jeudi 24 novembre 2011

Une guerre généalogique


Le sémillant Christophe Barbier qui n’est pas le Barbier de Séville puisqu’il rase dans L’Express et non dans le Figaro, avait commis le 9 novembre 2011, à propos du dernier opus de l'affairiste Bernard Botul « La guerre sans l’aimer », un article intitulé « Comment Sarkozy a gagné la guerre ».
Ce Monsieur Barbier qui ne saurait être disions nous l’illustre barbier, illustre cependant une de ses maximes : « Médiocre et rampant, et l'on arrive à tout ».
Son article surabondant de lèche ne laisse pas de nous édifier sur les facultés diluviennes de ses glandes salivaires. Monsieur Barbier, pour ce qui est du caractère, semble plus proche de Chanal que de Figaro. Cette comparaison avec le mari cocu du vaudeville de Beaumarchais ne présume bien sur, en rien, des fortunes ou infortunes conjugales de ce monsieur à la ville.
D’ailleurs monsieur Barbier a épousé dans la très haute et très fortunée noblesse Djuive.
C’est son droit le plus string.
Comme c’est le nôtre de nous demander si c’est la raison pour laquelle il tient ce rôle de shabbat-goyim rampant, d’une servilité si servile qu’elle donnerait la nausée aux cœurs les plus serviles.

Quelques zextraits, pour rire  (« Je me presse de rire de tout, de peur d'être obligé d'en pleurer » disait encore le Barbier Sévillan ) :
- À propos d'une lettre que Botul le bondissant avait envoyé à Malraux :
« Enjambant les guerres et les révolutions, survolant les collines de Sarajevo et les montagnes d’Afghanistan, traversant les cimetières bondés où se mêlent désormais, dans la pénombre de l’Histoire, les cadavres des bourreaux et les dépouilles des martyrs, cette lettre noue le temps. »
Un nœud à la lettre fort bien circoncis !
" Oui, dans les cailloux du Djebel Nefoussa, sous les étoiles de Tobrouk, aux carrefours épargnés de Benghazi et dans les rues libérées de Tripoli, Lévy tient la plume, Malraux crache l'encre."
Qu’en termes pompeux ces choses-là sont crachées. Le style c’est l’homme.

- À propos de la récente intervention otanesque (qui ne fut que la désagrégation du ciment de ce qui fondait la Lybie comme nation, afin de la réduire à une pouillerie aux mains sanglantes de la pire maffia) :
« Le philosophe [ il s’agit de l’affairiste Botul-Levy] permet au président d’embrasser une bonne cause, d’envahir le territoire du juste, un écrivain pour qui le judaïsme est fondamental et un président à qui il n’est pas étranger ont permis à un peuple arabe et musulman de se débarrasser d’un tyran…»
« ... il lui donne aussi l'accès direct aux rebelles, par-dessus les diplomates, qu'il méprise, et Alain Juppé, dont il se méfie. Une fois de plus, Sarkozy est un hyperprésident, guidant en rênes courtes la cavale de son ambition. »
Quand on lit de pareilles choses on se trouve toujours un peu gêné pour leur auteur.
Mais ce n’est pas tout :
« C’est aussi une paix généalogique que BHL est allé chercher dans le sillage des rebelles de Misrata. »
Dans leur soucis perlocutoire de superlocutoires dithyrambes, ces superfines canailles, ces larbins « médiocres arrivés à tout » (et même au reste), profèrent, malgré eux, de hideuses vérités généalogiquement nues; en un mot dévoilent le poteau rose planté dans le Fondement.
Pour « généalogie » Littré donne comme synonymes : « souche, famille, race, origine »

Or donc, l 'affairiste Botul dit Henri-Bernard Lévy, qui peut utiliser semble-t-il l’armée française à son gré et comme bon lui semble, aurait mis tout son entregent et sa loquèle dans l’intérêt exclusif de sa « souche, famille, race, origine  » et du pays d'élection de sa « souche, famille, race, origine  » ?
C’est-ce que je laissais entendre, l’autre jour chez Philistine qui donnait à laper quelques rogatons en ses pénates à quelques intellectuels à la lèvre pendante.
Seigneur quel tollé !
Philistine, qui aime les Gros mots, m’a semoncé en ces termes : « En fait, pour vous la politique perd clairement ses couleurs variées à travers votre prisme unique de l’Antisegmentisme à segmentations sémitantes, qui assombrit tout, clairement, ne révélant que votre propre obsession, en fait, c’est clair. »
Très clair, mais l’affairiste Bernard Lévy dit Henri Botul, ne vient il pas justement de pérorer ce dimanche 20 novembre à la tribune du CRIF (Conseil de Représentation théâtrale des Juivants qui font leurs affaires dans la France) à propos de l'intervention en Libye :
« J’ai porté en étendard ma fidélité à mon nom et ma fidélité au sionisme et à Israël »
« C’est en tant que juif que j’ai participé à cette aventure politique, que j’ai contribué à définir des fronts militants, que j’ai contribué à élaborer pour mon pays et pour un autre pays une stratégie et des tactiques« .
« Je ne l’aurais pas fait si je n’avais pas été juif. »

Questions pour un Samson :
Combien de Libyens sont morts pour cette « aventure politique » sous « l’étendard » sanglant élevé au « sionisme et à l’Israël » ? Pour satifaire aux appétits sui generis d'un affairiste aventurier.
Et le Prézydent, vrai responsable de cette saloperie cachère, n'aurait été qu’un polichinelle entre ses mains ?

lundi 21 novembre 2011

Le vrai visage de l'U.E


La baronne Ashton of Upholland,

digne représente de l'oligarchie des Angles, vue sous ses meilleurs angles : baronne et gauchisante, féministe et anti-nucléaire extrémiste, immigrationiste forcenée, n'a jamais été élue démocratiquement, n'a jamais travaillé de sa vie : elle est la haute représentante de l'Union dite par antiphrase "Européenne"....
The right female in the right place...
Plus besoin de caricatures...

mardi 8 novembre 2011

Place de l'Hôtel du Vil


On se croirait en Lybie
  Sur l’esplanade venteuse, face aux tours aigües de l’hôtel du Vil, une soudaine agoraphobie fit oublier l’islamophobie….
Et par contagion le prose l’emporta sur le prosélytisme, l’obscénité sur l’opiniâtreté, l’indécence sur la persévérance, la pédérastie sur le pseudo corpus delicti.
Bref, le cul riquiqui sur le culte Hara-kiri.
Chassez le naturel…
félix lechat