dimanche 9 août 2009

La Reissführer du Nasdaq

Eminence Grise
Derrière le gentil minois de Clotilde Reiss, tapie dans l'Ombre, grisâtre, ses gros yeux globuleux cernés de traîtrise, le rictus crispé de hargnosités levantines, nous découvrons une mégère, l'égérie de la petite Reiss, sa conseillère occulte, digne du Père Joseph, son sosie. (ci contre)
Elle seront jugées ensemble bien que l'une exerçât probablement des responsabilités plus considérables que l'autre, dans l'ombre.
Cette éminence grise qui se nomme Nazak Afshar (prononcer Nasdak), serait, apprend on par les journaux, une autre affidée locale de l'ambassade de "France". Tiens, tiens!

Conseillers occultes
Décidément cette ambassade "française" grouille d'espionnes.
Le K. du Quai, l'Orque d'Orsay, "Semper Fidelis Judæa ", le Ministère des Affaires Israéliennes, section française, s'indigne et réclame la libération immédiate de ses deux janissaires en jupon.
Pourtant, "la jeune femme de 24 ans, accusée d'avoir «rassemblé des informations et encouragé les émeutiers», a surtout admis «avoir écrit un rapport d'une page» sur «les politiques en Iran en lien avec l'énergie nucléaire», remis au patron de l'Institut français de recherche en Iran qui appartient au service culturel de l'ambassade de France. " Le Figaro - 8 août 2009.
Bizarre non? Pour une simple simplette petite lectrice de scribouiller comme ça, des rapports en veux-tu en voilà, sur la Grande politique, et même sur l'énergie nucléaire! Mazette.
Une étudiante ordinaire, quand la tempête souffle dans un pays comme l'Iran, devrait rester tranquillement cloîtrée dans son petit chez soi, en attendant que le vent passe, non?
On ne va pas faire sa petite Mata Hari, quand on n'est qu'une simple petite houri. Il se peut aussi, que dans ce noeud de vipères, espionnes israèlo-françaises et aventurières franco-israèlites, l'étudiante graphomane soit un tantinet enjuponnée....

Conseillères aux culs
"La politique, ce n'est pas son truc. Ce qui compte pour elle, ce sont les rapports humains, précisait "une amie", toujours au Journal de la Bourgeoisie.
Oui, mais cet argument ne tient pas. Aujourd'hui la moindre pécore qui fait Science-Po, et elles sont légions, fait de la politique un succédané de la psychologie et des rapports zumains justement.
La Politique, passé au tamis d'une cervelle de bonne femme, se dégrade aussitôt en moraline et psychologisme. C'est d'ailleurs pour ça, pour dépolitiser, que le pouvoir de l'oligarchie financière favorise farouchement la féminisation du politique.

Dire à cette charmante petite pécore,"Iran y'en a voiler femmes, sexualité féminine niée, fâmes iraniennes ragnagniennes, Iran y'en a en plus, nier Schoah, Holaucauste, Heures les plus sombres, etc", aussitôt la voilà allumée la petite Reiss, prête à partir en guerre, et peut-être sincèrement, s'engager dans cette Cause, comme les pétasses d'ici, s'engagent à fond les vélibs, pour le Darfour, le Tibet, etc, toutes causes estamplillées Crif, tout en se fichant comme de leur premier string des enfants palestiniens massacrés avec une régularité métronomique.
Souhaitons malgré tout, que la Justice d'Ispahan soit paternelle pour cette Shéhérazade de pacotille, eu égard à sa niaiserie congénitale, et la rendra dans des délais raisonnables à l'affection des siens et à ses chères zétudes.
Tout en déplorant par avance hélas, qu'ici, elle ne commence, son physique aidant, une carrière médiatique de libérée fameuse, à la Florence Aubenas, ou à bête en cours de canonisation, la Bettancourt, sainte Ingrid, comédienne et martyre.
Félix le chat

3 commentaires:

abd a dit…

Merci l’abbé pour cette excellente note.
J’ajouterais que, compte tenu de la situation actuelle en Iran, avant de se rendre dans ce pays, il vaut mieux demander l’avis du Ministère des affaires étrangères. Et la réponse est claire : il déconseille fortement d’y aller. Cette étudiante devait le savoir. On devine qu’elle avait d’autres motifs que son intérêt dans la culture persane. Mata Hari continue de fasciner les jeunes filles !
Abad

Anonyme a dit…

On doit etre prudent dans la condamnation facile et unanime de l'usage de la bombe A contre le Japon. Mieux vaut en rester modestement aux regrets des méfaits de la guerre.
Le fait est qu'en décembre 1944, la défaite et la rédition de l'Allemagne Nazie était déjà inéluctable et prévisible quand au début 1945, malgrés la supériorité militaire américaine, personne ne savait encore si l'Amérique allait finalement gagner la guerre contre le Japon. En 1945, les évaluations américaines indiquaient que l'invasion des iles principales pourraient encore couter un million de mort aux forces armées américaines et seuls les généraux US les plus durs envisageaient une telle invasion. L'idée était déja abandonnée par les politique qui, à la place, envisageaient un blocus et des bombardement classiques continuels. Qui sait si avec de tels délais, le Japon n'aurait pas obtenu sa propre bombe A et continué la guerre pendant des années.
Donc voilà, aujourd'hui il est facile de refaire l'histoire, mais en 1945, beaucoup pensaient que le Japon impérial ne pouvait pas etre battu sur son territoire et personne ne savaient exactement ou en était le japon dans ses recherches sur la bombe atomique.

Anonyme a dit…

Balivernes !
Le Japon n'était certainement pas sur le point d'avoir la bombe. Tout le travail est venu des savants germaniques. Les autres y compris les américains, n'y étaient pas, il faut le dire.

Les bombardements atomiques de 1945 ne sont que très peu justifiés militairement.