Amel, commerçante et riveraine, a raconté à l'AFP la scène à laquelle elle dit avoir assisté :
" J'ai vu la femme tomber à terre à plat ventre, elle avait le couteau planté dans le cou. Son visage était ensanglanté, elle a essayé de dire quelque chose. Le tueur s'est fait courser par des gars qui travaillaient sur un chantier à côté. Ils ont réussi à le taper avec une pelle mais ça ne l'a pas arrêté. A côté du cadavre, on a retrouvé un sac du BHV plein de couteaux. C'était une bonne lame, entièrement plantée."
Une bonne lame ? Certainement .
Ah !, l'impétuosité de la jeunesse ! Car l'apport incisif de la diversité, pour un esprit acéré, paraît sans doute trop lent à trancher nos routines émoussées.
Faut il pour autant aiguiser son coutelas tout de suite ?
Un peu de patience que diable !
On ne peux pas égorger comme ça au débotté, en pleine rue, tous ces salauds de blancs, comme de vulgaires fermiers du Zimbabwe.
En 1980, il y avait 500 000 Blancs au Zimbabwe. En 2000, il en restait encore 200 000 . En 2004, il n'en reste plus que 30 000. Mais cette heureuse politique d'éventration positive n'a pu être mise en place et réussie que grâce l'installation préalable d'un Président et d'un pouvoir Noir, contre des Blancs-boucs émissaires. Il faut savoir attendre d'avoir un Prézydent plus franchement métisse, plutôt qu'un simple agent du métissage.
Patience, peut-être Ramatoulaye Yade sera l'élue.
Et à partir là, yes you can ! Vous pourrez vous en donner à cou joie, et rire à gorge d'employée.
2 commentaires:
lut,
juste un petit commentaire, la jeune fille morte était d'origine arabe. Malheureusement, la violence n'a pas de couleur, et avec le temps, l'Etat et les médias qui en mettent des sauces ce sera des noirs, des jaunes, des blancs, des arabes, des juifs qui vont tous se taper dans la rue.
Pendant que le système réussira ce qu'il a entrepris, semer la discorde et s'en mettre plein les poches...
Diviser pour régner, on vous dit..
"la violence n'a pas de couleur", bien évidemment....
pour les victimes.
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