Santé au Féminin : Les phobies

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Nul ,n'étant censée l'ignorer,  Voici la Loi, telle quelle, dans sa plus brutale officialité, et qui montre à quel point l'Etat est en avance sur la conscience citoyenne. 

• « L'expression L.G.B.T. désigne les personnes lesbiennes, gays, bi et trans.
• L'homophobie désigne toutes les manifestations de rejet (regard malveillant, mépris, insulte, violence physique, discrimination) que peut subir une personne homosexuelle ou supposée l'être.

Ce terme général regroupe des descriminations plus spécifiques : la lesbophobie pour les lesbiennes, la gayphobie pour les gays, la biphobie pour les bi, et la transphobie pour les trans.

• La lesbophobie désigne toutes les manifestations de rejet que peuvent subir des personnes lesbiennes. Il s'agit d'une double discrimination pour ces personnes qui sont victimes à la fois d'homophobie et de sexisme.
  Ces discriminations sont passibles de 5 ans d'emprisonnement et de 45 000€ d'amende.

Pour définir les discriminations dirigées contre ces communautés, on parle de L.G.B.T.phobie. »

[– Oui vous avez bien lu ! Un "regard" jugé "malveillant", une critique ironique d'un comportement ou d'une tournure vestimentaire ridicule, jugée "méprisante", l'utilisation de termes traditionnels, qu'ils soient littéraires ou populaires, comme sodomite, gougnotte etc., jugés "insultants", tous ces menus persiflages de la vie ordinaire,  peuvent être passibles de 5 ans d'emprisonnement et de 45 000€ d'amende ! »
Bien plus cher payé, pas vrai, que les meurtres de sous-chiens scolarisés, qui, régulièrement, font gravir aux camarades et amis, avec à leur têtes les parents hébétés, sinon elgébétés, les longues, lentes et silencieuses «Marches blanches ».)
En vérité, cette hystérie hallucinante d'envie du pénal, jointe aux mesures laxistes Taubira, vise à un Grand Remplacement de la population carcérale en Ex-France.
Note du Petit Quimonte Illustré]

!

L'avantage de ces nouvelles thérapies cognitives est qu'elles ne mobilisent plus les personnels de santé, mais les gardiens de l'ordre flichiatrique et la Gendermerie nationale.
 
Ces nouvelles affections touchent exclusivement les mâles dits hétérosexuels, avec prévalence pour les mâles blancs.
Les sujets les plus exposés sont ceux qui restent le plus en contact avec les grands auteurs anciens, les antiques latinités, les vieilles pierres d’Église, les galets des vieilles ténèbres, l'eau bénite et le pain quotidien sans glutein.
On note chez les sujets atteints, un déni, avec une rationalisation pénible sur le bien-fondé intellectuel de leurs aversions.
En fait, plutôt que de reconnaître franchement l'horreur-panique qui les saisit devant le spectacle de la nouveauté exemplaire, ces patients rétrogrades associent souvent à une démence hostile un délire de la persécution.

En fait, les meilleures préventions restent les techniques d'émasculation précoce, envisagées dès la maternelle, et la castration pédagogique.
Par ces méthodes radicales les autorités ont bon espoir d'éradiquer définitivement ces maladies honteuses de la surface de la terre, par l'exonération de son principal véhicule, la raison pure.

Cependant l'immense tête chercheuse de poux Israella Vaincra, ayant démontré leur caractère incurable a suggéré l'euthanasie, comme prévention, mais aussi comme seule guérison possible des malades.
Cette proposition fait actuellement l'objet d'une étude.  D'ores et déjà d'autres chercheuses en sciences sociales ont fait remarquer qu'envisager une éradication massive pour mâles, reviendrait, étant donné le centre de ces phobies, à un autre Holocauste par trou-de-balle.
à suivre donc....
Dr Ragna Lagoua-Weill.