savoir sur les circonstances." M&R ( le Juif fémniste trotkiste)

On croit que chaque homme possède sa propre conscience, unique comme sa gueule.
Il n'en est rien. Sous chaque crâne menace la tempête. C'est m^me la base de l'intelligence.

Pour en revenir à la Dissidonce, nous trouvons le même symptôme.
L'exemple classique est celui de l'antijudaïsme.


Mais aussi

Si vous prenez les bas fonds de l'antisémitisme
plein à ras-bord de cette lèpre. Des bouchers, des maquereaux, des coiffeurs, et des pédérastes, c'est un fait.
Cela n'enlève rien à la grandeur de leur chef, qui savait faire flèche de tout bois. Contrairement à une idée admise, ce régime était loin du monolithe : Ein Volk, ein Reich, ein Führer.
Adolf  avait conçu son régime comme des féodalités couronnées par un arbitre,
au dessus de ces intérêts plus ou moins sordides.


Cet amour pour les Gros Cons.  Onfray, Cantona, Grospardieu !
Les Gorets judéo-crétins
ainsi que les défunts Cavanna, Choron,

parce qu'ils ne sont pas juifs.

Les antisoraliens commencent par dire Soral Juif.


L'antijudaïsme est un critère sur le fil du rasoir.
Le génie est voisin de la folie.
Les oppositions diamétrales basculent facilemnt l'une dans l'autre

Celui de Marx, ou à l'opposé de Nietzsche, y côtoie les raclures de bidet, jaloux, aussi laids que ceux qu'ils vitupèrent.

Il y a un principe métaphysique de médiocrité nécessaire. Il faut que Y — X = 0, du moins  que la moyenne de XY soit toujours très basse.   Il est nécessaire que la résultante soit dans une valeur faible, en accord avec la lenteur qui est nécessaire à la maturation qui produit le changement.

Le changement lui est brutal, rapide, surprenant les esprits justement conçu pour la lenteur.
En physique, astrophysique ce phénomène est bien connu.
Dans l'histoire humaine il échappe à la compréhension.
le spectaculaire
la méconnaissance des longs procès de maturation
font percevoir la nouveauté comme brutale, et souvent fomentée soit pas des esprits malfaisant, soit par des esprits éclairés.  On pense à la révolution française bien sûr.
Pour le vulgaire elle surgit comme le tonnerre dans un ciel serein
Ainsi de la chute du mûr de Berlin
Ainsi de l'éclatement de SOS racisme
Ce sont les contradictions qui travaillent, et soudain cassent le montage.

Mystérieusement, certains esprits, extrêmement rares, impatients, écrasés par la pesanteur, prévoient des
Ils passent pour extrêmistes, exagérés, négateurs, personne ne les écoute.

Car cette loi est valable pour la pensée et pour la connaissance.

Ainsi certaines idées, totalement en rupture, sont si évoluées, si lointaines, qu'elles se trouvent souvent accouplées, acqoquinées à











lundi 3 juin 2019

Scolies anti électorales

§. Chaque fois qu'une Urnette a lieu les GC de commentateurs ramènent leur science. Esprits épais qui font de l'élection, de la farce électorale leur horizon borné.

§. Voter après l'incendie volontaire de N.D ? C'est se montrer inférieur aux pyromanes.

§. Le suffrage universel c'est l'arnaque suprême, la participation des esclaves à leur servitude, la clé de voûte du crétinisme parlementaire, la conscience politique ramenée à l'Isoloir, à la politicaille puante comme des pissotières, avec sa meute des "chiens de politiciens" professionnels, cette vermine.
Chaque période électorale devient un moment supérieur de crétinisme, un spectacle de pur abrutissement pendant lequel on constate une extinction généralisée de la conscience politique.

§. Les petits boutiquiers de la dissidence, qui sont des petit-bourgeois,  en viennent souvent à expliquer que les peuples auraient les dirigeants qu’ils méritent, parce qu'ils votent mal. Comme si on avait le choix ! Cela revient au fond à protéger le pouvoir, à dédouaner la pourriture politicienne de ses crimes, et faire porter au pauvre peuple le poids de son malheur.  C’est l’opinion classique des demi-habiles, qui méprisent les simples qui les admirent, mais ignorent qu’ils sont eux-même méprisés par les spirituels. Lire Pascal. Et Orwell.

