samedi 11 décembre 2021

Scholies

§. Les Confinements, les Variants, les Vagues qui succèdent aux vagues, les QR code, les petits bouts de bois dans les narines pour prendre le train, on sentait bien que tout ça n’aurait qu’un temps. C’est à Vienne que reviendra l’honneur d’ouvrir le Bal de clôture du Grand Opéra comique mondial, avec l’annonce de l’obligation vaccinale, et en Australie le pays des grands espaces que s’ouvrent les premiers camps de concentrations. 

 §. Minuit sonne, réveillez vous madame, temps est venu d’être authentique et de cesser les badinages, quand sonne l’heure sombre en rester aux préliminaires est une attitude d’impuissant.
 Choisissons, crainte de périr tout à l’heure, d'entrer dans l’épaisseur des entendements la fine lame de notre politique, car il est fin d’être ultra, et grossier d’être spéculatif devant le Couperet. 

§. Certes, il nous est encore permis de processionner et de débiter des tartines sur les rézo socio. Nous sommes là, encore un peu peinards, on ne peut plus pénétrer dans un rade sans ausweiss ni s’envoler vers les soleils de pâques où les ciels de Bethléem mais qu’est ce que ça fout, tout est bien, on peut encore promener le chien.
 Et puis on va pouvoir voter comme en Amérique ! Une période électorale est toujours un summum de judéo-crétinisme, une extinction généralisée de l'intelligence, même les meilleurs n'en sont pas exemptés.
Universelle est l'arnaque colo-électorale, le passage dans l'Isoloir, comme dans une IRM pour, en son âme et conscience se choisir un Pitre...

 §. – N’est il pas curieux, monsieur l’abbé qu’avant d’entrer franchement dans l’Enfer il faille en passer par le purgatoire de la saison électorale, serait ce miséricorde divine pour graduer les effets, préparer les âmes ? 
– Il n’y a plus de miséricorde divine, mon fils, finit hic deo ! Car ce Monde s'est retourné il est Dé-mon. 

 §. Notre système immunitaire est notre idiosyncrasie génétique ; la science médicale l’appelle « l’antigénique du soi. » Elle est le sanctuaire, le saint du saint, l’en- Je, notre ange gardien.
 L’ARN messager injecté dans votre corps sera le facteur de la pire nouvelle, pour chacune de vos cellules à laquelle elle ne pourra se soustraire : fabriquer en série de la protéine Spike ! Spike ! Spike partout ! Une prolifération de Spike, un envahissement de votre économie physiologique de Spike.
 À l’intérieur des cellules devenues usine à Spike seront consumés par cet excès de production, ce qui se traduira à l’échelle corporelle globale par l’inflammation des tissus. Des Inflammations locales, traitables, mais qui, un peu plus tôt, un peu plus tard, détruiront votre vie, aussi sûrement que le capital a détruit l’écosystème terrestre.
 Telle sera la fatalité des pseudo-vaccinés, aucun n’échappera à ce sort funèbre.

 §. Mais seul notre sort sera tragique. Le contraire de la comédie ce n’est pas le sérieux, mais la tragédie. L’accélération entropique de l’expansion de la tyrannie pharmacienne nous précipitera après les enfermements domiciliaires, dans des camps de concentration, où nous serons traînés par la même soldatesque qui a opéré dans la fosse du bas-catalan, jusqu’aux pieds des salopards en blouses blanches qui vont nous aboyer dessus comme ils aboyaient dans le poste :
 —  Alors tu consens enfin à te vacciner, salaud de complotiste ?
 — Jamais ! maudit Esculape ! 
Jamais nous ne consentirons à laissez pénétrer dans notre ADN du concentré de ce pouvoir de l'ordure!

  §. La violence révolutionnaire n’était pas seulement une pratique, c’était aussi une vision du monde. Il faut d’abord la contenir en soi. Oh ce n’est pas avoir un tempérament violent, ni un goût pour la violence, comme celui de la plupart des gens qui nous pourrissent la vie depuis le Grand Remplacement, qui ne sont que des hystériques fils du matriarcat et de la théodicée. Du meilleur du monde possible.
 Mais c’est posséder en soi la plus grande Tragédie !
Que l’arme de la critique ne saurait remplacer la critique des armes, est un fait, mais il est bien évident que l’arme de la critique n’a pas même été forgée ! Nous n’avons plus le temps de papoter sur ce qu’il faudrait lire pour se donner l’illusion de l’action, quand l’action se s’armer et la considération de son impossibilité est la seule connaissance valable.
 Le temps des apprentissages est clos. Le plein est fait, roule mon fils, il faut partir.

 §. Certes nous sommes tous des morts en sursis, et sans doute la société des hommes pousserait les plus lucides à vouloir en finir au plus tôt : mais le comique c’est que ce sont ceux qui souhaiteraient vivre le plus longtemps, ceux qui tremblent comme des feuilles qui risquent de tomber le plus vite.
Ceux qui croient vivre dans le meilleur des mondes possibles, devraient être amené à le quitter au plus tôt.
 Redisons le, tout ça était une vraie Comédie ! Les yeux ronds riboulant de stupidité au dessus des masques de chirurgien, les distances réglementaires entre deux anus, les soudains bonds stupéfiants de vitalité de vielles mamies devant un masque mal ajusté!
Le bétail urbain entassé dans le métropolitain les uns sur les autres pendant que les PORCS (patrouilleurs officiels du respect du confinement sanitaire), se précipitaient hors de l'hélicoptère posé sur la dune vers des promeneurs venu respirer l'air du large...
Quelle comédie ! Une comédie ratée, je vous l’accorde, et qui ne faisait rire personne, mais laissait les vrais individus encore libres de refuser de laisser l’État, les Tas d'Ordures, pénétrer dans son sang ! Jusqu’à présent, hormis le sort fait aux enfants, tout était Farce ! 
Et drôle, et combien plaisant de voir le « petit patronat » se tordre les mains, un régal. Le tout petit capitalisme en train de râler, et les partisans du tout petit capitalisme, les petits esprits d’une manière générale, qui ânonnaient Big Brother ! Ils étaient « populistes » les pauvres simplets, c’est-à-dire qu’ils voyaient le pouvoir du Capital comme une Volonté mauvaise qu’il suffirait de changer par un meilleur Vouloir. 
Cependant qu'il faudrait vouloir tout raser, et passer comme un Vandale, ne laissant pierre sur pierre de ce Mouroir, de cet Asile, de cette Porcherie.

lundi 6 décembre 2021

Comment accepter ça ?

 

En Pologne, depuis le mois d'avril les enfants âgés de trois mois à onze ans sont piqués. En Autriche et en Allemagne le shoot génique sera bientôt obligatoire !

