jeudi 29 octobre 2009

Durand régle les rangs!

Hormis dans la cervelle frelatée de la dinde à tête de chamelle Cixous, la théorie complotiste et policière, c'est à dire la version officielle du 11 septembre, a perdu la partie !  A perdu idéologiquement la partie
Tout d'abord cet événement initiatique, est l'expression de la faillite et de l'agonie du système capitaliste putréfié. Ce régime ne tient que par la spéculation financière, les guerres ethniques, et les activités parasitaires comme le trafic de drogue et la pornographie. 

Pour favoriser le passage à la "guerre sans fin" promise par Bush, une pression formidable de l'impérialisme exaspéré s’exerçait depuis longtemps dans ce sens, il ne manquait qu'un prétexte.
Ce fut le 11/9 !  Qui légitima ainsi dans l'esprit des populations tétanisées la guerre de la "démocratie" contre le "terrorisme" .
Mais en fait, c’est d’un nouveau partage du monde, d’une reconfiguration des rapports mondiaux qu'il s'agit.
La haute banque, l'oligarchie militaro-industrielle, l'oligarchie ethnique du Cinéma et du Cul, font et défont les accords internationaux, commandent et déterminent toutes les coalitions d’appétits. Ils financent dans tous les pays des formations terroristes destinées à déstabiliser, détruire. Le Capital financier ne peut plus se prolonger que par la guerre.

Mais, le premier barrage, issu de la sidération collective des peuples transis par la violence du choc spectaculaire du 11 septembre, a rompu.
Homo-sapiens est sapiens-sapiens, on l'oublie trop vite. l'homme est une bestiole raisonnable, sans doute mais sa raison clopine derrière la réalité . Aussi les doutes sur la version officielle, finalement, viennent à leur moment. Dix ans à peu près pour que dans l’esprit de millions et de millions, les fumées et les nuages de poussières provoqués par l’effondrement des immeubles du World Trade Center se dissipent, on est dans les délais classiques.
Les délais légaux pour une arnaque à trois mille morts, c'est dix ans à peu près, pour trois millions, un siècle, pour six, le double, voyez vous ?

Maintenant l'heure de la domination cynique a sonné. L'ancienne, fardée et hypocrite a fait long feu. Ils s'en foutent désormais, de plus en plus qu'on comprenne ou pas.
Je tiens à dire pourtant que dès le 11 septembre 2001, devant cette litanie obscène, devant la Mamounia Hintermann de FR3 éructant sa haine stupéfaite, et devant l'eternel retour de ces images de pauvres palestiniens dansant, déjà montrés du doigt à l'instant même des attentats, dés le début, l'abbé Tymon de Quimonte s'est écrié:  "Tout cela pue ! les palestiniens vont faire les frais de cette chose... incroyable."
Tel est, tel qu'en lui même l'abbé Tymon de Quimonte.
Pour lui, la messe était dite.
D'ailleurs, n'est-ce pas, ce sont les Palestiniens qui firent les frais des attentats du WTC.  Détruire l'Irak de Saddam,était au premier chef priver la résistance palestienne de son plus puissant soutien, lui porter un coup fatal .

La tâche de l'heure est désormais de conduire gentiment, la critique sur une voie de garage. Ainsi deux représentants de la "contestation officielle", sont intronisés.
Guillaume Durand, en médiateur de la nouvelle doxa autorisée, vient donc de nous présenter publiquement, ces deux portes paroles des médiats, Kassovitch et Bigard, représentants légitimes de la contestation WTC.
L'ESSENTIEL, pour eux, Durang l'a répété comme un perroquet, c'est de ne pas aller jusqu'à au grand méchant Meyssan, et surtout, jamais au grand jamais! n'aller jusque là: cette vidéo mise en ligne par E&R.

