L'effroyable tumeur qui gangrène tous les organes palpitants du corps social porte un nom : le suffrage universel.
En pleine pandémie mondiale de suppression de liberté, d’assignation à résidence puis de liberté surveillée par une police omniprésente, certains osent déjà parler à mots couverts, sous le masque, de l'Isoloir comme d'une échappée belle hors de la servitude volontaire ! Dans ce sinistre carnaval de la servitude consentie les masques n'ont plus même le pouvoir de dissimuler l'obscénité des traits repoussants de trivialité, et les gestes barrières n'arrêtent que la progression de la conscience.
Le tsunami de totalitarisme qui monte et menace de tout emporter, tout ce qui restait de libertés ( Egalité et Fraternité étaient déjà, depuis longtemps lettres mortes) ne devrait laisser debout que ce simulacre de liberté, celui de se choisir à date fixe un nouveau maître.
Une trinité d'assassins engendra l'unicité du macrocosme. On ne voit plus sur la video VHC de basse qualité les traces virales de son ascension, il faudrait la regarder en haute définition, ce n'est pas donné à tous.
Un bataclan où l'on recueillait des fonds pour les soldats de Tsahal, fut le lieu idéal pour faire du boudin de goys, et les futurs masqués ont communié de cette viande en dansant dans le sang de leurs frères immolés.
Honte à eux. Ne parlez pas d'ignorance, l'Ignorance est sainte, parlez d'absence de force, l'intelligence est la force, la seule vraie. Qui ne l'a, doit porter le masque infamant.
Ne parlons pas d'ignorance mais de crétinisme. Le crétinisme est inhérent à la médiocrité. La médiocrité est la nécessité de l'Ordre. Son essence est le rien. Pour paraître il faut qu'elle se divise, car tout émane d'elle, et tout doit y retourner. Elle est la deuxième loi de la thermodynamique intracrânienne, la représentation mentale du processus de néantisation de l'Abîme s'annihilant.
Elle est l'uniformisation et le désordre croissant.
La solidification du monde a besoin du désordre pour se proposer comme ordre, comme uniformisation. Tout ordre qui se pose comme uniformisation est la forme achevé du crétinisme.
Charlie fut le prélude comique de la danse macabre du Bataclan, quant à la pyrotechnie de Notre-Dame, elle a été la torche annonciatrice de la prophylaxie terroriste.
La flèche de la cathédrale témoignait d'un antique mental collectif vers la transcendance, relié religieusement (religare), et dialectiquement, avec les cryptes et les ténèbres des régions infernales.
Il a fallu la réduire en cendre pour enfermer les gueux dans leurs chaumières avec antennes paraboliques, reliées aux nouvelles ténèbres, non plus celle des cryptes et des catacombes, mais celles des voies physiologiques les plus impures. Nous sommes passés officiellement (sinon ça fait déjà une paye) du catholicisme à l'enculisme.
Ces nouvelles ténèbres, car nous sommes dans un nouvel âge des ténèbres, la Tradition nomme notre âge l'Âge sombre, sont celles du cloaque lépreux en lequel s'agitent tous les ultimes virus colo-électoraux. Le nôtre naquit dans le charnier militaire fomenté par le bas catalan, macrovirus couronné sorti tout vibrionnant de cette orgie d'assassinats perpétrée de sang froid par le monstre froid.
La solidification du monde a besoin du désordre pour se proposer comme ordre, comme uniformisation. Tout ordre qui se pose comme uniformisation est la forme achevé du crétinisme.
Charlie fut le prélude comique de la danse macabre du Bataclan, quant à la pyrotechnie de Notre-Dame, elle a été la torche annonciatrice de la prophylaxie terroriste.
La flèche de la cathédrale témoignait d'un antique mental collectif vers la transcendance, relié religieusement (religare), et dialectiquement, avec les cryptes et les ténèbres des régions infernales.
Il a fallu la réduire en cendre pour enfermer les gueux dans leurs chaumières avec antennes paraboliques, reliées aux nouvelles ténèbres, non plus celle des cryptes et des catacombes, mais celles des voies physiologiques les plus impures. Nous sommes passés officiellement (sinon ça fait déjà une paye) du catholicisme à l'enculisme.