 



jeudi 7 octobre 2021

Mur de la Honte

 Les Covidés ne sont pas nés de la dernière pandémie. Ils vinrent au jour de manière conséquente et conquérante le soir du 21 avril 2002, puis s’étoffèrent en vigueur lors des semaines contre le fascisme du Second Tour. C’est à ce moment qu’on les vit sortir « tous ensembles-tous ensembles-tous ». Cette insecte multitude débordait de partout en bourdonnant.

C’est cette semaine là que j’ai décidé de devenir fasciste. Avant je n’aurais pas succombé à la tentation car je suis un homme de raison politique et mon criticisme pratique me laissait voir que le fascisme pensé avec exactitude, c’était eux, ce ramas qui manifestait contre une abstention ouvrière. On lira ICI avec volupté ce Petit rappel des haut-faits du gouvernement Jospin

C’était eux qui répondaient exactement à la définition dite de Dimitrov, qui fut validée par la IIIème internationale : le fascisme est la mobilisation de la petite bourgeoisie déchaînée contre le prolétariat, au profit des éléments les plus réactionnaires du capital financier.

Mais je les voyais se tordre dans les flammes imaginaires d’un Enfer de télévision. Et par leurs cris de douleur je ne pouvais pas ignorer que ce Mal qui les torturait, ils l’appelaient fasciste. Je voulais donc relever un peu, au moins nominalement, de cette force magique qui les accablait si absolument.
Bien évidemment il fallait aussi prendre en compte leur manipulation par cette tourbe fourbe : NPA, PCF, FA, CGT, SUD etc..
Mais ces derniers n’auraient jamais pu, par leur propre force, susciter cette surrection dans laquelle entrait tant d’adhésion, tant de vouloir ; tant le désir du vivre ensemble était le plus grand Vouloir, le vouloir sexuel.
En effet le « vivre ensemble », l’amour des immigrés, quelque apparence désintéressée et généreuse qu’ils se donnent ont leur fondement dans l’instinct sexuel. Le Vouloir de l’enlacement entre vulgus feminae et homo prognathus, était là, latent sous leurs hurlement, tellement ce désir était entré dans les mœurs, dans les cœurs de nos sœurs.

Ma raison pure et mon criticisme supérieur me laissait voir cette cause profonde, la vraie généalogie sous-jacente de cette apparition, avec une grande clarté dans les belles après-midi ensoleillées, quand je les regardais défiler, accablés d’heures sombres, liés dans leurs ténèbres intérieures, lesquelles les livrerait plus démunis encore dans le fascisme pharmacien.
Bientôt les téléspectateurs antifascistes de 2002 deviendront les Charlie, après qu’on a tué quelques-uns d’entre eux qui dessinaient tout le temps des bites ou des prophètes, rue Nicolas Appert. [1]
Aujourd’hui les Charlie en phase terminale sont devenus les Covidés, coalisés, injectés de frais, en marche vers les lendemains qui sentent l’ether, la morgue et la créosote.

Jusqu’à ce moment j’avais placé ma raison pure dans l’esthétique, et ma raison pratique dans les pamphlets politiques. En devenant fasciste je les fusionnais dans une totalité discutable. Car je crois fondamentalement dans l’égalité des Anus Sapiens. La seule inégalité entre les hommes est dans les races de l’esprit. Mais elle est purement métaphysique. Elle est celle que Pascal a révélé. Aucune société ne pourrait fonctionner sur cette hiérarchie.
Ce fascisme esthétique m’obligeait a des accommodements difficiles si l’on peut accoler ces deux mots, auxquels je ne me sens plus tenus, sauf à nous souvenir qu’il a existé une critique fasciste de la raison réactionnaire. Tout ça, autrement exprimé est dans Voltaire Antisémite , première partie.

 

II

Le mode de production capitaliste se soucie de la santé humaine comme d’une guigne. Toute la comédie du covid est une fable ridicule. Le But est de discipliner, de réduire, intellectuellement et physiquement, d’installer la pire tyrannie. Nous n’en sommes qu’aux premiers balbutiements.
Si dans sa phase ascendante ce MDP a couvert les pays d’hôpitaux, il a aussi couvert les champs de batailles d’innombrables cadavres mutilés.
Mais l’impérialisme vit sur ce prestige premier en dépit des boucheries.
Verdun voilà pourtant aussi un des visages d’os de la structure capitaliste. Tant le prestige du progrès est grand que cette image s’efface.

En 2018, la veille de l’ouverture du Bal masqué le Pouvoir viral a fait graver sur les deux cent mètres de mur du Père Lachaise, à l’extérieur, pour être vus des passants, tous les noms des tués de la Première Boucherie impérialiste.
Étrange !
Ce n’est pas une coïncidence, ni même une préparation au « Nous sommes en guerre ». Du moins pas seulement.
C’est un Hommage à la Grande Faucheuse esthéticienne, à l’Holocauste des Poilus. Un rituel et une Oblation.
Le mur en face de ce Mur propitiatoire, les féministes l’ont couvert de grandes inscriptions noires sur des bandeaux blancs :
— « Féminicide : la peur doit changer de camp ». Donc appel à l’homicide.
— « Féminicide : nous sommes toutes des Héroïnes  ». Donc, raillerie des Héros de la Grande guerre.
C’est elles qui offrent la signification du Mur commémoratif et propitiatoire : préparez vous à crever !
J’ai assisté, un soir, tard, à ce collage de bandeaux par des pouffiasses juchées sur une camionnette. Elles étaient accompagnés par une voiture de flics !

Au début j’ai cru que ce terme débile de Féminicide était comme le Génocide communiste ou le Génocide vendéen, pour que la cause du féminisme ait aussi son Holocauste. La pensée génocidante est le génocide de la pensée.
C’est le nouvel usage. Bientôt le Droit distinguera le meurtre, qui concerne les mâles blancs, correctionnalisé, du féminicide passible des assises. Sauf dans certains cas répertoriés ici. Mais y en a t-il d’autres ?
Schwab avec sa gueule de chewing-gum à la framboise remâché dit explicitement qu’il y a trop de Blancs sur terre.

Hommage à la Mort, aux millions de Morts par ce pouvoir thanatocratique.

« La guerre militaire moderne est sur toute la ligne une abomination. Je me suis efforcé depuis quinze ans de démontrer et de faire sentir que cette guerre, en effet, détruit toutes les valeurs viriles »
Drieu la Rochelle. Socialisme fasciste.

À dater de ce moment, le divorce fondamental entre F et H sera prononcé. Car F ne respecte d’abord et avant tout que la Force, la force sociale de H.
C’est le terrible vouloir de l’espèce qui vit en elle, et se traduit par son hypergamie. Durant la Grande guerre l’homme s’est déprécié en se laissant massacrer en masse, sans s’emparer en retour du pouvoir.