En réalité de tels porte-paroles, qu'ils soient sincères ou pas, là n'est pas la question, ont juste une étape de retard.
L’étape où l’on s’interroge est dépassée.
La canaille des journalistes aux ordres avait présenté d'entrée de jeu toute recherche indépendante comme une infériorité mentale, la complotite aiguë, mais cette dernière étant désormais impossible à contenir, ils veulent la canaliser, détourner son cours impétueux.
Parce qu'après la démonstration de la flagrance des mensonges, des turqueries et des truqueries, il faudra bien répondre : A qui profite le crime ? A qui, précisément, le crime du 11 septembre 2001 a-t-il  profité le plus?
Guillaume Durant, à moins que ce ne soit Durand, à la fin de l'émission, a remis les autorisations signées, fixé la feuille de route, et surtout, balisé la voie : "on a le droit d'avoir des doutes", avec "son cœur", mais à une condition , ajouta-t-il : "il ne faut pas tomber dans l’antisémitisme!"
Mais Mon Dieu, pourquoi l'antisémitisme? Que vient foutre l'antisémitisme tout d'un coup dans ce débat ?
N'est ce pas dire, n'est ce pas désigner soi-même, qu'un des suspects présumé, qu'une certaine réponse, plausible, possible  "A qui donc le crime du 11 septembre 2001 profite-t-il,"  cette réponse là précisément, sera Achtung Verboten!
Que ce totem restera le Tabou.
Avec monsieur K. et le général Bigard, aucuns soucis à se faire.
félix le chat.

vendredi 23 octobre 2009

Gros-Jean comme devant

Ainsi donc, la pantomime au sujet de la nomination du squale Jean Sarkozy à la présidence de l'EPAD, vient de prendre fin, fauchant les herbettes folles sous les pieds fourchus des fofolles en herbes.
Ce coup de théâtre est une déconvenue pour ces intermittents du spectacle de la politique que sont les gauchistes, NPA et consort, sempiternellement en lutte contre la Monarchie, ce fâchisme couronné, contre le népotisme, les bananes dans les raies publiques, les bananiers dans le Fillon.
"Youpi!!" fait Philistine, "on a gagné, c'est clair!", mais au fond, un peu dépitée de devoir remiser au placard le costume de bouffonne, avec des clochettes, qu'elle avait confectionné pour la manif de cet aprés midi devant Beaubourg, forcément annulée: "Et le combat cessa faute de prétendants".
Enfin, faute de prétendants héreditaires seulement, parce que pour les autres, ceux de la gauche, pourrie, (je ne dis pas "la gauche-pourrie", je dis la "gauche", virgule, "pourrie"), et pourrie jusqu'à la moëlle, ils vont s'empresser de faire valoir leur droits démocratiques.
"Il est temps de tourner la page et de confier l'Epad à la personne la mieux qualifiée", vient de gueuler le gros sénateur Mélanchon, "le mieux qualifié", c'est-à-dire le maire de Nanterre, Patrick Jarry (PCF).

Le Grand Paris, pointe avancée du démantèlement de la République .
J'avais modestement tenté, dans un article, ICI, de prendre un peu de hauteur c'est à dire de repolitiser, car personnaliser la politique, c'est souvent dépolitiser les personnes, pour masquer les véritables enjeux. Et à mon sens cette comédie était prévue pour mieux faire avaler la pillule EPAD, pointe avancée de la loi sur «l’organisation territoriale de la France».

Loi avec laquelle se termine l’égalité en droits des citoyens, garantie dans l'ancienne république, à travers les communes. Finis aussi les départements et l’unité des institutions républicaines de l’Etat. Et, dans le sillage de cette explosion du pays, la destruction des services publics s’accélère à tous les niveaux. Une «France utile» et une «France inutile», avec des zones entières gérées par des conseils d’administration non élus, par des établissements (publics ou privés) à vocation industrielle et commerciale.
Les communes, les cantons et les départements seront réduits à une coquille vide: leurs compétences et leurs moyens financiers étant captés par les structures issues de l’intercommunalité forcée. Le saccage des promenades publiques, la bruine des canaux par les champs communaux supprimés, les vignes arrachées, la désorganisation, la gabegie, la mort.
Or la gauche, toute tendances confondues veut en être, les présidents de régions «de gauche» s’inscrivent pour cette tâche infâme, Bertrand Delanoë demande à participer à son élaboration, le maire PCF de Nanterre, je l'ai dit, se propose comme candidat.
D'ailleurs, n'ont-ils pas raison?
L'inspiration, puis la mis en place de l'intercommunalité, revient indubitablement à la gauche.
Préparée depuis les premiers gouvernements Mauroy (loi Deferre du 2 mars 1982), elle fut l'un des chevaux de bataille de la Voynet ministre (loi Voynet sur lʼaménagement du territoire), parachevée par le gouvernement Jospin, avec les fameux "pays", venant remplacer les nations.
Le président Sarkozy a juste décidé en 2008, d'accélérer sa mise en place, et pour ce faire, il a crée un groupe de travail présidé par M.Balladur, dans lequel participe le gros Mauroy.

