vendredi 7 avril 2017

Le retour du concret

Trump passait son temps à dire qu'il ne voulait plus que "l'Amérique soit le gendarme du monde", c'est à dire le sicaire sioniste mondial, or ce jour il se comporte comme le pire reître qui soit, qui n'a pas attendu longtemps avant d’appuyer sur la gâchette contre....l'Ennemi N°1 de l'Israël.
A son tour il devient le polichinelle des forces impérialistes réelles, qui n'ont pas été renversées par son élection. Le mal est trop profond, cette gangrène économique, sociale, morale qui descend jusqu'au cœur. Il faudrait l'extirper, récurer jusqu'à l'os toute cette pourriture qui ronge tout le corps social, jusqu'à amputer ses membres les plus corrompus. C'est la révolution.
 Une élection n'est qu'un remède de bonne-femme.
Le malade se berce d'illusion, jusqu'à la prochaine crise, qui lui révèle que son État s'est aggravé.


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