Ne pleurez donc pas sur les horreurs de la guerre
Avant elle nous n’avions que la surface
De la terre et des mers
Après elle nous aurons les abîmes
Le sous-sol et l’espace aviatique
Maîtres du timon
Après après
Nous prendrons toutes les joies
Des vainqueurs qui se délassent
Femmes Jeux Usines Commerce
Industrie Agriculture Métal
Feu Cristal Vitesse

Ces dommages-intérêts minimum n’ont pas été saisi. Tout le mal à venir du siècle en découle. 
Ce fut une dépréciation spontanée, souvent inconsciente parce que l’idée de la virilité, de la vitalité, de la la force, dans l’entendement de F ne pouvait consentir à cette extermination. Elle se détournera de celui qui n’engendre pas l’Avenir.


lundi 16 août 2021

Bélonéphobie

Atteint, en outre, de bélonéphobie, je demandais à une infirmière si je pouvais prendre, sous son contrôle, le vaccin Covid par voie orale, voire rectale si besoin était, n’étant pas bêtement anusophobe, bien que modérément elgébétéphobe sur les bords et coslomotophobe
(Cette dernière phobie, très rare, étant la peur irraisonnée de se faire implanter à son insu et par derrière un anus artificiel.)
 Elle m’a dit d’aller me faire « voir » chez les grecs ! 

 Ah, c’est fini, bien fini, le respect que l’on portait naguère aux porteurs de phobies, les agoraphobies, nosophobies, claustrophobies, arachnophobies, triskaïdékaphobie, agalmatorémaphobie et autres alopophobies échevelées. 
Ces pathologies très estimées étaient traitées principalement par la psychothérapie, les thérapies comportementales, les techniques de respiration et de relaxation, voire l’hypnose ou l’électropuncture. 
 
Mais, les nouveaux rapports genrés issus de la Grande Révolution Féministe ont généré la survenue brutale de nouvelles phobies, telles les sexophobies, les gynécophobies, les gynophobies, les chiappaphobies, les gayphobies, les lesbophobies, les transphobies, les biphobies, les queerphobies, etc, toutes les variétés d’elgébétéphobie. 
 Les traitements classiques des phobies ne sont plus du tout envisagés pour ces nouvelles pathologies. Mais seront traitées par des thérapies de surveillance non ambulatoire, telle la garde à vue, puis les patients devant garder la dix-septième chambre pour recouvrer la Santé (ou autres centres carcéraux), et ces réclusions prophylactiques sont toujours accompagnées de soustractions bancaires.
 Ces nouvelles thérapies cognitives ne mobilisent plus exclusivement les personnels de santé, mais aussi les gardiens de l’ordre, ce qui revient aujourd’hui au même. 

 Hé bien, il semblerait que l’on dût compter la très ancienne bélonéphobie, parmi ces phobies d’apparition récente. 
Voilà où nous en sommes !



vendredi 13 août 2021

ben Bassa

 


 Ignoriez vous que Ben Bassa et Taubira haïssaient Robespierre et Saint Just bien davantage que vous mêmes, et que les délires anti jacobins de cette superbe Sénatrice laissaient loin derrière ceux de Ronald Secher ?

mercredi 28 juillet 2021

Or donc, avant la piqûre fatale

 qui crèvera de sa pointe aiguisée l’enveloppe fragile de la la Monade sans fenêtre, laissant filtrer vicieusement un Vouloir étranger, sous la forme de l'ARN messager de la pire nouvelle, celle de la perte de son immunité idiosyncrasique, tentons un peu de comprendre la cause matérielle de cette profanation ontologique.

 


Il y a d'abord une cause systémique. Confronté à la baisse de son taux de profit, dans l’impossibilité d’investir une part croissante de ses giga-capitaux dans la vente de produits pharmaceutiques classiques, le Big Pharma en crise a été le centre du passage brutal à la dictature la plus hypocrite. 
Son but, créer un marché captif. Plus exactement, rendre les consommateurs pharmacodépendants par la terreur de la maladie, comme la Maffia de la drogue rend ses clients accros. 

 Il faut lire le Knock de Jules Romain. Ce qui fut fait dans la fiction à l’échelle d’un département français, l’a été dans la réalité, à l’échelle mondiale. 

 C’est par le biais de ce sinistre projet maffieux totalitaire que le Big Pharma entend pérenniser son existence capitaliste. La racaille des gouvernements mondiaux étant leurs sinistres valets. La racaille médicale sa complice. 
Depuis Molière les médecins n’ont pas changés, ils restent de pédants ignares, mais leur ignorance est devenue savante grâce à l’apprentissage par cœur des nomenclatures des médicaments et de leurs effets, et une connaissance acquise dans les entrailles des pauvres macchabées sans sépulture fixe, découpés par leurs soins rigolards dans les amphithéâtres. Ce qui permet psychologiquement aux étudiants en médecine de renforcer leurs mauvais penchants, leur cynisme et leur arrivisme naturels. 
D’où la foule ces adjudants haineux en blouse blanche qui aboient dans le poste depuis un an et demi. 

 Les docteurs Delépine, Louis Fouché, le Pr Raoult, Alexandra Henrion-Caude, et tous les autres, les vrais disciples d’Hippocrate de Cos, ne sont pas emblématiques de la profession, ils en sont l’exception, l’élite, hommage leur soit rendu, à jamais, avant de rendre l’âme. 

 La volonté de Big Pharma est totalement en accord avec celle de Big Tech et de Big Bang. Big Tech ou Big Data est l’autre grand gagnant de la tyrannie sanitaire, nul n’en ignore. 
Sa vision dernière d’une société Amazonienne rejoint parfaitement celle du Big Pharma. Des larves moribondes en congé maladie et accros aux drogues pharmaceutiques, voilà la clientèle idéale du commerce numérique. 

 Les labos pharmaceutiques sont plus ou moins fusionné avec l’Armée, l’Otan, le Big Bang. Et l’Armée aussi veut pérenniser sa nécessité et créer une société militarisée. 
Notez : Vigipirate, État d’urgence, couvre-feu, arrêts domiciliaire, confinements, et maintenant le variant Delta-bravo, le rhume Charlie bravo. L’alphabet phonétique de l’OTAN. 
Le Big Bang a choisi un Pinochisme indirect. Comme ici, en fRANCE, où un Comité de Défense qui reçoit les ordres de l’Otan les donne au Président. 
L’inoculation forcée va générer obligatoirement des réfractaires. L’aiguille empoisonnée qui a déjà traversé la chair ( la masse stupide) les tendons et les muscles (les jeunes qui veulent un petit peu vivre) est arrivé maintenant à l’Os. Au Noyau dur. Le Réfractaire qu’il faudra shooter de force ou jeter dans des camps. 
Déjà, dans Les Landes, le premier camp de concentration est ouvert. Ce n’est pas un stade comme au Chili, mais un ancien lycée professionnel. 