Alors, celui qui est "gros-Jean comme devant" n'est pas celui qu'on pense:

On m’élit Roi, mon peuple m’aime;
Les diadèmes vont sur ma tête pleuvant:
Quelque accident fait-il que je rentre en moi-même ;
Je suis gros Jean comme devant.

En réalité le prince Jean-sans-Terre voit sa position renforcée, ne se retrouvant nullement comme "devant", du fait d'une "l'espérance déçue", mais au contraire, nimbé de prestige et d'une notoriété reconnue. Il n'a, cependant, rien lâché sur l'essentiel, puisqu'il il sera le prochain président du conseil général des Hauts-de-Seine en 2011.
Ce squale est bien plus habile qu'on ne pense.
Par contre les Gros-jean, qui ont été, qui seront, éternellement cocus , ce sont les braves gens, les petites gens qui suivent la Gauche. Lʼexemple de la Plaine Saint Denis est à cet égard emblématique. Présentée comme un «modèle» de lʼintercommunalité, d'ores et déjà la Taxe foncière: + 12,72 %, la Taxe dʼhabitation : + 15%, et cela seulement pour cette année.

Donc la Gauche, la chienne de garde, se roule par terre en remuant la queue et poussant des petits jappement de joie:
"C'est le système d'égocratie (sic) qui a subi sa première défaite" déclare Mélanchon.
Le gros chichon lippu, président PS du conseil régional d'Ile-de-France exulte.
Benoît Hamon, porte-parole du PS : "Le président de la République a reculé sous la pression de l'indignation populaire et d'une immense majorité des Français".
« C’est une grave erreur qu’ils étaient en train de commettre » enchaîne rigolard, le truand Emmanuelli.
Tu parles!
En réalité, un coup de maître de Nicolas Sarkozy coupant l’herbe sous le pied de la vindicte de l’opposition et de l’effervescence médiatique: fourvoyant dès le départ le débat, grâce à la complicité des laquais des médiats et des idiots utiles de gauche, la loi sur l'intercommunalité, cette défaite historique va passer tantôt, pour une victoire.
Sarkozy, père et fils, sont dans leur rôle. Ils font leur boulot, ils sont les représentants du capital financier.
Au lieu que les dirigeants du PS et du PCF affirment vouloir s’opposer à Sarkozy et à ses plans meurtriers alors qu'ils les servent ne font jamais que les servir!
Ce n'est certainement pas la volonté d'en découdre qui fait défaut dans le peuple, c'est un état-major digne d'estime.
Pourquoi ce gouvernement est-il toujours debout, et discrédité et minoritaire continue t-il à frapper durement?
Grâce à ce soutien indirect au gouvernement, à l'Union européenne, donc aux exigences des spéculateurs, que les partis, organistions syndicales, associations qui prétendent parler au nom des travailleurs, et qui ne sont que les laquais du capital. Ils le portent d'ailleurs, tous, sur leurs gueules.

Aujourd'hui par exemple c'est Bernard Thibaut le premier gendarme de la France des banques.
Avec les dirigeants du Parti communiste ou du Parti socialiste, il va participer aux "Etats généraux pour l’industrie" organisés par le Prézydent..
Etats généraux dans lesquels, je cite: "les ouvriers de France" sont conviés à définir avec « les chefs d’entreprise (…), les grands financiers » et l’État une « nouvelle politique industrielle » qui passe par un « nouveau pacte économique et social ».
C'est à dire un Pacte pour accompagner la destruction des emplois, la désindustrialisation programmée, l’effondrement du revenu des paysans, l’étranglement financier des hôpitaux...
Bernard Thibault, avait osé déclaré, tandis que 268 travailleurs, sur les 283 de chez Molex, étaient laissés sur le carreau : « Nous avons sauvé l’industrie mais pas l’emploi »!
Truqueur! Quelle industrie? Qu'est ce qu'une industrie sans travailleurs?
Nous avons sauvé les chiffres d'affaire, les coupons de rente, le taux de plus-value, en aidant à jeter les travailleurs à la porte comme des sous-chiens, voila ce qu'il aurait dû dire.
félix le chat

dimanche 18 octobre 2009

Ramatoullaye se mange un savon

Dans la foulée de mon article de vendredi, passons maintenant le témoin à l'autre beauté trempée dans l'encre du gouvernement de l'Afrance :
On lit dans l'AF-Pets, que Mâme Ramatoullaye vient de se "démarquer" (sic) des autres laquais du Gouvernement du Fouquet's à propos :
  - des glissements progressifs du plaisir Sodomite de l'ami du Popaul en ski de fond de culottes.
  - de la promo Bac-moins 12, du Squale Jean.