§. Extrait d'une Scolie après l'Enfer de Don Juan
"Depuis la dégénérescence, puis la mise à mort de la Royauté solaire, l’État s’est métamorphosé en un chancre induré. Un monstre tentaculaire qui étouffe la société. Les gouvernements ploutocratiques, au service exclusif de la Banque, sont des gouvernements-ulcères, mortels aux peuples. Le personnel qui les constitue est formé par la plus basse catégorie humaine. Ceux qui ne savent rien faire, ni travailler, ni créer, qui ne sont ni des tribuns, ni des meneurs d’hommes, seulement de serviles canailles."


§. Alors quoi voter pour cette crapule ? Participer à la Lutte des Places ?
Mettre une once d'espoir dans la politicaille du "camp national" avec la petite Maréchal me voilà qui a voté l'Etat Policier avec sa petite menotte ? Vous voulez rire ?

§. Désormais, il n'y a que les bourgeois, les vieux cons, les jeunes réchauffés de Durban et les bonnes femmes qui vont voter en Ex-France. Tout ce qui est jeune, viril, exploité ne vote plus. Le fait que ce vote n'existe pas ne signifie pas qu'il ne signifie rien ou qu'il s'agit d'un vide. La conscience vient de l'existence. Et c'est de l'existence des plus exploités, des plus opprimés, des plus malmenés par le Racisme immigré d'Etat,  que viendra la conscience la plus radicale. Identitaire et prolétaire.
Or il n'y a aucun parti identitaire, ni prolétaire dans la pègre politicarde.

§. Le petit bourgeois enragé veut sa part du gâteau.  Le plus exploité veut foutre en l'air tout le système. Ce n'est pas du tout la même chose.
Dans ce moment transitoire se côtoient des radicaux et des crétins mécontents.

§. Demain si le camp populiste triomphe, la deuxième révolution sera entre ces 2 espèces.
 Après février vient toujours Juillet comme en 1848.
 Après Février viendra toujours Octobre.   C'est une loi inéluctable. Mais cette fois Octobre ne sera pas bolchevique parce que nous sommes instruits, nous savons quel autre mouvement flamboyant a su nommer l'Ennemi, et affirmer que les races humaines ne sont pas faites pour se mélanger.  Le "National-sionisme" nous révèle le nom, au mot près, de la prochaine radicalité nécessaire, qui serait la volonté de puissance restaurée des européens.

§. Déjà depuis que F urne, c'est déchoir que d'aller à l'ISOLOIR. Tellement bien nommé.
On entend tout le temps dire que les dames auraient "conquis" ce droit d'aller urner comme de grande filles. Or, "les femmes" n'ont pris aucune part à cette soi disant conquête, le droit de vote ne fut nullement consécutif à une quelconque lutte de suffragettes.


Seule l'évolution "objective" des choses, (l'involution devrait on dire) explique cette réforme. Ayant eu le privilège pendant la Deuxième Boucherie de se voir réduites en hachis parmentier sous les déluges de bombes comme de vrais hommes, à Hambourg, Dresden, Hiroshima, Berlin, Brest, Saint-Nazaire, Le Havre, etc, etc, il était dès lors naturel qu'elles participassent au droit de choisir, tous les 4, 5 ou 7 ans, les Crevures qui ordonneraient ces bombardements.  Ce qui fut fait.

§. Avant, en 1848, suffrage universel mâle. Il fut octroyé par la bourgeoisie pour vaincre la tentative révolutionnaire de cette époque. La révolution n'était présente que dans les grands centres industriels. La rusée bourgeoisie institua le suffrage universel pour noyer la poudre des fusils des ouvriers sous les flots des bulletins paysans-petits propriétaires et boutiquiers. Vae Victis !  Le vaincu, longtemps, perdra jusqu'à sa mémoire révolutionnaire, puisque le suffrage universel qui l'a écrasé, deviendra dans l'imaginaire de la "gauche" domestique, une "grande conquête." Mais dans le MVMT fluorescent cette conscience claire renaît.