 La contestation centrale de cette politique totalitaire ne vient pas d’abord des masses populaires mais du vieux capitalisme industriel, qui se voit définitivement relégué à la portion congrue, d’où le caractère inachevé et périphérique de sa contestation. 
Sur Radio-bourgeoisie par exemple, on est contre les Aùsweis obligatoires mais presque tous les intervenants affirment être « vaccinés ». Je dis Aùsweis parce qu’il est du dernier chic, à droite comme à gauche, de relier le fascisme pharmaceutique actuel au national-socialisme défunt. 
Ce qui est parfaitement stupide, est il besoin de le souligner ? 

Le National-socialisme voulait la santé de son peuple, à défaut de celle des autres : il était centrifuge. Le centre contre la périphérie. Il visait à la puissance et à l’expansion, à l’espace vital. Il tenait les ploutocrates sous sa férule. Il était cynique. 
 A contrario, l’actuel fascisme sanitaire vise au confinement, au rabougrissement, il a toujours excité la périphérie contre le Centre (l’immigration, la repentance), l’abaissement de la grande santé qui est volonté de puissance. Il veut des gens velléitaires et valétudinaire. 
Quant à la ploutocratie mondiale, ce fascisme est son laquais le plus obséquieux et le plus vicieux. Il est hypocrite. 

 Marcuse disait que l’on avait remplacé les personnages sublimes du roman classique par des voyous et des gangsters dans un processus de « désublimation répressive ». 
Ces modèles ont été, à leur tour, évincés au profit de la Fliquette et du Chirurgien africain, ces deux figures du neo-fascisme sanitaire très Yin qui s’est installé sans fard, mais avec masque et une facilité déconcertante depuis janvier 2020. 

 Parallèlement, à gauche, on retrouve la même ligne de défense de la liberté de choix. 
Ainsi du « Collectif Ami Entends-tu ». Ce Collectif anti passe sanitaire de gauche et féministe dit en substance : En fait je suis vaccinée, mais je ne veux pas obliger les autres à se vacciner, si tel n’est pas leur choix, en fait. 

Hier elles auraient pu dire : « Je prends la Pilule mais je ne veux pas enfermer les malheureuses mères poules arriérées dans des poulaillers. » 
 Parce que, voyez vous, Pilule et Piqûre ont beaucoup de ressemblances. 
D’abord elles relèvent toutes les deux du « penser abstrait ». 
La Pilule était LA Contraception. Le shoot génique est LA Vaccination. 
Ainsi la plupart des gens disputent sur pour ou contre LA Vaccination. 
 Être contre la Pilule était être réputé être contre « la Contraception », en soi, donc ennemi de « la liberté sexuelle de la Fâme ». 
Être contre la piqûre ADN serait être contre« la Vaccination », donc ennemi de la santé des autres. 

Il ne s’agit pas ça, mais de comprendre ce qu’on fourgue à travers la peau ! Comme hier, personne ne cherchait à savoir ce qu’était réellement cette Pilule idéale. 
 La Pilule remplace le cycle naturel de la femme par un cycle artificiel. Le cycle naturel des femmes, était en écho intime avec le cycle cosmique, celui de la lune. « Elle a ses Lunes », disait-on jadis, d’une femme indisposée. 
Puis le produit chimique impose son cycle artificiel à la femme ainsi tombée sous la nouvelle loi. Le produit empêche les ovaires de libérer des ovules, et les hormones endogènes superflues sont évacuées dans les urines. 
Avec des résultats que l’on ne sait pas. cf Fragrans feminae 

 Idem pour le Shoot génique qui inocule on ne sait quelles substances, « ARN messager, protéine Spike » que sous le nom de vaccin, nous font injecter des gens qui a priori, à première vue, pourraient jouer les pervers narcissiques serial-killer dans les séries TV bas de gamme. 
Le produit ainsi injecté trafique avec les lots de chromosomes du sujet dans le but de remplacer son immunité naturelle par une artificielle. Comme la pilule. 

 Pourtant, le représentant de Moderna admet que la pseudo "vaccination" n’en est pas une, mais une gigantesque expérimentation in vivo. 
D’autres agités de la Seringue expliquent un peu partout que le « variant » incriminé est précisément celui qui n’est pas combattu efficacement par la « vaccination ». 

 L’obligation pour tous de recevoir le shoot génique, excepté pour les FDO est le détail qui tue ! En effet, si ces injections à l’ARN étranger étaient vraiment vaccinales, donc bienfaisantes pour la santé, on obligerait les FDO à les recevoir, pour les garder en bonne forme.
 Le contraire est l’indice qui révèle à ceux qui manquaient de l’Odorat suffisant, la nature de ce pouvoir qui répand une telle odeur de sanitaire bouché. 
La perspicacité, la clairvoyance, la conscience politique sont dans l’histoire l’équivalent de l’Odorat dans la nature. 
Un tel pouvoir ennemi du peuple a besoin de brutes solides et bien nourries, pas de loques drogués incapables de se traîner. 

 Heureusement le Maurassique parc se précipite en renfort des gouvernements en nommant cette politique d’abaissement de la santé publique, son piquage du peuple comme du bétail, de « progressisme ». 
Ce qui permet à la vraie gauche progressiste, genre SUD RAIL d’affirmer que « la vaccination générale à l’échelle mondiale est le meilleur moyen de stopper la pandémie ». 
Il faut un peu se mettre à leur place. Devoir chaque jour enlever les monceaux de cadavres qui jonchent les rails, du Nord au Sud, vous met un peu à l’Ouest. 
Cependant le syndicat de cheminots progressistes « refuse la contrainte et l’atteinte aux libertés » et « se positionne contre le pass sanitaire », qu’il juge « antisocial » et « discriminatoire ». 
Mais que répondront ils à ceux qui leur expliqueront que les non vaccinés, ces irresponsables jouisseurs indisciplinés mettent en danger la vie d’aux truies ? 
Ils finiront par acquiescer, au nom de la discipline prolétaire. 

 Une idée reçue est que le philosophe penserait abstraitement, ou plutôt qu’il penserait sur des abstractions, tandis que le vulgaire resterait stupidement rivé au concret.
 Les Bas-bleus ont souvent cette tournure d’esprit, elles méprisent le réparateur de leur machine à laver. 

Ceux qui ’"pensent abstrait", comme dit Hegel, non seulement ne s’attachent pas à la chose même, mais la faussent, et laissent échapper la réalité. 
 « Penser » quelque chose d’aussi essentiel qu’un vaccin, en tant qu’abstraction, n’est ce pas le dernier mot du fétichisme de la marchandise ?




dimanche 6 juin 2021

La métamorphose des cloportes

 Hier j’ai vu passer ce défilé de blattes, de punaises et de cancrelats qu’est une procession antifa.
L’un de ces cafards, fébrile, et déjà à moitié crevé, avait succombé accidentellement, ou plutôt, avait été victime du provocateur qui émarge à la préfecture de police et qui le poussait depuis longtemps à se mettre en avant dans toutes les rixes, dans l’espoir antifa de ce qui est advenu, au-delà des antirêves les plus antifous. 