Dépêche de l'AFP :  "La secrétaire d'Etat aux sports, Rama Yade a souligné, à propos des polémiques sur les ambitions de Jean Sarkozy et sur les écrits de Frédéric Mitterrand, qu'il ne fallait pas donner à l'opinion le sentiment d'une coupure entre les élites et les petits".

Les petits vous remercient, Votre Altesse sublimissime.
Hé bé ! C'est qu'elle a dû salement se faire remonter le string, la Ramasse, d'être sortie ainsi, sans permission, de sa salle de sport, parce que sur la radio Europe 1, elle est arrivée, exaspérée, échevelée (plus exactement délainée) en vociférant : "je suis scandalisée", "tout proprement [ sic] par la dépêche de l'AFP ", qu'elle a qualifiée de " mensongère !!! ".
"Manifestement destiné à entretenir la polémiiiique, il [le texte de l'AFP] traduit une instrumentalisation pure et simple!!" criailla-t-elle.

Bien. Reprenons d'un peu plus haut.
-Madâme lA Ministre, si l'on peut être "tout proprement scandalisée", on n'est pas : "scandalisée tout proprement".  C'est proprement inapproprié.
À proprement parler, d'une manière exquise, "proprement scandalisé", c'est être scandalisé d'une manière expresse et particulière.
Au lieu que "scandalisée tout proprement", on dirait vous étiez scandalisée avec propreté, lavée avec grand soin avec du savon scandale.

Voyons d'ailleurs, si elle est aussi proprement adroite que cela.
"Il n'y a eu ni mensonge ni volonté d'entretenir la polémique.  L'AFP a cité des propos de Mme Yade" a déclaré le directeur de l'information de l'AFP, Philippe Massonnet.
Qui publie le verbatim de l'interview de Madame Zimet-Yade sur TV5. Le voici :
-Ramatoullaye Yade : "(...) Quant à cette affaire de Jean Sarkozy, ce n'est pas encore fait, l'élection a lieu le 4 décembre et ce sont les élus des Hauts-de-Seine qui portent la responsabilité de l'élire ou pas. Ils voteront en leur âme et conscience. Ce sont eux qui devront rendre compte devant leurs électeurs. C'est à eux de prendre leurs responsabilités devant cette situation".
-QUESTION : "Vous pensez que rendre compte devant les électeurs, ça veut dire qu'il peut y avoir des conséquences défavorables vis-à-vis des électeurs? "
-Ramatoullaye Yade: "On ne peut pas ignorer l'émotion que, au fond, une série de faits d'actualité ou de politique produisent sur l'opinion publique. L'affaire Polanski, et puis ensuite la polémique déclenchée sur les écrits de Frédéric Mitterrand interpellent quelque part dans l'opinion publique et moi je pense qu'il faut que nous soyons attentifs à cette opinion".
"Il ne faut ne pas donner le sentiment qu'il y ait une coupure entre les élites qui se protégeraient, pour lesquelles il y a une justice des puissants, et les petits, pour lesquels la justice est sévère
."

Il semblerait plutôt que l'AFP,  au contraire de ce que la Yade prétend, a tenté d'atténuer sa sortie du vestiaire à ce ramas tout laid.
Et de deux!
Félix le chat

samedi 17 octobre 2009

Un monologue du vagin

Rachida Dati c’est la politique dessous la ceinture! Le plus comique c'est qu'avec son profil de chamelle en train de vêler, elle se croit irrésistible.
Le 13 octobre, interrogée par Europe 1, elle prit son Tour de la Défense de Jean Sarkozy, qui serait, tenez vous bien, victime de discrimination de la part de l'opposition, (c'est à dire finalement par la vile populace), et même victime, elle le laisse supposer, d’antisémitisme!
Discriminé parce qu'élu dit elle; mais dans quel sens entend-elle l'élection?
La stupidité originelle, la solidarité entre membres du gouvernement du Fouquet's n'explique pas tout.