§. La V république est le régime le plus pourri de l'Histoire de France symbolisé par une succession de figures de bassesse au sommet. Et Macron couronne le plus immonde pouvoir que la Gaule ait connu depuis Mérovée, le pouvoir Hollandais du Bas Catalan qui a institutionnalisé un ignoble état policier. Et c'est dans les charniers du bataclan que naquit un bacille tout vibrionnant de son flagelle enduit de bran, avant sa métamorphose colo-électorale en une mouche bleue qui s'est posé avec ses pattes engluées de Typhus sur le grand cadavre de l’Ex-France.

§ . La V ème aggravée de son état policier donne à Macron une Armure indestructible. C'est cela et rien d'autre qui le soutient. Il est un micron, pas même élu par la majorité des français, 46 % des Inscrits, suspendu dans le vide, mais à peine a t il revêtu l'armure de fer des institutions, comme dans un dessin animé japonais il devient un super Robot dont la tête touche les nuages , et les semelles d'airain écrasent la contestation.  Castaner Nunez la trique rastaquouère sur les autochtones en gilet. 
C'est d'être désarmé qui a fait reculer le mouvement. Rien d'autre. Là est la tragédie.
Voter c'est opter pour la comédie.




samedi 1 juin 2019

Le Grand Œil parle

Or donc dans le camps des veautants, la nouvelle fracture politique se dessine entre les populistes et les réchauffistes.
A cet égard, un journal britannique The miror of Galadriel vient de révéler que le Seigneur ténébreux avait appelé ses fidèles d'Hexagonie occupée à voter pour les Verts de terre.
Sous le titre Sauron, le Seigneur de l’Anal, vote EELV, on pouvait lire :

"Aussitôt tollé général dans le GQG des Nazgûls, les Spectres Nazis : — Quoi voter pour ces pédés ? Hier Sauron nous fit voter LGBT, d'une façon latente, on a vu le résultat. Gilets fluos partout  ! Serviteurs de la Lumière !
Sauron les aurait alors durement tancé en ces termes :
—  Silence Nazgûls ! Vous êtes les serviteurs de l’Anal ! L'Anal a été forcé dans les les caves du Destin par Benbella ! Il sert le Mordor ! Il a nommé la Grande tête de Biroute premier, et le Vagin bavard seconde. Il pourrit tout. Vous n’avez rien compris à ce Pouvoir de la Décomposition, tas de zombis couronnés, aussi gogol que des bobos sur google !
Vous croyez que Marine va ouvrir des camps de concentration en terre du Milieu avec des oriflammes rouges et noirs ? Quel romantisme d'un Mal ancien et obsolète!
 Ne voyez vous pas le beau camp d’extermination à ciel ouvert en Nysraül ?
 Que l'Enculé mondain va ouvrir toutes grandes les portes de l’Isengard à mes migrants orques et trolls !
 Qu'il a laissé incendier la Cathédrale de la Cité Blanche par les serviteurs de Sarumarrane, le supérieur du Quatrième Quartier ?
 Mais maintenant ce sont les couillons réchauffés de Durban, mitonnés à petit feu par les protocoles des sages de Kioto, nos meilleurs et plus loyaux serviteurs.
 Ils défendent le pouvoir des TRolls . Des Géants éoliens qui dénaturent les chemins, déracinent les arbres millénaires de la forêt de Lothlórien, et expulsent les Hobbits comme des moustiques dans le vent.  Ils taisent les empoisonnements et la dénaturation causés par les Géantes multinationales dont ils sont les serviteurs à gages.
 Et ils ne disent rien non plus du grouillement hideux du à la Multiplication exponentielle des Orques !   Ils accusent l'Homme en général, donc tous les hommes, mais principalement les habitants du Gondor et du Rohan !
 Et puis il y a cet humour que vous ne savez pas goûter Sinistres Nazguls, nazbols indécrottables ! Ils vont mobiliser la terre du milieu contre le réchauffement, alors que se prépare dans le secret du Morgull le nouvel Âge glacial ! Déjà la température dans l'Antarctique bat des records de froid ! LOL ! (On lira ceci avec profit.) 