 Après cet accident providentiel ( pour eux) les petits lâches antifas étaient allés pleurnicher sous la Robe malodorante et souillée de Madame la Justice, comme des chiots sous la Chienne de garde, pour être protégés des dissidents à biceps.  Et il est vrai qu’après de tels verdicts qui ressemblent davantage à des crises d’hystérie de mégères indisposées, les dissidents vont y regarder à deux fois avant de rendre les coups. 
( Dans la France où les Chances homicides quittent les prétoires en bénissant « votr’honneur » de sa miséricorde par Allah !)
 Et il y en a qui regimbent contre le règne du Big Pharma ! Qui regrettent ce monde d’avant ! 
 Vivent le Véreux et le Salomon ! Vivent les confinements et les couvre-feux ! Vivent les vaccins obligatoires et les piqûres de rappel à Dieu ! 
Que toute cette engeance cadavérique périsse ! Devienne enfin ce qu'elle est. 

 Hélas nous seront les dommages collatéraux de cette justice immanente, mais derrière l’infinie corruption des hommes de mains sales, se tient l'infinie  nécessité de l’Esprit objectif.


samedi 22 mai 2021

Le Vent Paraclet

Allons mes enfants, de l’a-patrie, le jour de gloire n’est pas arrivé.
De toutes les Forces qui nous oppriment la French Army sous commandement de l’OTAN est la plus fondamentale, car elle est la surface de sustentation sur laquelle se projettent les autres fonctions régaliennes, y prennent leur assise, leur puissance et le sentiment de leur puissance.
Que serait, par exemple, le pouvoir réel de cette Mégère indisposée, qu’on appelle « La Justice » par antiphrase, sans la poigne de la Gendarmerie ?
Quelle force réelle possède le grouillement de cancrelats de Cabinets dans leurs petits costards étriqués, pour imposer leurs décisions nuisibles de cloportes, de rouler à 30km/h et de mettre des radars partout, si ce n’est cellede la Gendarmerie ?

Les Gilets Jaunes, en dernière analyse, sont des gens qui ont perdu l’illusion suprême que l’Etat était au service du peuple. Si la masse bovine les avait suivi la simple police n’aurait pas suffit. Les tanks, l’aviation c’est quand même autre chose ! Regardez nos amis israéliens, qui subissent une énième agression antisémite du Hamas, que deviendrait ils sans leur armée ?

La French NATO Army reste donc le dernier recours de messieurs les banquiers, les pharmaciens et les grands fournisseurs d’accès aux déduits impubères qui vibrent de leurs sex-toy roses.
Notre monde est réel, ce qui veut dire pas du tout rationnel, mais brutal et injuste, et sans autre raison d’être que le Bon plaisir de quelques uns que l’on nomme "Puissants" parce que derrière eux se tient la Giga Force des armées technologiques modernes.

La propriété privée qu’est-ce en dernière analyse, sinon un rapport entre les hommes légitimé dans le Droit, et qui ne tient que par la Force. C’est par l’existence d’une Force physique organisée que tout tient ! La propriété, le droit, la morale.
Tant que Madame France Télévision règne, mesdames et messieurs du Famas restent peu présents dans le sinistre spectacle sanitaire, mais ça ne durera pas, au train où ils vont, et à la destination qu’ils ont choisi. D’ailleurs tout y pue déjà de la caserne : Couvre-feu, passeport intérieur, arrêt domiciliaire...

Imaginons que demain de vrais révolutionnaires naissent, malgré la vaccination et l’obscuration racisée. Naissent sans gilets fluos, mais avec une conscience lumineuse à la place.
Qu’ils découvrent comme Jason le point faible du Titan Talos Numérique. Que ce point faible du géant numérique totalitaire c’est précisément d’être totalement numérique, informatisé jusque dans le moindre détail. Seuls ceux qui ont l’esprit guerrier me comprendront...
Contre ce Jason et ces nouveaux argonautes, il n’y aura d’autre recours, que l’Armée, l’instrument discipliné des classes dirigeantes.
Comme hier, à Barcelone, Orwell et ses camarades avaient compris l’importance vitale de la prise du Central téléphonique, que l’Armée "républicaine" leur a repris.
À propos d’Orwell et de ses camarades, ils ne disaient pas pour désigner leurs ennemis, les « fachos », mais « los Moros », les Maures. Les « hordes d’Arabes pouilleux » de Franco, ainsi que Bernanos les a nommé dans Les grands cimetières sous la lune.

Or donc, j’en étais là de mes ruminations, l’autre nuit, dans les Landes, sous un ciel sans lune, quand soudain, un orage extraordinaire éclata accompagné d’une furieuse rafale qui fit bruisser sauvagement les arbres. Dans ce grand vent qui s’emparait de mes sens, il y avait un autre Vent qui me ravit en esprit. Et parmi les éclairs silencieux et éblouissants il y eût aussi comme un feu qui sortit, me traversa je ne puis dire autre chose.
Ce Vent Paraclet, comme s’il avait su mes pensées, en souffla les scories comme vile poussière, et m’insuffla la Vérité. J’ai su que cela m’était donné pour être révélé. J’ai tardé car je n’aspire plus qu’au silence et à l’oubli du monde.
Voici :

Le projet réel, auquel les différentes tribunes de généraux préparent, est le contraire de ce qu’ils disent vouloir. Il consiste à tirer de l’armée de réserve immigrée une cinquième colonne opérationnelle.
Pour ce faire l’Armée va devoir intervenir physiquement, donc visiblement, dans les banlieues. La violence de l’intervention laissera croire qu’on nettoie ces banlieues des trafics, mais en réalité ces derniers seront réorganisés, sa pègre purgée, militarisée, pour en faire une variété de French Daesh opérationnel, entraîné, prêt à marcher pour le capital. C’est ainsi que le Daech est née, vêtu de pied en cap et armé jusqu’aux dents par l’OTAN, Israël et les Zémirats ( ou l’Arabie)
En Ex-France, depuis des dizaines d’année l’impérialisme yankee forme ses Young Leaders préférentiellement parmi les « élites » des banlieues. Maintenant on va y forger un commandement militaire.
Réduire les mafias, les faire servir à ses desseins, est un truc classique de la dictature militaire.
Or donc, convenablement encadrées ces légions de combattants contre le Feminicide formeront le fer de lance de l’extermination physique des Males Blancs souchiens, déjà exigée à hauts cris par les indigènes racisées et les vieilles peaux de la fRANCE indisposée soumise aux dictats de ce pouvoir maudit qu’on ne saurait nommer.
Ces tribunes pseudo-patriotiques d’officiers sous commandement de l’impérialisme américain, visent à préparer l’opinion à cette intervention militaire sous faux objectif.