Or donc, chez Europe 1, grasse de maquillage, déguisée en grande bourgeoise, peinturlurée comme une vieille maquerelle ivre de respectabilité, dans un sabir inimitable, oubliant joyeusement les négations, elle vient de voler au secours du requin (pourquoi dauphin?) Jean.
Écoutez un peu cela:
"Moi je trouve que....ces polémiques sont indécentes...si vous zêtes pas né au bon endroit, vous zêtes suspect, donc vous zêtes pas légitime, parce que le procès qu'on fait à Jean Sarkozy, c'est un problème de légitimité, et pourquoi ne serait-il pas légitime? Pourquoi, parce qu'il s'appelle Sarkozy?, il est élu, c'est inacceptable, comme on a fait pendant des années des procès à des personnes qui n'habitaient pas à la bonne adresse, qui n'avaient pas forcément le bon patronyme, qui n'avaient pas forcément la bonne origine, pour certaine heu.. pour une heu... toute petite catégorie de la population; moi j'trouve ça choquant, ces procès en légitimité, la France c’est pas ça, et les Français l’ont bien compris, c'est que..heu.. faut arrêter...."

Oui, très certainement, Madââme, faudrait arrêter ça, la France, ni physiquement, ni spirituellement, c'est pas ça, mais alors pas ça du tout, et nous n'avons garde de l'oublier.
félix le chat.

jeudi 15 octobre 2009

L'épique EPAD, l'opaque EPIC.


La crapaudière politicienne et sa putain folliculaire n'en finissent pas de croasser sur la nomination de SAS le squale Jean, à la tête de l'Etablissement public d'aménagement de la Défense (EPAD).
La polémique va bon train: ce serait une question de moeurs bananières, le Nez-potisme, l'inverse du néo-Poutinisme.
Soit.
Marine Le Pen, dans un communiqué, a daubé, avec force raison, sur ces moeurs, et sur le Prézydent qui a "nommé son fils, Jean, 23 ans, bac + 1, à la tête de l'Epad. Après les affaires Polanski et Mitterrand, la France n'aura donc plus rien à envier aux pires républiques bananières."
Sans doute, sans doute: mais sous ce scandale visible et risible, n'y a-t-il pas autre chose, comme disent les british: the hidden aspects of the problem, rien moins que risible.
Cette chose que l'on nous cache soigneusement c'est un procès de dépeçage de la France, par lequel son unité, son être même sera définitivement aboli.

Acte 1: La mise en place des régions. Selon les directives et traités de l'Union européenne, ordre est de cesser de raisonner dans ces termes obsolètes et jacobins de "nations souveraines" ou d'Etats. Il y a les "bassins d'emplois" les régions, les "pays" (au sens plouc) "utiles" et "inutiles".
Ainsi la la France est d'ores et déjà découpée en "France utile" et "France inutile". Cette dernière se voit de plus en plus livrée à la loi de la jungle, avec le désengagement de l’État à travers la fermeture des services publics, avec la suppression des bureaux de poste, des services hospitaliers, au travers des regroupements d’école, la fermeture des perceptions, des gares et des gendarmeries. "France inutile", livrée à la dictature des groupes privés, à la déprédation des bandes, à la dépravation communautaire.

Acte 2: Lois instaurant l'intercommunalité forcée, c'est à dire le regroupement forcé des communes, la confiscation de leurs compétences et de leurs ressources, la suppression des syndicats de communes qui organisaient les services publics.
Il y a 36 686 communes en France, héritage d'un authentique pouvoir populaire avec leurs conseils municipaux: une honte, un anachronisme, en ces temps de fric roi et du cul souverain.
Il faut en finir! Et pour les vider de tout contenu, les "assemblées intercommunales" sont devenues: "les autorités régionales et locales soient de véritables partenaires dans la manière de concevoir et d’appliquer les politiques européennes (…) en associant mieux les collectivités territoriales au processus de maîtrise des dépenses publiques" Livre blanc du “pacte territorial” édité par l'U.E.

