Le 23 avril 2008 (LPAC)
– Patrick Moore, un des co-fondateurs de la multinationale Greenpeace en 1971, vient d’écrire une lettre à l’éditeur du quotidien américain Wall Street Journal pour accuser ses anciens associés d’être anti-science.
D’abord, Moore y raconte qu’en 1986 il avait pris la décision de quitter ce mouvement car il s’était rendu compte que Greenpeace avait jeté à la poubelle tout travail scientifique sérieux pour se consacrer exclusivement à un activisme politique déchaîné. Quand Greenpeace décida d’organiser une campagne mondiale pour faire bannir le chlore, un des éléments du tableau de Mendeleïev, c’en avait été de trop pour Moore. Moore souligne que « la science nous montre que la présence de chlore [un désinfectant empêchant la multiplication des germes dans les conduites d’eau] dans l’eau potable est un des progrès majeur de l’histoire de la santé publique car elle permet la quasi-élimination des maladies comme le choléra ».
En réalité, avec cette campagne, Greenpeace a fini par dévoiler son vrai visage. En effet, bannir le chlore de l’eau potable se traduirait fatalement par une forte réduction de la population mondiale.
Aujourd’hui, note Moore, ce sont les phthalates qui sont les dernières cibles de Greenpeace, ces liquides incolores qui servent à la fabrication de plastiques polychlorure de vinyle (PVC) et leur donnent solidité et souplesse. Greenpeace fait campagne pour bannir les phtalates car ces produits sont soupçonnés de nuire aux systèmes hormonaux de certains rongeurs. Cependant, les phtalates s’avèrent être des éléments irremplaçables qui entrent dans la fabrication de certains plastiques d’une très grande utilité pour le domaine médical. Sans les phtalates, les plastiques se durcissent et se fragilisent.
Enfin, Moore a également abandonné ses convictions anti-nucléaires pour devenir un supporter enthousiaste de cette technologie. Il a même fini par travailler pour l’Institut de l’Energie Nucléaire de Washington. Il est à ce jour le principal chercheur et directeur de Greenspirit Strategies. A ce titre il fut invité en 2005 à prendre la parole devant la Nuclear Society des Etats-Unis. Dans son discours, il avait alors démontré que les « énergies renouvelables » comme le solaire et l’éolien n’étaient que folie.
Moore utilisa les mêmes arguments que Lyndon LaRouche sur la densité d’énergie par unité de surface afin de montrer l’inefficacité de ces technologies. Hypothéquer l’avenir de l’humanité sur des technologies de telle nature équivaut donc à préparer sa mort.Enfin, Moore a également abandonné ses convictions anti-nucléaires pour devenir un supporter enthousiaste de cette technologie. Il a même fini par travailler pour l’Institut de l’Energie Nucléaire de Washington. Il est à ce jour le principal chercheur et directeur de Greenspirit Strategies. A ce titre il fut invité en 2005 à prendre la parole devant la Nuclear Society des Etats-Unis. Dans son discours, il avait alors démontré que les « énergies renouvelables » comme le solaire et l’éolien n’étaient que folie.
Les masques tombent...
La gueule verdâtre et hypocrite de l'écologisme et plus particulièrement de Greepeace, chienne courante du pétrole yankke
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