Monsieur Zemmour, qui est à moitié au courant, semble-t-il, dit que c’est « l’Opération Ronce ». Si tel est son nom, elle a déjà piqué aux vifs ces dames actuelles, qui en sont toutes démangées. Le côté comique, car cette histoire est aussi une Farce, c’est qu’après la Réconciliation Islamo-gauchiste effective, au NPA, au PCF et chez le Sénateur Mélenchon, une autre Réconciliation se prépare entre les Morues pseudo-identitaires et Los Moros islamo-militaires.
J’ai toujours trouvé dérisoire cette idée du Zemmour et des deux autres Frisés qui prendraient la tête de Légions National-Sionistes. Car une guerre civile c’est toujours risquée, imprévisible, l’issue toujours incertaine, dans le feu d’autres capitaines pourraient surgir comme un orage d’acier dans un ciel serein.

Ce qu’ils veulent est bien plus noir que la guerre civile, c’est aller jusqu’au fond de la Nuit.

Malgré toute l’aide apportée par ceux qui nomment Micron (son pouvoir, ce qu’il symbolise), progressiste, car les Simples, le peuple, aiment le progrès, n’y voient pas malice et se méfient naturellement de ceux qui le dénoncent ; malgré, disions nous, ce renfort idéologique de la droitaille cacochyme, il se pourrait que les Simples cessassent un jour d’écouter les demi-habiles et entendissent enfin les spirituels. ( Inutile de commenter, je vais y revenir dans un prochain billet ad hoc.)
L’OTAN envisage, comme certains gauchistes, qui eux font semblant d’y croire, cette possibilité, que ce point de rupture pourrait arriver. Alors on va lever des troupes dans la grisaille monochrome des populations retardataires des trafics et des négoces. Et la vraie destination, la cause finale de l’Immigration paraîtra dans son aveuglante lumière.

Comme celle de l’incendie de Notre-Dame, trop aveuglante pour la multitude insipide des fidèles. Ce Feu nano-thermique était aussi un test pour mesurer le degré d’extinction de l’Esprit dans les gens de France et de son clergé.  A quel point ils sont existentiellement dupes, ignorent qu’ils sont entre les mains d’un Cadavre sous la volonté de puissance des servants de l’ORCUS.
Ce que veut pour la France ce pouvoir maudit qui nous muselle et nous inocule ses venins, est la Seconde Mort. Défunte déjà dans sa materia secunda, elle doit disparaître jusque dans sa substantia.
Telles sont les pensées soufflées dans le vent Paraclet.

jeudi 20 mai 2021

Palestine toujours

 


National sionisme, identitaire, Zemmour, pas Zemmour, sionisme, antisionisme,.... quelles conneries !
Il faut être plus simple.  Ou bien on est spontanément avec elle, on se sent comme elle, ou on souhaite qu'elle soit tuée cette voilée.
 

J'avais exprimé différemment la même idée ici. 

mardi 27 avril 2021

Réponse à l’appel de mille militaires

Il n'existe que trois êtres respectables: le prêtre, le guerrier, le poète. Savoir, tuer, créer.
 Baudelaire  




Aux généraux qui ont pondu 

 — Redirigez le feu de vos batteries 
 Vers « Davos le Crif et les autres Fratries » 
 Plutôt que vers les affidés de l’Alcoran 
Et autres abrutis délirants. 

 D’ailleurs, n’est ce point ces arabes et kabyles 
 Que vous transbahutâtes en Libye 
 Pour y lyncher du Kadhafi ? 
 Allah  Oukebar et téléphone mobile ! 

 Comme hier alliés de l’Islam de Bosnie 
Et des trafiquants d’Organes 
 Au cours des tueries Otanes 
Cette indicible vilenie ! 

 On peut porter un bel uniforme étoilé
 Avoir le nasal consciencieusement épilé 
 Et n'être qu'un pourvoyeur de cadavres empilés
Au Bataclan, comme à Raqqa ! 
On peut être Saint-Cyrien et anti Syrien, y’a qu’à 
Laisser la racaille faire du bon boulot 
 Au Bataclan comme à Raqqa
 On peut être le garant de l'Ordre et un salaud
En laissant foutre un tel bataclan 
 Qu'il faille un Etat d'Urgence pour le rétablir 
Puis une terreur sanitaire pour le tenir.  

 Car cette armée n’est plus de France 
 De par notre « Appartenance à l’OTAN 
 Et notre souveraineté perdue » ! 
 Autant en rapporte l’OTAN 
 A la Caste ivre de vin d’honneur perdu. 

 Ni de France ni même de stricte Virilité 
 Puisqu’il est de notoriété 
 Qu’on y recrute les damoiselles 
 Y apportant leurs mamelles 
 Leurs gros derrières et leurs menstrues 
 N’est ce point là choses congrues ? 

Mais enfin c’est dans le ton. 
Iront elles en Opé, pisser à croupetons ?
 N’est ce point du dernier comique, 
— Reviens ici que l’on te...passe 
Une nouvelle tunique. 

 Honni soit qui mal y pense, 
 Mais qui décide des couvre-feux, 
 N’est ce point ce Comité de défense,
Ce vrai pouvoir de boutefeux ?

 Et si ce pouvoir militaire 
Ne se voit pas davantage 
C’est parce que l’esclavage 
Est bougrement volontaire. 

 Moralité : 
 Merci au contre-amiral, au vice-amiral 
 De sauver l’Honneur mis à mal 
 Aux colonels-Air, aux colonels-Terre, 
 De sauver l’honneur séculaire.

  De grâce, joignez le Geste à la faconde 
Soyez le dernier-secours 
 De cette France moribonde 
 Nous autres, en jaune, on accourt !







samedi 27 mars 2021

Vaticinations sur la vaccination



Or donc, grâce à la Vaccination l’Effroyable Pandémie va tourner à l’Hécatombe. 
Partout les gens tomberont comme des mouches. Ça et là on verra des cadavres joncher les chaussées, enjambés par les Masques indifférents
Hélas les vivants s'habitueront très vite à l'omniprésence perpendiculaire des morts. 
Et puis on verra bientôt sortir les Rats ! Des conglomérats de rats. 
Sortir des égouts, des caves, pour venir éternuer, au dehors, et éclater leurs viscères empoisonnés qui vont gicler dans les landaus et les poussettes où pépient les bébés hébétés sous l’œil noir des Nounous décoloniales qui maugréent contre le Racisme.  

§. Nous aurons des masques protecteurs, des vaccins sains sans effets spéciaux, des médicaments gratuits, des respirateurs qui feront soupirer d’aise, des personnels de santé bien portant, des soignantes bien disposées, des hôpitaux ultra-chics avec des scanners aussi drôles que la Station Orbitale Internationale. On pourra faire les pitres à l’intérieur !
Demandez le programme des lendemains qui pansent ! 


