Pardonnez moi, si j'ai laissé encore tomber le Bloc sur mes pieds fourchus, parce que je suis un peu dans un nouvel ouvrage; et puis pour m'alléger, comme après l'orage l'air, et partir enfin dans le vent, le cœur moins lourd, sur ma vieille Bonneville.
4 commentaires:
Un dernier billet encore très spirituel, que vos pieds ailés plus que fourchus vous portent bien.
Merci Dame Orfeenixe, et que vous preniez les vôtres dans les liens sacrés !
partir en vacance triomphalement avec sa bonne ville sans pompe saperlipopette c'est pas le pied ! partir en vacance triomphalement en quittant sa bonne ville sans pompe saperlipopette !!
merci mes Zix et Orfeenig !
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