Acte 3: le projet de Loi sur les "territoires", qui sera examiné en Conseil des ministres le 21 octobre.
Ce projet met en place des «métropoles» dont les prérogatives l'emporteraient sur celles des communes et départements, qu'elles disloqueraient.
Ainsi, le projet du « Grand Paris » prévoit, dans un périmètre de 700 hectares autour de chacune des 40 gares du futur métro rocade, des zones directement prises en charge par l'Etablissement public à vocation industrielle et commerciale (EPIC).
Cet EPIC, dit « Société du Grand Paris », aurait le droit de préempter les terrains des communes, serait en charge de la gestion des transports privatisés. Le «Conseil de surveillance et le directoire» chargé d’administrer cette métropole serait désigné par décret.
40 fois 700 hectares : c'est l'équivalent de la superficie additionnée de Paris et du 92, ainsi soustraits aux lois communes de la République !
A l'intérieur de ce dispositif, l'EPAD représente 2 500 entreprises, « la vitrine de la France dans les milieux économiques internationaux », selon Libération, et la gestion de près de 800 hectares dont la moitié de la ville de Nanterre.
La rocade périphérique transformé en métro automatique n’a qu’un but : relier aux gares TGV et aux aéroports de futurs "pôles de compétitivité", dont celui de Saclay, présenté dès l’origine comme « le cœur du Grand Paris ». Oui, le cœur pourri de la politique de l’Union européenne qui préconise de soumettre le potentiel de la recherche publique et des universités au pillage des grands groupes privés.
Les 460 milliards d’euros offerts aux banquiers ne leur auront donc pas pas suffi! Le projet de loi "Grand Paris" vise à franchir un cran de plus dans la spéculation et la déréglementation.
Autour de nouvelles gares, un développement urbain et des pôles «territoriaux stratégiques».
Sur le plateau de Saclay, un regroupement d’universités, de recherche et d’entreprises, appelé pompeusement: «pôle scientifique et technologique du plateau de Saclay» dont l'objectif est la réalisation d’opérations juteuses pour les spéculateurs et les banques sur ces «territoires», choisis pour leur capacité à accélérer la déréglementation, la spéculation et la privatisation.

Bientôt, mêmement on verra le "Grand Lyon", d'ores et déjà nommé «communauté urbaine de Lyon», le "Grand Lille", le "Grand Marseille", le "Grand Toulouse", et sous des formes diverses toutes les métropoles, comme le «Grand Narbonne» appelé le «pays cathare».
Les collectivités territoriales, à commencer par les communes, seront enchaînées à toutes les formes de spéculation foncière et immobilière au profit des banques et grands groupes financiers (Dexia, Nexity, Bouygues, Véolia,…)
Qui s'insurge contre cela, contre la disparition de l'unité de la France, contre la disparition programmée de ses 36 686 communes?
Pas un mot dans les protestations des élus de droite comme de gauche. Chacun veut en être, chacun veut en croquer, en premier lieu bien sur le PS, bien placé, dans le marigot électoral, mais aussi les dirigeants du Parti communiste, du Parti de gauche et du NPA qui, dans une déclaration commune, en appellent à « mettre en œuvre un programme traduisant dans les régions les exigences populaires (…), un programme régional, véritablement alternatif »
Alternatif, c'est à dire dirigé par d'autres, mais dans la continuité du "programme régional", des plans meurtriers de l'U.E.
Rupture avec l'Union"Européenne", ses traités, ses lois!
Félix le chat

mercredi 14 octobre 2009

Ben-Bidochon.

Dans une émission de gaz délétères intitulé “On va se gêner”- Europe 1, un répugnant gros porc, dont la pseudo protestation virile est tellement circonsice qu'elle possède toutes les caractéristiques d'une protestation religieuse, vient de ne pas se gêner pour roter à plein poumon l'ordure exhalée par l'épaisseur de son âme avec des râles muqueux, gras de foutre et d'argent.
Finalement il dit la même chose que l'autre, la Crotte-fine, mais avec des mots non couverts par l'intellectualité de façade de la Fine-crotte qui préfère déféquer son discours religieux irrationnel à base de théorie du complot antisémite.