Ces nouvelles ténèbres, car nous sommes dans un nouvel âge des ténèbres, la Tradition nomme notre âge l'Âge sombre, sont celles du cloaque lépreux en lequel s'agitent tous les ultimes virus colo-électoraux. Le nôtre naquit dans le charnier militaire fomenté par le bas catalan, macrovirus couronné sorti tout vibrionnant de cette orgie d'assassinats perpétrée de sang froid par le monstre froid.
Nous avons ainsi eu notre Onze-neuf, mais en 2 temps. Les exterminés du catalan ensuite la nano et la thermite des poutres.
Moderne/Post moderne
Le Moderne a soufflé les cierges de la religion au nom des Lumières
Le post-moderne a éteint toutes les lumières.
Le Moderne a raillé l'habit noir du prêtre, le rougeoiement des bûchers, la très profonde obscurité scolastique, ainsi que la noirceur de l'abîme de l'Enfer imaginaire.
Le post moderne a promu le rouge des avortements, les ténèbres organiques du rectum et de la matrice stérile, le vide de l'enfer sanitaire.
Le Moderne a opposé à l'idéalisme philosophique, le matérialisme athée.
Le Post moderne rétablit l'idéalisme subjectif, le féminisme, qui fait de la Réalité une Représentation mentale, et de la Femme une divinité.
Le moderne a vidé l'eau de Lourdes dans l'eau lourde des centrales atomiques. Le Post moderne rétablit l'idéalisme subjectif, le féminisme, qui fait de la Réalité une Représentation mentale, et de la Femme une divinité.
le post moderne a remplace l’énergie atomique par l'éolienne qui ne brasse que du vent.
Le moderne a fait de l'Âme une illusion, le Post moderne a fait de l'illusion son âme.
Le moderne a voulu remplacer la Charité par la Justice.
Le postmoderne a remplacé la justice par l'injustice institutionnalisée, l'appareil génital féminin judiciaire.
Le postmoderne a remplacé la justice par l'injustice institutionnalisée, l'appareil génital féminin judiciaire.
Le Moderne a supprimé la Vérité révélée au nom de l'Esprit critique;
Le postmoderne a tué tout esprit de critique, rabaissé comme complotisme et conspirationniste.
Hier les révolutionnaires raillaient la vision policière de l'histoire, aujourd'hui les policiers aveugles raillent les clairvoyants.
La thèse de l'opposition moderne /post moderne, que le post moderne est radicalement anti-moderne, qu'il nous faut revenir dialectiquement à une nouvelle insolence moderne, cette thèse fait le fonds, le cœur, la seule originalité de mon Voltaire antisémite. Il est clair pour ma part, que nous avons à nouveau besoin des torches de la raison et non pas du clair-obscur jésuite.
Bal masqué
Le peuple doit être masqué quand l'Etat a tombé le masque.
Pendant quelques mois le peuple s'est mis en jaune, la couleur des cocus, pour la raison que l'unique solution devint celle des armes, et qu'il est résolument désarmé.Du jaune cocu au blanc cadavérique, l'enculisme a transmis son SIDA.
Assigné dans les Landes, devant le littoral barbelé, je songeais que sur la case nouvelle du haut landais qui avait pris notre cavalier, la drag-queen nous avait mit mat.
Au départ, il y eût cette révélation océanique de l'interdiction du littoral, de la privation de la plage, de la liberté, de la santé, de l'éloignement contraint d'avec la respiration cosmique de la mer, par un microscopique microbe.
Cette mesure infecte constitua pour moi la preuve radicale de la pure malveillance du pouvoir.
Ce que l'on aurait vu, immanquablement, dans les âges anciens, avec des peuples homogènes, passé un temps de prostration, dû à la stupeur et à la crainte, on aurait vu les gens sortir, tomber les masques, s'étreindre les uns et les autres dans la rue, FRÈRES ! , et marcher ensemble sus au pouvoir maudit !
Aujourd'hui je suis rentré à Paris. Je porte mon masque de chirurgien et fais barrière à mes gestes sans effort, puisque le seul geste qui aurait un sens serait l'homicide, englobant le féminicide, en tant qu'il devrait être considéré esthétiquement, comme l'un des beaux arts.
Jamais je ne me serais senti aussi libre intérieurement quand tout à l'extérieur est devenu si irrespirable.
Jamais je ne me serais senti aussi libre intérieurement quand tout à l'extérieur est devenu si irrespirable.