" Il faut faire cette éducation de c'pays pour qu'il apprenne que désormais son avenir c'est le métissage ".
"C'pays" ce n'est pas l'Israël, le pays de son coeur, où il est allé rendre hommage à Yad Vachem à son peuple, "c'pays" c'est le pays où il fait ses p'tites zaffaires, la France, enfin ce qu'il en reste...
Certes, Julien Dray n'est pas le seul à proférer cette injonction du métissage.
Elle est martelée sur tous les tons sur tous les modes par tout ce qui cause, chante, braille, et se trémousse dans tous les médiats.
Mais ce qu'il y a de particulièrement répugnant dans son cas, c'est la duplicité, la fausseté même de réclamer pour nous ce qu'il aurait en horreur pour les siens. Dont son frère, dirigeant de la milice juive BETAR, qu'on ne présente plus, tant sa violence bestiale au service de son étroite vision de tribu, défraie si souvent la chronique.
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Cette aversion pour le métissage, ce refus raciste absolu de se mélanger, cette hantise de se garder pur de toute proximité, vécue comme une souillure, le fondement premier de la politique d'apartheid de l'Etat d'Israël, pour le plus grand malheur des palestiniens, et de l'humanité toute entière, c'est ce qu'ils prônent pour nous autres.
Par conséquent si un type comme ça, ce socialiste français, veut pour nous ce qu'il considère comme le pire, peut on penser qu'il est sincèrement mû par des sentiments philanthropes à notre égard ?
Félix le Chat
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