Ceux qui partirent tranquilles...Et qui ne revinrent pas. Ceux de la vieille race française de Saint-André-des-Champs, morte avec eux dans les charniers du métissage.
« Vous pouvez partir tranquilles… vous serez remplacés dans vos boulots promptement, dans vos maisons et vos lits… dix fois plutôt qu’une !… Vos femmes d’ailleurs ne demandent qu’à se rendre, que dis-je ! elles sont aussi impatientes de vous mener gare de l’Est que Lizok Lévy, Yubelkrantz… de vous propulser au casse-pipe… La femme est une traîtresse chienne née […]
La femme, surtout la Française, raffole des crépus, des Abyssins, ils vous ont des bites surprenantes ! Ils sont si vicieux, si câlins. Ils comprennent si bien les femmes!… Ah! cet Orient!… c’est autre chose!… cocus des tranchées, pauvre viande kachère ! »
L.F Céline
L.F Céline
En Mémoire des anciens Poilus, épilés par la Faucheuse esthéticienne, afin que le Monde devint Con.
Vous pourrez relire LE CHEMIN DES DAMES
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3 commentaires:
Il fallait les tranchées pour que les fentes régnassent.
Lire Céline évite bien des livres d'histoire.
Nocif
Avec ou sans la Guerre, la française rafole des différents, ethnomasochisme qui défigure nos contrées de Gaule.
L'inverse est aussi vrai, nombreux sont les mâles gaulois qui ont pu tâter de l'exotique femelle.
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