    Mais par dessus tout, O Nazgûl ils sont les plus conséquents serviteurs des Ténèbres ! Pour faire baisser la température ils exigent encore plus de nuages artificiels pour recouvrir la Terre de secondes ténèbres. Le bleu du ciel les offense, comme une terrible provocation à Effet de serre. Ce sont les Rats d'égout, nos rats fait pour les boyaux électriques.
Pour contrer la toute mystérieuse Nuit elfique, nous avions déjà l'éclairage putride des luminaires qui suffit à cacher l'étincelante révélation du Cosmos. Le Ciel c'est le Cosmos, duquel la langue elfique a tiré cosmétique, car il est l'ordre de la Beauté, ennemie de notre Pouvoir.
Le ciel, artificiellement couvert de faux nuages devient le reflet maudit de l'Etat qui opprime et emprisonne.  Jusqu'à étendre bientôt notre linceul d'éternelle Grisaille.

Quand l'Etat étalant ses ignobles traînées
 Raie le ciel de barreaux pour les emprisonner
 Ah comment tiendront ils sous ce sombre cachot
En entendant brailler qu'il fait vraiment trop chaud ?










mardi 28 mai 2019

européennes

Or donc la simplification des 2 camps est en marche. Populistes contre Réchauffistes ! Ça va chauffer !

les premier parti Election piège à cons
le second c'est



 1 1er parti l'Abstention près de 50 % Donc relativiser tous les % ainsi le RN ne fait pas 23, 31 mais 8,9 %, voyez vous.
 Les gilets jaunes ne votent pas aux européennes ; c'est un minimum, c'est la conscience à minima. Normal donc que l'étiquette se soient ramassés.

 2 Dans le camp des votants y a pas de réelle percée RN malgré tout on sent que le clivage se simplifie entre

 La révolte identitaire et Le conformisme planétaire

la conscience identitaire, c'est à dire que nous sommes menacés dans notre être se dilue dans la daube populiste.
Quant au conformisme il prend des allures de très haute volée


 Junker avec sa tronche de cake on le voit venir de loin . Ces « populistes  stupides, ils sont amoureux de leur propre pays. Ils n’aiment pas ceux qui viennent de loin. J’aime ceux qui viennent de loin ». Nous on voudrait qu'il parte très loin.

 Ce que qu Junker a volontairement bien exprimé les premiers sont dirigés par des valets. De servile valets qui lavent le linnge souillé des brûleurs e cathédrale et des Ne comptez pas sur eux pour S'ils avienent, un atome de sincérité, de conviction, ils diraient ce que tout les intelligents soupçonnent. Mais les tristes pignoufs ont voté l'état d'urgence En face Anima c'est encore mieux. Après avoir combattu le fascisme imaginaire ils s'en prennent au Climat Les réchauffistes, le bouillon réchauffé Voilà donc les pays légaux, les Zétats et leur pitrerie qui vont nous jouer c'te planète contr c'pays populisme conte réchauffisme. Fiction contre Fiction Le populisme, s'il n'est construit sur l'identité, et l'identité sur la race, n'est qu'une vile démagogie. Quand au réchauffisme, il faut de soi même s'exclure de la raison, pour y ajouter foi. Ceux qui savent savent donc la nature des gens du pouvoir. La nature de l'Etat, Etat de classe est infiniment trop faible, car c'est presque faux c'est la Pourriture Pourquoi on a pas tenté le djihadisme fiché S ? preuve que le national sionisme c'est du journalisme Le vrai pouvoir est pro nègre pro migrant antichrétien et seulement antichrétien. Les populistes sont des cons et des démagogues. Ce qu'il faut c'est être identitaire.


 Alice : — « On ne peut pas croire des choses impossibles ». 
Lewis Carroll


Alice a raison ; il est dérisoire d'ajouter foi à des contes à dormir debout, surtout quand on atteint l'âge de raison.
Le réchauffement climatique. On peu pas tomber plus bas.
L'antifâchisme au moins
mais le réchauffement !


Sur cette question voici le point de vue du climatologue Marcel Leroux.  Professeur émérite de climatologie à l’université Jean Moulin Lyon 3, il était directeur du Laboratoire de climatologie, des risques et de l'environnement.  Palmes Académiques le 31 octobre 2002.

