L'appareil politico-militaire gouvernemental, instrument de la classe capitaliste des Zétats Zunis, contraint -par l'extorsion- les gouvernements de Chine, d'Europe( par le biais de l'U.E), et du Moyen-Orient, à financer la gigantesque dette américaine.
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C'est toute une implacable machinerie, une prouesse de pillage qui est mise en oeuvre par par l'impérialisme rapace pour contraindre les travailleurs et les peuples de la Terre à faire en sorte que le château de carte financier américain ne s'écroule pas.
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Mais cela peut-il durer?
Ron Paul a prononcé un discours à la chambre des représentants du Texas dont il est membre.
Ce bon Ron a rondement prévenu: "la crise financière qui n'en est qu'à ses débuts, saute aux yeux de tout le monde:...les dépenses liées à l'éducation et à la santé qui explosent, l'effondrement de la bulle immobilière, l'éclatement de celle du Nasdaq, les marchés boursiers qui s'effondrent, le chômage qui augmente, un sous emploi massif, une dette gouvernementale excessive, des detttes personnelles ingérables. Peu de doute subsiste sur l'éventualité d'une stagflation. La question qui va se poser bientôt, c'est Quand? Quand la stagflation se transformera-telle en dépression inflationniste."
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Telle est la pénible réalité de l'économie américaine à la veille de l'élection présidentielle.
Dans cette situation les masses américaines ont exprimé leur profond rejet de la politique de stutu quo entre les démocrates et les républicains, ce janus-bifron de la dictature capitaliste: politique qui perpétue crises financières, guerres, désindustrialisation, destruction de l'environnement, attaques brutales contre les droits et les libertés des travailleurs.
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C'est cette recherche d'un changement fondamental, d'une politique de rupture, qui s'est exprimée lors des primaires vers Barack Obama, outsider politique et premier candidat métis Noir ayant une opportunité d'accéder à la Maison Blanche.
Il a rassemblé dans ses appels au changements des foules innombrables.
Par millions et millions ils voyaient en Obama un espoir. Son message de changement s'est répandu à la vitesse de l'incendie, notamment parmi les jeunes, les travailleurs pauvres et les Noirs.
Qui rejettent tous les sales guerre pour le pétrole qui ponctionnent les fonds publics et dévastent les besoins essentiels, santé, écoles, de la population laborieuse.
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Aujourd'hui tous ceux-là considèrent avec incrédulité le changement radical de positionnement d'Obama après l'investiture. Barack a cassé la baraque.
"Est-ce un mauvais rêve?" "Dîtes moi que nous sommes bien un parti d'opposition, ou bien que tout cela est un cauchemar" -"S'il vous plaît, dîtes moi que j'ai tord"...Tel sont les milliers de message envoyé sur le site web du Parti démocrate.
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En Afrance, abrutis d'électoralisme par l'ingestion de la soupe parlementaire on ignore ce désarroi de millions et de millions.
On présente cette volte face d'Obama, comme une tactique consistant "à glisser vers le centre".
Le centre! Est-ce ainsi désormais que l'on nomme l'APAIC?
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C'est en Israël qu'Obama a exprimé en premier sa nouvelle posture présidentielle:
-Augmentation de 10000 des effectifs des troupes en Afganithan.
-Soutien sans faille à l'état juif pour sa politique d'expansion
-Jérusalem doit être exclusivement juive.
Ensuite Obama a soutenu l'octroi de 162 milliard de dollars pour financer la guerre jusqu'en juillet 2009.
-Soutien à FISA autorisant les écoutes téléphoniques, c'est à dire l'espionnage légal des citoyens
-Selon le Wall Street journal (17 juin) il a déclaré "envisager sérieusement une proposition de réduction du taux d'imposition des entreprises.."
Le corollaire sera donc que se seront les pauvres qui devront se serrer la ceinture par une austérité budgétaire accrue.
-Il s'est engagé à maintenir l'embargo criminel contre Cuba
Cette politique "vers le centre", est destinée selon ses conseillers à lui faire gagner les élections.
Non de la perdre.
Chaque fois que les démocrates s'engagent sur le terrain des républicains pour leur disputer ce "centre" mythique ils perdent les élections.
Les électeurs qui aspirent au changement, les plus nombreux, restent chez eux, cependant que que ceux qui sont séduit par le "marché libre" ou la "guerre au terrorisme" votent pour les vrais républicains plutôt que pour leur "pâle" imitation.. fut-elle ébènée, fumeuse, et enfumeuse....
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Donc, à force, le pâle laquais Noir Obama pourrait perdre.
Et ce serait bien dommage.
"Quel que soit celui qui viendra aux affaires en novembre, il sera considéré comme responsable de la pire situation depuis 1929." déclarait récemment John Williams de Shadowstats sur CNN.
Et oui!
Et c'est ce grand crétin de Mac Cain qui va l'emporter.
Comme ça on pourra toujours continuer de rendre les White, responsables de tous les malheurs de "c'te planèt.."
Et supporter d'entendre sempiternellement cette antienne: "avec Obama tout aurait été différent."
Félix le Chat
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