mercredi 21 avril 2010

Ex-panade inaugurale -1-

Hier, monsieur Delanoë provoquait un branle-bas de cons bas quai Branly, en inaugurant en grande pompe l’esplanade David Ben Gourion. (Pourquoi n'avoir pas débaptisé sur la lancée, le Quai Branly en Quai Quête de la Branlette ?)
La cérémonie fut gâtée par quelques trouble-fêtes, amis des palestiniens, au cri de « Ben Gourion assassin » ! Il y eût même quelques horions.
Toute honte bue, Monsieur le Maire, sûr de lui et dominateur, devant un parterre d'élus, dont le président israélien en exercice Shimon Peres, leur tint ce vigoureux langage :
« On me fait beaucoup de reproches (...) mais vous me connaissez assez pour savoir que non seulement je ne m'excuse pas, mais j'assume et je revendique, (c'est pour cela que j'ai tenu à cette esplanade), la légitimité de l'existence de l'Etat d'Israël », a-t-il martelé." Le parisien- 15/04/10
Martelé ! L’expression est du Pharisien.
C’est dire.

Personne cependant, ne saurait faitre grief à monsieur Delanoë d'avoir la fièvre puerpérale : il est maire, mais non père de famille. C'est peut-être pour ça qu'il reste impassible devant les petits enfants de Gaza déchiquetés par les Armes Beth DIME (Dense Inert Metal Explosive).

Que lui font les enfants, et que lui font les cieux
Remplis de plomb durci à l'uranium précieux
Et les cœurs silencieux les âmes brulées vives
Monsieur Delanoë n’aime que Tel-Aviv.

Le phosphore blanc, agent toxique qui provoque des brûlures atroces de la peau et endommage irrémédiablement le foie et le cœur, n'entame ni son foie blanc ni son placide cœur de Reine.
(à suivre)
Félix le chat

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