 « Le réchauffement global est une hypothèse issue de modèles théoriques et fondée sur des relations simplistes, qui annonce une élévation de la température, proclamée mais non démontrée. Les contradictions sont nombreuses entre les prédictions et les faits climatiques directement observés, l’ignorance délibérée de ces distorsions flagrantes constituant une imposture scientifique » dit il

Ceux qui veulent approfondir liront  ceci.

Bien évidemment qu'il n'y a pas de réchauffement !  Ce qui pourrait éventuellement réchauffer "c'te planète" c'est d'une part le noyau de la Terre, d'autre part les fluctuations du rayonnement émis par le Soleil, notamment la fréquence et l'intensité des eruptions solaires, et nullement l’effet de serre atmosphérique. 

Le seul réchauffement anthropique est celui ci




L'émancipation de la femelle vers la favelas brésilienne



M1 R "Le centre de la Terre est un gigantesque cœur de 2 400 km de diamètre (à 5 150 km de la surface). Il est composé de fer et d’éléments à l’état de traces. C’est le "noyau interne" (ou "graine" de fer solide). La température s’élève à 6 000 °C. La pression est 3 600 000 fois plus forte qu’à la surface. Soumis à ces pressions et ces températures extrêmes, le fer adopterait au cœur de notre planète, à l’image du diamant, une structure en cristal. - Cette graine baigne dans un immense océan de fer en fusion, le noyau externe. D’énormes tourbillons au sein de ce liquide (courants de convection) génèreraient le champ magnétique. L’instabilité de ces tourbillons provoquerait les modifications du champ magnétique. Remarquons tout d’abord que nous n’avons aucun moyen de mesure directe de la température du noyau terrestre et que les seules températures reconnues le sont par des raisonnements indirects qui donnent des résultats divergents : Entre 3800 et 5500 pour les uns, 6500 pour les autres, la température du noyau terrestre n’est pas vraiment connue… Probablement aussi chaude que la surface du soleil Des chercheurs du CEA viennent de montrer que la température qui régnait au centre de la Terre était sensiblement plus élevée que les valeurs admises jusqu’à présent.




Il est vain de se faire sa propre petite opinion concernant le climat, il faudrait retourner à l'école; et non se baser sur des humeurs. Perso j'ai la sensation, l'intime conviction que nous allons vers un nouvel âge glaciaire. Mais je n'en SAIS rien. Ce qui croient savoir sont les jouets de l'idéologie, tant cette question est devenue un instrument politique aux mains des institutions, GIEC.

Le GIEC est formé de bureaucrates, d'administrateurs, de politicards. Pas de savants. Les rares savants se taisent ou ne passent pas le



Mais comme l'incendie de ND qui va générer de fabuleux profits, la théorie réchauffée climatique va générer de fabuleux profits,

les éoliennes
et l'ingénierie

les chemtrails contre les ciels purs



Donc objectivement les réchauffistes sont gâteux séniles au stade terminal. Qu'importe qu'ils soient jeunes.

Ces derniers, rabougris, se pensent comme des esprits d'envergure ils voient loin, grand, ils surplombent et pensent en rond. 
Demandez à un de ces petits ce qu'est la Terre, son noyau, il va faire des yeux tout ronds. 
du moment qu'n peut aller de paris à Tel Aviv en 2 heures.  

Quelle planète allons nous laisser à nos enfants demandent avec des trémolos danas la voix  les parents de cette progéniture.
Quels crétins allons nous léguer à cette pauvre Terre ? Gageons qu'elle saura vite s'en débarrasser, et c'est très bien.







Indices et suspicion

On lit ceci 
puis cela 


mardi 23 avril 2019

Notre-Dame de Paris de Victor Hugo.

Le drame de Notre Dame, nous pousse à la relecture.
Notre-Dame de Paris de Victor Hugo. Voici un extrait du chapitre II du Livre Cinq:

