Tous, nous sommes au courant des palinodies judiciaires récentes avec Monsieur Delanoë, qui vient d’envoyer
Hervé Ryssen sous les verrous, et tente de ruiner
Alain Soral et notre association sous des prétextes fallacieux. À cette occasion il sera bon de regarder d’un peu près la politique réelle du Maire de la capitale.
Homme de Gauche, il ne se contente pas de faire éventrer Paris et de saigner le contribuable pour ses grands travaux somptuaires, dont nous savons de source judiciaire sûre qu’il ne retire aucun enrichissement personnel. Il le fait pour la Gloire (et l’appauvrissement personnel du contribuable). Il se fait aussi un point d’honneur de Gauchir, de féminiser, de judaïser, à tout va, sites & voies. Places, rues, routes, canaux, pistes, passages, sentes et sentiers, ponts, esplanades et parvis, impasses et jardins, tout y passe. Tout est rebaptisé, tout est défrancisé, comme cette partie de l'avenue de France rebaptisée au sécateur avenue Mendès-France, tout est renommé, ainsi va la renommée de Monsieur Delanoë.
En tant que Maire de Paris, Monsieur Delanoë a une voix prépondérante pour ce qui concerne les choix de
l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP). Les décisions de l’AP-HP doivent être votées ensuite par le conseil municipal de Paris. Qu’a fait Monsieur Delanoë pour empêcher la récente fermeture du service d’urgences du plus vieil hôpital de Paris,
L’Hôtel Dieu ? Rien. Pourtant, les services d’Urgence de l’Hôtel Dieu accueillaient plus de 40 000 patients par an !
Cependant, le fer de Lance de cette fermeture a été Jean Marie le Guen, Maire-adjoint de Monsieur Delanoë, en charge de la Santé publique et des relations avec l’AP-HP, dont il a présidé le Conseil d’Administration de juin 2008 à juin 2010. Tel est le maître d’œuvre de la fermeture de l’Hôtel Dieu. Avec sa complice ministre
Touraine. Qui peut croire qu’une telle politique se fait sans l’aval du Maire de Paris ?
Depuis des années, même sous le gouvernement précédent, l'AP-HP a poursuivi le désossage systématique, délibéré, opiniâtre, des hôpitaux parisiens et de leurs équipes médicales.
L’AP-HP a d’ores et déjà commencé le démantèlement du Vieil, mais néanmoins ultra-moderne, Hôtel-Dieu par le transfert express des services, matériel et personnels vers les hôpitaux voisins.
Pourquoi tant de hâte ?
Parce que les directeurs et adjoints du Pôle Financier sont pressés de s’asseoir sur la Misère des siècles, dans ce luxueux Siège entouré des vieilles pierres qui datent de Saint-Louis. C’est ainsi que la Finance s’ennoblit.
En outre on est en train d’y établir aussi un « musée ». Car l’AP-HP souhaite faire de l’Hôtel-Dieu, en plus de ses propres locaux, un « Musée-Salle de Réception ». Toujours dans le luxe et l’apparat. Pour recevoir bientôt les Émirs du Qatar et le gratin des pornocrates, dans des coquetailles mondains où se négocieront civilement les tarifs de la Prostitution Haut de gamme que Madame Belkacem se gardera bien d’abolir. Sur des lieux où naguère gémissait les souffrants, où les urgentistes sauvaient des vies, des vits seront comblés par d’autres sévices.
Quant à nous, futurs malades ou accidentés par les chauffards pourvoyeurs de la cocaïne de ces messieurs-dames de l’ Hôtel Dieu-du-Libre-échange, qu’on aille crever plus loin ! A la périphérie, dans les hôpitaux d’Île France, en lesquels les services d’urgence sont déjà saturés (de 114% à 250% chiffres officiels dans cinq grands hôpitaux de Paris) !
Merci Monsieur le Maire, pour ne pas vous être opposé à cette destruction, de gauche, de l’hôpital public.