 L’État Véreux qui t’inocule 
Le venin du Virus dans les veines 
Perpétuera la pandémie ! 
C’est cela seul qu’il spécule 
O rage, O servitude ennemie ! 

Et tu fais la queue, tel un veau
Pressé d’être une escalope
Lardée par un Esculape
D’inoculations, in vivo !



Texte à lire  ICI 





jeudi 25 février 2021

Faire-part de décès

Rien ne symbolise mieux l’ignominie de la dictature policière, travestie en sanitaire, que la destruction de Gibert Jeune.  Jeune, Gibert l’était aussi de ma propre jeunesse, un peu de moi-même meurt, j’ai hanté les librairies Gibert comme un esprit curieux hante un vieux manoir, et sa ruine définitive effiloche mon âme en lambeaux. 
Après l’incendie statocratique et nanothermique de Notre-Dame, la ruine provoquée de Gibert Jeune achève la hideuse métamorphose du Quartier Latin en un quartier...disons pas latin, pas catholique si vous voulez.  Gibert était un fleuron du Quartier, comme son monogramme de libraire au dos des livres. Le Boul-Mich déjà salement amoché par Saint-Germain des Prêt-à-porter est maintenant totalement anéanti par les bombardements amazoniens sous les commandements en ligne !

mardi 19 janvier 2021

Un changement d’époque

"Nous assistons à un changement d’époque. 1968 et ses atours libertaires étaient le maquillage vulgaire et trop chargé sur la face hideuse de la dictature du Capital post-1945.   Aujourd’hui le maquillage s’effrite. Sous nos yeux ébahis, c’est l’idéologie libérale-libertaire qui est en train d’être liquidée.
 Certains peuvent s’en réjouir. Reste à affronter ce qui vient."
de René Perriot.  Anguille sous roche (de Solutré).   Lire l'article complet 

La situation actuelle prouve l'impasse absolue du légalisme. La fraction du capital industriel américain n'est pas en mesure de remettre en marche le système. Notre situation est celle d'un organisme atteint d'un cancer qui le ronge, ce cancer c'est le capitalisme. 
 La démocratie politique, c'est à dire le régime parlementaire était condamnée à disparaître. Car il était entré en conflit avec le développement impérialiste, c'est à dire la domination du capital financier. C'est la force du prolétariat qui a contenu, freiné l'application de cette tendance, comme un traitement peut permettre une survie plus longue suite à une maladie mortelle. Mais la guérison n'est pas là.  

Du Grand Reset, je ne nie pas les informations données, car Coryza 19 marque bien ce qu'en terme internaute on nomme la réinitialisation du système. Mais Grand Reset n'est que la formulation de pantins qui fanfaronnent en offrant une expression très in, pour traduire la conséquence inéluctable du banco-centralisme absolu depuis la crise de 2007-2008. 
 Car ce « Great Reset » n'est pas le résultat de la volonté narcissique de ces quelques pignoufs, mais la nécessaire mise à jour du système capitaliste. 
Trump est nationaliste et milliardaire, mais milliardaire d'abord. Certes il voudrait rester au pouvoir ne serait ce que pour défendre son propre empire économique. Mais il ne peut pas prendre la tête d'un soulèvement populaire, ce n'est pas par manque de qualités personnelles, mais parce que le coup d'état va beaucoup plus loin que le cadre légal dans lequel seulement Trump pourrait résister. Il aurait pu, lui aussi, aller plus loin, mais légalement, et seulement légalement, la mobilisation populaire étant uniquement conçue comme force d'appoint.
 Mais devant la violence inouïe du pouvoir réel qui rejette d'un revers méprisant toutes les preuves amassées de la gigantesque fraude, il est évident qu'un milliardaire ne saurait prendre la tête d'une révolution populaire. 
La destruction du système capitaliste est aussi nécessaire que l'éradication de la tumeur et de ses métastases pour un organisme cancéreux. 
Humaniser le capitalisme ? Le rajeunir ? Le gauchiste le voit comme un gros gâteau à partager, le droiteux comme un tissus organique qui peut être soigné, rajeuni. Le capital n'est pas le corps malade, c'est le cancer. On ne soigne pas un cancéreux en rajeunissant son cancer.
Du point de vue du Capital, ce qui advient aujourd'hui n'est que la nécessité. 




samedi 2 janvier 2021

Le Talon-aiguille de fer




Nous sommes entrés depuis mars vingt-vingt dans une dictature militaire effective sous couvert d’une terreur sanitaire fictive. Sa brutalité a été, et restera, proportionnelle au degré de soumission des peuples. 
D’où l’exemption suédoise de l’incarcération domiciliaire et du couvre feu. Dans ces contrées glaçantes le féminisme atteint des cimes. En ex-France nous sommes de tout-petits enfants à la mamelle près nos grandes sœurs suédoises. Dans les « jardins d’enfant » ( nom des écoles maternelles suédoises) les petits mâles apprennent à pisser assis comme les filles. Personne n’en parle mais c’est la vérité et la Loi. Bien avant les facéties grippales, des “Bourgmestresses” féministes organisaient certains soirs un strict couvre-feu à l’encontre de la partie mâle de la population, afin que les fâmes puissent enfin déambuler tranquilles ! Les messieurs acquiesçaient avec élégance. 
Le parti islamo-féministe NPA avait tenté d’importer ces moeurs évolués en Ex-France : « Le jour je me rase les jambes la nuit je rase les murs » lisait on sur leurs pancartes. 
Il existe un délit très grave en Suède, passible de prison : le « sexe par surprise » ou le« sexe inattendu ». Chaque jour, vingt femmes, en moyenne, viennent déposer plainte pour « sexe par surprise », à l’encontre de leurs maris ou amants qui les auraient connues dans leur sommeil. C’était le chef d’accusation véritable à l’encontre de Julien Assanges, que le Merdia menteur a traduit par Viol. 
Tel est le petit secret de l’exemption suédoise des joyeusetés sanitaires. Une population aussi soumise n’a pas besoin de goûter aux arrêts domiciliaires et à la muselière,car elle n’a point démérité. 

 Si la Terreur sanitaire est mondiale ses déclinaisons répressives sont laissées à l’appréciation des différents gouvernements . Si nous devions donner une définition précise de ce terrorisme d’état nous dirons que c’est une dictature militaire réelle sous couvert d’une terreur sanitaire fictive proportionnelle au degré de soumission antérieure des peuples. Évidemment la définition n’a pas l’éclat ni la brièveté sonore de l’expression communisme 2.0, mais elle est beaucoup plus vraie. 

§. Tous les gens à I Phone qui me disent avec un fin sourire « c’est Big Brother » me portent sur les nerfs, car premièrement ce n’est pas le cas, et deuxièmement ils ont un I phone. 