« Cependant, quand le soleil du moyen-âge est tout à fait couché, quand le génie gothique s’est à jamais éteint à l’horizon de l’art, l’architecture va se ternissant, se décolorant, s’effaçant de plus en plus. Le livre imprimé, ce ver rongeur de l’édifice, la suce et la dévore.
Elle se dépouille, elle s’effeuille, elle maigrit à vue d’œil. Elle est mesquine, elle est pauvre, elle est nulle.
 …..
Cependant, que devient l’imprimerie ? Toute cette vie qui s’en va de l’architecture vient chez elle. À mesure que l’architecture baisse, l’imprimerie s’enfle et grossit. Ce capital de forces que la pensée humaine dépensait en édifices, elle le dépense désormais en livres.
Aussi dès le seizième siècle la presse, grandie au niveau de l’architecture décroissante, lutte avec elle et la tue. Au dix-septième, elle est déjà assez souveraine, assez triomphante, assez assise dans sa victoire pour donner au monde la fête d’un grand siècle littéraire. Au dix-huitième, longtemps reposée à la cour de Louis XIV, elle ressaisit la vieille épée de Luther, en arme Voltaire, et court, tumultueuse, à l’attaque de cette ancienne Europe dont elle a déjà tué l’expression architecturale. Au moment où le dix-huitième siècle s’achève, elle a tout détruit. Au dix-neuvième, elle va reconstruire.

Or, nous le demandons maintenant, lequel des deux arts représente réellement depuis trois siècles la pensée humaine ? lequel la traduit ? lequel exprime, non pas seulement ses manies littéraires et scolastiques, mais son vaste, profond, universel mouvement ? Lequel se superpose constamment, sans rupture et sans lacune, au genre humain qui marche, monstre à mille pieds ? L’architecture ou l’imprimerie ?

L’imprimerie. Qu’on ne s’y trompe pas, l’architecture est morte, morte sans retour, tuée par le livre imprimé, tuée parce qu’elle dure moins, tuée parce qu’elle coûte plus cher. Toute cathédrale est un milliard.
Qu’on se représente maintenant quelle mise de fonds il faudrait pour récrire le livre architectural ; pour faire fourmiller de nouveau sur le sol des milliers d’édifices ; pour revenir à ces époques où la foule des monuments était telle qu’au dire d’un témoin oculaire « on eût dit que le monde en se secouant avait rejeté ses vieux habillements pour se couvrir d’un blanc vêtement d’églises ». Erat enim ut si mundus, ipse excutiendo semet, rejecta vetustate, candidam ecclesiarum vestem indueret (Glaber Radulphus). »



Scolie 1. Cependant que sont les architectes devenus ?
Des valets du billet imprimés. De vulgaires rabatteurs pour les entreprises du BTP.
Par le truchement des syndics, ces succursales des affaires juteuses du Bâtiment, les architectes mènent par les naseaux les copropriétaires parisiens, ces vaches à lait. Ces bœufs votent partout, toutes sortes de travaux à sabot levés, et font venir dans leurs immeubles, contre les murs, dans les escaliers, sur les toits, des dizaines de ces trimardeurs dont le métier est de faire du Bruit.
L'Agence nationale de l'habitat relève une hausse de 46 % des travaux de rénovation des copropriétés en 2018 !
Nul n'en ignore, ou plus exactement seuls les nuls l'ignorent, ceux qui ne savent pas observer le monde et la vie, ceux qui ne voient rien, ni les rayures du ciel, ni les services secrets dans les interstices.
Pourtant l'Île d'ex-France est toute défoncée, dévastée, couverte de grues et d’échafaudages qui enserrent de leur réseau de fer la vaine populace.  Il y a de la construction tous azimuts, du chantier à tout va dans toute la France ! Cette débauche de travaux ne provient nullement d’une hausse « naturelle »  des affaires.  Mais de la décision arbitraire de l'Etat pour compenser la chute des investissements productifs. Sans l’argent de l'Etat, c'est à dire ponctionné sur la plèbe, il n’y aurait plus de secteur du Bâtiment, tout le Fric de son fonctionnement provient de l’endettement des français sur 10 générations!


Scolie 2.
Suspicion
Indices
Is fecit cui prodest (« le criminel est celui à qui le crime profite »)


Il est inutile de chercher plus loin que le marché, le bizness,  le profit, la cause matérielle de la destruction volontaire de N.D.  Une cause intrinsèque au capital.  La restauration de Leur-Dame va rimer avec profanation et accumulation. Depuis longtemps il était inadmissible "que les 14 millions de touristes ne se déplacent que pour visiter Notre Dame, sans qu'il n'y ait les retombées commerciales, avec des millions d’euros à récolter".  On lira ici avec profit, ceci.
Et aussi cela, là.