dimanche 9 janvier 2011

La flèche du Parthe


Moi
Monsieur l’abbé, j’ai répandu ma lave et j’ai reçu de la bave.
L’abbé Tymon de Quimonte
Mon fils, éxilé en Belgique, Charles Baudelaire a écrit :
« Ce monde a acquis une épaisseur de vulgarité qui donne au mépris de l'homme spirituel la violence d'une passion. »
Je crains que pour certains esprits d’élite, bélîtres à élytres bourdonnant au dessus de la porcherie, l’épaisseur de leur carapace  ne leur  fasse mépriser plutôt l'expression désordonnée de votre passion comme la pire vulgarité du monde, parce que leur constitution native leur interdirait de supporter jamais pareille violence intérieure.
Moi
Ce sont des animaux de basse-cour qui répugnent à une pensée sauvage. Qui n’aperçoivent nulle hauteur au dessus de mon ironique haine, parce qu’ils ne voient pas les cieux déchirants par dessus leur enclos.
L’abbé
Mais aussi mon fils, qu’alliez vous faire hors du vôtre, du cercle alchimique que nous avons tracé ensemble en lettres de feu, et vous répandre alentour dans la circumversion ? 
L'Evangile le dit pourtant : Nolite mittere margaritas ante porcos.
Moi
Amen

5 commentaires:

Anonyme a dit…

On ne présente pas un bon vin à quelqu'un d'incapable de le distinguer... Cela coûte trop bien cher.

Nocif

Anonyme a dit…

le grand tumulte neurologique... hum œnologique.

Nocif

Anonyme a dit…

vinum aeterna médicament oenolique pour oublier la cupidité humaine et les haines de ce bas monde. avec du cochon cacher quelle affaire ! ?

orfeenix a dit…

Vos écrits ont encore un bel avenir si les petits cochons ne vous mangent pas!

zig a dit…

mein vater, traurig vergessen das eindringen das blog .der mann .er ist kranke kopf, ein verrückt heftig . drohend . traurig vergessen ein alte mann in kopf . sicher nicht ein freund belge. er komme evil der !