Tant qu’à relier ce qui nous tombe dessus avec une œuvre littéraire, je préfère le Talon de Fer de Jack London. Orwell pensait que la forme du régime totalitaire russe était viable et préfigurait l’avenir du genre humain. En cela la réalité l’a démenti durement par la facilité avec laquelle ce régime est allé à la fosse par les bons soins des nomenclaturistes eux mêmes. 
Cela n’ôte rien au génie d’Orwell. Big Brother restera la figure métaphorique intemporelle du régime policier, de la nov langue, de la société de la surveillance, ainsi que de la réduction des libertés. C’est une figure éternelle de cauchemar.  « La liberté c’est l’esclavage » ou « l’ignorance c’est la force », autant de vérités qui ne datent pas de mars 2020. 

 Autrement réaliste, énergique, irrécupérable, et visionnaire, est le Talon de Fer de Jack London. Je ne cherche pas à opposer les 2 génies, le communiste déçu et le nietzschéen, mais à penser le néo-fascisme en marche. 
Avec London impossible d’oublier que ce sont les multinationales qui saisissent l’ensemble du corps vivant dans leurs tenailles de fer. Cela possède un contenu économique, politique, social très précis et différent d’un Totalitarisme de cauchemar. 
 D’abord il y a similitude de situation. Car s’il faut relier le fascisme sanitaire actuel à un autre moment de l’histoire, c’est bien l’entrée en guerre de 1914. On est passé brutalement des bals musettes de la Belle époque dans les Boucheries du Chemin des Dames. 
Ce qui me dégoûte dans communisme 2.0, c’est leur absolution de la Grande Guerre comme cause matérielle dans l’apparition du monde moderne ! Et leur dénonciation de la dureté implacable des bolchevicks comme si elle tombait du ciel sur monde aimable et ordonné. 
Car c’est dans ce creuset de feu, de fer et de sang que jaillit la nouvelle période de guerres et de révolutions. 
Le Talon de Fer décrit le passage d’un état du système dans un autre. Le passage d’un état du capitalisme industriel, entrepreneurial et libéral, en celui monopoliste, fasciste et financier de l’impérialisme. 
Pour nous, la métamorphose dernière d’une société du libre va et vient en une société carcérale restera inintelligible à celui qui ne verrait que la rapidité et la brutalité de son installation. C’est le même phénomène de mutation qualitative qui paraît brutalement après des décennies de changements quantitatifs. 
L’impérialisme a épuisé tout son carburant. Après avoir démantelé les Etats Nations il détruit maintenant la démocratie politique ( qui n’est pas la démocratie sociale), et apprend la nouvelle musique militaire aux peuples. Et pour détruire complétement la démocratie, il faut détruire aussi son fondement, la classe moyenne, qui est la base nécessaire à la démocratie politique. 

 Par sa mue informatique, le capital a pu retrouver une deuxième peau, mais c’est la peau d’un Serpent venimeux : le GAFAM. Ce post capitalisme numérique porte le fascisme comme la nuée porte l’orage pour paraphraser Jaurés. Il a débuté par l’adhésion généralisée de la masse aux techniques informatiques. Quoi de plus contraignant, de plus servile, que d’être connecté. Tous devinrent des cabines téléphoniques ambulantes, autant de neurones d’un cerveau collectif, des connards hyperconnectés. Ce fut l’asservissement le plus consensuel et le plus grotesque, la renonciation à l’EN-SOI par des ego narcissiques !
 La consommation n’a plus eu qu’ UN seul fétiche : l’IPHONE. Et ce sont tous les possesseurs d’ I Phone qui vitupèrent « la société de consommation ». 

 Quand à Big Pharma confronté à la baisse tendancielle du taux de profit de la vente des médicaments, il est devenu le giga-dealer de drogue planétaire, et crée un marché captif de gens accros, rendus malades ou terrorisés par ses soins, pour fourguer ses poisons. 

 §.  Notre Mare nostrum mondiale est une thalassocratie dans laquelle dominent de très gros requins, les multinationales. Les plus gros sont Big Poison et le Gaffe numérique comme nous venons de le dire. Dans les fonds marins, il y a toutes sortes de territoires séparés par des bancs de coraux et des frontières d’algue. 
Les Requins se rient de ces barrages comme ils se rient de leurs deux adversaires maritimes. 
Les petits poissons rouges qui aspirent au Bocal, qui exigent des requins qu’ils respectent la température globale de la Mare, ainsi que le droit des morues. 
À l’autre bord, les écrevisses qui avancent en arrière et à droite, prétendent dompter les requins et les faire servir la cause des Crustacés. Carapace dure, chair molle. 

 §. J’ai l’intuition que la résistance incarnée par Trump a été brisée avec une facilité inimaginable. Si je me trompe tant mieux ! Je reviendrais alors à de meilleurs sentiments envers ces bons crustacés, et je garderai mes réserves pour moi, selon la recommandation de Pascal de conserver une pensée de derrière, en acquiesçant aux propos des demi-débiles. Ce qui me navrerait, si j'étais encore accessible à ce sentiment, c'est que j'aie pu être amené à frayer avec ces gens là. 
Or donc,  chez Trump la fraude gigantesque au vu et au su de tous, n’est pas une simple fraude  mais un coup d’état.  Avec la défaite de Trump c’est la possibilité d’un retournement politique basé sur le vieux capitalisme libéral qui s’effondre. L’alliance avec d’autres requins, et même quelques baleines, qui s'engloutit dans les abysses. Ne reste que l’utopie de la révolution mondiale. Je partage sur ce point le pessimisme d’Orwell. 

§.  En vérité je discerne bien une issue autre que l(utopie ou servitude, mais elle est une porte étroite. Elle ouvre sur une altitude à laquelle certains pourraient atteindre. Mais elle exige trois vertus. La Science, la Violence, et l'Elégance du désespoir. 
La violence sans la science mènerait à l’échec aussi sûrement que la science sans la violence n’est qu’une vaine chimère. La violence sans le désespoir revient à la bestialité de la foule croyante, qui croit et croît, qui croasse et grouille : elle est faite pour la servitude. La volonté d’immigration en Europe n’a pas d’autre cause. 
 La radicalité communarde est strictement aryenne. Telle est la Vérité qui humilie les vieilles doctrines. Des paleo-fascistes voudraient bien de l’aryanisme mais sans la radicalité, et des révolutionnaires de TF1 prétendent à la radicalité mais militent contre son support organique, en s’appuyant sur la populace de perdition. Comme les Biden et toute la Clique. 

Nous ne voulons ni de Vichy, ni de Versailles, ni d’Hidalgo-City. Ni du provincialisme bien-pensant ni de l’ordure parisienne. Ni droite ni gauche, la France. Mais pas celle de Pétain et des crevures de la guerre de 14, qui a ouvert le Chemin des Dames et la suprématie des gangsters américains. 
La France désormais est intérieure. Elle est une subjectivité. 
 Périssent les covidés et les covideurs!