jeudi 5 novembre 2009

Les nouveaux grands maîtres de la littérature

Comme monsieur Obama, l'immense écrivainE Marie NDiaye, qui vient d'encaisser le Prix Goncourt, pour son "best-sellers", 3 Femmes puissantes, est issue d'un croisement en passe de devenir classique: papa sénégalais et maman blanche. On ne saurait suffisamment louer une telle déhiscence anthropologique: flot noir, amazonien, dissolvant, et charriant cette élite naissante de Femmes "puissantes", grimaçantes et jacassant de leur menstrues.







Dans le même ordre d'idées, le prestigieux prix Médicis 2009 du roman, a été attribué mercredi, au "Canadien", Dany Laferrière. Rien qu'à voir sa tête, on a tout de suite envie de le lire pour savoir ce qu'il y a dedans.





Pour faire de mesure montre, afin que SOS-Rolex n'allât point renifler dans les dessous de ces Dames des Prix périodiques des maisons d'édition, serviettes usagées des Lettres qui absorbent les goûts du vaste gynécée qui lit, leur reprochant de pratiquer une sorte de discrimination à l'empoche, en décernant ces gratifications avec des critères méprisables et racistes, semblables à ceux en vogue chez les élus qui élisent les Miss, par contre-pesé, le Prix Renaudot a donc été attribué au pâle Frédéric Beigbeder (ci contre), qui obtient ainsi pour son stercoral excreta, une nouvelle consécration méritée.

1 commentaire:

Grincheux a dit…

Cette totale incapacité des génes blancs à s'exprimer face aux génes noirs, presque toujours dominants, est fascinante. La face du monde en serait changée si c'était l'inverse.