lundi 31 mai 2010

Vénussia Anadyomene


Comme dans un cercueil vert-de-gris, la transfuge
Du NPA, Vénus aux cheveux noirs de geai,
Inflige aux jeunes du FNJ son vermifuge,
Afin de tout racisme et fascisme les purger.


Passée directement du Facteur à Marine,
Sans rien changer de sa doxa resucée,
Comme ça! juste pour se voir en vitrine,
Respirer de sa large narine le succès !


L‘échine est un peu souple et la fille frétille
Pour les avortements, les mariages gays :
Les rides de la Ligue sur un Front fatigué.

Les reins sont tatoués : Vénussia des myrtilles
– Et tout ce corps remue et baisse son large string
Au léchage consciencieux de Monsieur de Rachtring.
 
felix le chat

6 commentaires:

esprit-i-monde a dit…

La poésie ne doit pas être un moyen de se détourner de la vérité par crainte de la voir...


Nocif

Anonyme a dit…

L'Abbé, dites nous-tout... Après Yvan Ben-chose, investi de toute la confiance du Professeur, nous doutons de plus en plus du héfaine. Dji ou pas. Quelle est cette Vénus, où la retrouvons-nous ? Dites-nous, dites nous...

L'abbé Tymon de Quimonte a dit…

Pour nous, ayons un boeuf sur la langue.
Sous un funèbre doigt nos lèvres sont scellées

Anonyme a dit…

Qui sait ce que la poésie est ? Sartre croyait être un philosophe.

esprit-i-monde a dit…

La poésie: "faire simplement"

Anonyme a dit…

Je suis curieux .S'agit-il réellement d'une transfuge (j'ignore si le terme est encor en usage) ?Votre licence poétique laisse planer quelque doute .Celà dit, peut me chaut en vérité ,car j'imagine que celà n'aura que peu d'influence sur le cours des choses .
Peut-être est-il temps de penser à des choses qui puissent avoir quelque influence ? J'ai bien peur que la poésie n'en fasse (hélas) pas partie .