Or donc, selon ce sale individu, une petite goyim de 13 ans est ontologiquement une petite salope.
"Elle n'a eu que ce qu'elle méritait", cette allumeuse : " elle faisait des photos à poil cette fille là,…avec la bénédiction de sa famille, elle touchait des dollars !" éructa ce beau  personnage.
"Rien ne ressemble plus à une jeune fille de 18 ans qu’une jeune fille de 13 ans"  renchérit le Beauf qui se sait au dessus des lois, et feint d'oublier que Paupol-en-ski, âgé de 45 ans, l'avait en plus convenablement droguée en guise de préliminaires.
Pourtant, il n'y a pas si longtemps, les cavités rectangulaires du poste étaient trop exiguës pour contenir l'indignation de cette même racaille des merdiats, mais en sens inverse cette fois, lors de l'affaire Monika Levinski !  Celle là, à 28 ans, fut décrétée pauvre enfançonne innocente, contrainte de sucer du Kiki Clintonien, et son porteur devenait la honte absolue du sexe mâle.
Parfois on peut douter que ces gens là, soient autres choses que des fictions, daemons laissant après eux un fumet de l'Enfer.

La hideuse et hennissante chienne de garde, Alonzo, a été sortie de sa niche, toutes gencives retroussées pour aboyer contre les hommes, en général, et contre l'"ordre machiste et patriarcal."
Elle le sait bien, pourtant, la chienne, que les Ben-ceci ou les Ben-cela, qui gardent avec elle le Désordre établi, sont les fourriers de la morale gynécocratique, les plus zélés promoteurs mâles du féminisme.
Au lieu de dire qui ils sont, précisément, ces sales types, violeurs, vulgaires et putassiers, elle accuse tous les autres mâles, s'en prenant à une soi disant "culture" prévalente chez eux, les rendant surs d'eux mêmes et dominateurs...
L''immémoriale suprématie des Grands Mâles blancs Morts. The dead white men.

Je viole les p'tites filles,
C'est la faute à Shakespeare,
J'encule les p'tits garçons,
C'est la faute à Platon.

Pourtant la gynécocratie porte en elle la pédérastie comme le capitalisme la guerre, comme la nuée l'orage. Nul n'est davantage équipé pour la prosternation devant Molloch, qu'un pédéraste.
La politique capitaliste, la politique sous le capitalisme, la politique du capitalisme, vient d'une Grande Partouze Pédomane inaugurale, les ballets roses et bleus coexistant avec les enfants de huit ans pourrissant chaque jour seize heures au fond de la mine.

mercredi 7 octobre 2009

Brisées des heures grises -2-

 Décidément,  ma mignonne ne veut plus venir ! Elle téléphone.
Haine absolue à l'encontre du téléphone. Qui inverse les polarités. Vecteur de tous les quid pro quod.
Horreur aussi de ma bêtise. Je commence à regretter salement mon attitude. (Si elle avait pu prévoir un tel sentiment, elle m'aurait quitté deux fois plus vite.)
Toujours cacher son jeu. Trois fois béni le conseil de mon vieux Daïmon. Qui toujours sacrifie au Présent.
Sera-t-elle retrouvée ?
Quoi ?
L'Eternité.
En attendant je suis accablé de reproches : M'aurait elle abandonnée pour de bon, la maudite ? Évidemment comme je l'ai traité ! Mais c'est vrai à la fin, elle finissait de m'épuiser plutôt que de me remonter à la vie !
Aurais je dû endurer son babil, se faisant une gloire de son insensibilité, la croyant un charme de plus?

Tout ça, pour ne pas m'avoir retrouvé en bon état de marche. Maudite sauvageonne, ayant ton coeur dans ton sexe !
Je ne soupire d'ailleurs pas absolument après sa présence physique, "il n'est assurément de lieu où l'on se sente si péniblement seul qu'entre les bras d'une Jeune Fille." (Tiqqun), mais son désamour revient à une absence métaphysique, et sur mon lit de douleur, cela m'est intolérable. J'aimerais quelqu'un qui pense tout le temps à moi.
Le véritable amour qu'est ce que c'est ?
Ce cri : "A ton épaule" de Julien Sorel, et ses larmes à ce moment. Il fond en larmes, tout à coup, lui si indifférent, d'avoir fait mal (physiquement) à madame de Rénal.
Le véritable amour se reconnaît à ce signe, infaillible, le cri de la mère devant son petit. Tout le reste c'est la foutaise, la fouffe, la foutrerie : ce lyrisme des primates.
C'est pour cela que la femme n'aimera jamais ainsi que l'homme.
L'amour est un mouvement descendant.
L'homme aime la femme, la femme l'enfant, l'enfant le hamster. (Qui a dit cela? Je l'ignore, il me semble l'avoir lu. En vérité j'ai trop lu passablement.)
Félix le chat