Monsieur le Maire inonde d’argent tout aussi public des assoces ne représentant qu’elles-mêmes. Ainsi quatre grignoteuses en mal de gigot à l’ail se verront offrir des dizaines de milliers d’euros à condition qu’elles proposent un concept victimaire idoine, genre “
union des lesbiennes tranchantes contre la transophobie dans la boucherie-charcuterie”. En réalité ces assoces de tarés, qui ne représentent nullement aucune cause homosexuelle quelconque, sont les corps francs de la Nouvelle Ingénierie capitaliste et eugéniste.
Or donc, Monsieur Delanoë se vante d’être un propagandiste acharné de la PMA-GPA. C’est à dire de la marchandisation de l’utérus. L’utérus de la simple «
porteuse », la bête de somme qui va servir à délivrer des basses-œuvres de la gestation et de la mise-bas, la néo-femelle viriloïde des couples de l’Hyper-classe parasite mondiale.
Ce marché potentiel existe, il doit être impérativement débloqué !
Et l’on notera, sombre ironie, que les clients génétiques seront essentiellement les couples
Hétéros de l’Hyper-classe de l’Empire, parfaitement eugénistes et racistes, qui veulent perpétuer leurs gènes élitistes, pour maintenir leur patrimoine en des mains racialement correctes.
La
Diversité et le métissage c’est bon pour les quartiers populaires ! Les nouveaux riches ne veulent plus adopter des rejetons
divers dans leurs nouveaux quartiers de noblesse.
Quant au bétail ’’porteur’’ de cette nouvelle bio-économie génésique, il sera bien sûr pris dans le cheptel des femmes pauvres, des classes appauvries artificiellement par la dictature bancaire.
Là, et seulement là, gît le secret véritable de la profanation du mariage monogamique dit
pour tous.
Cet activisme LGBT, au service des
Monsanto du Génie Génétique, ne saurait être qu’institutionnel. D’où sa haine du ’’populisme’’, du populaire qui résiste instinctivement à la mise en coupe réglée capitaliste de tous les aspects de la vie qui échappaient jusqu’alors encore à la logique mortifère de la marchandisation et de la rentabilité.
Ainsi ces appels LGBT hébétés à la violence lacrymogène de l’État du Génie du Gène, contre les nouvelles « classes dangereuses » et ses leaders populistes comme Alain Soral.
Les gros bataillons de ces activistes se recrutent dans l’abjecte nouvelle « petite bourgeoisie » des centre-villes, tellement « plus ouverte » et « sans préjugés homophobes », piétaille qui élit sans cesse l’Homme de Gauche Delanoë, et qui applaudit aux exploits des corps-francs Femen, nourris, logés, vêtus et dévêtus par le pouvoir d’État.
Toute contestation contre cet Ordre Nouveau du capital financier monopolistique est décriée par ses nervis comme «
fasciste », au mépris de ce qui saute aux yeux : les vrais fascistes ce sont eux. Certes un fascisme plus proche du Pinochet des Chicago boys, ultra-libéral en économie et sans visées impérialistes, que du
paléo-fascisme terrassé à Hambourg, Dresde et Hiroshima, socialisant et impérialiste.
Les étiquettes ne sont que les valeurs d’échange dans le marché de dupes des idéologies, mais leur valeurs d’usages, sont souvent tout à l’inverse.
L’Homme Riche, l’ex ami de Ben Ali, l'adjoint du bourreau de l’Hôpital Public, le propagandiste extrême de la PMA au service du
Lebensborn vaginocrate de l’Elite Off Shore, est le type le plus achevé du Fasciste du XXIe siècle.
Sans doute est-il aisé d’imputer à crime à Alain Soral et ceux qui lui ressemblent, des traits, agressivité politique, socialisme national, qui s’apparentent au Paléo-fascisme défunt.
Mais on pourrait tout aussi bien le dire du
Comité de Salut Public, ou de tous les régimes ou mouvements qui savaient que la fin de partie qui se joue ne sera pas
la fête, un voyage de noce, mais une lutte à mort contre l’appropriation capitaliste de la vie, dans ses plus ultimes et intimes tréfonds.
Politique mortifère de l’aliénation suprême, dont l’homme de gauche, Monsieur Delanoë, est la figure la plus emblématique.
félix niesche