Chère Brigitte Bardot,
Vous savez que nous vous aimons, ici.
Vous êtes notre Marianne à nous .
Mais tout de même, cet amour immodéré des animaux, incompréhensible, confine parfois à la zoophilie, pire, à la plus dégradante bestialité.
Et avec quels animaux ?
Parmi les plus répugnants, ceux qui empuantissent l'air des Hauts du Soleil Levant de Seine.
Écuries d'Augias attendant leur Hercule.
Vous savez que nous vous aimons, ici.
Vous êtes notre Marianne à nous .
Mais tout de même, cet amour immodéré des animaux, incompréhensible, confine parfois à la zoophilie, pire, à la plus dégradante bestialité.
Et avec quels animaux ?
Parmi les plus répugnants, ceux qui empuantissent l'air des Hauts du Soleil Levant de Seine.
Écuries d'Augias attendant leur Hercule.
Et vous, moderne Circé, qui changiez naguère certains hommes en pourceaux d'un coup de braguette magique, j'avais la faiblesse de croire que, comme elle, vous ne les consommiez point.
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Brigitte parle :
- "À chaque être, plusieurs autres vies me semblaient dues.
Devant plusieurs hommes, j'ai posé toute nue, avec un moment d'une de leurs autres vies. -
Devant plusieurs hommes, j'ai posé toute nue, avec un moment d'une de leurs autres vies. -
Ainsi, je laisse rêver les porcs.
Mais ce monsieur ne sait ce qu'il dit : il est un mythomane.
D'ailleurs il est bien plus visqueux que le goret.
Mais ce monsieur ne sait ce qu'il dit : il est un mythomane.
D'ailleurs il est bien plus visqueux que le goret.
Plus ancien et plus reptilien que Sus scrofa domesticus.
A la vérité, son caleçon bréneux n'est rempli que par ce culot étrange et venu d'ailleurs : la houtzpah.
A la vérité, son caleçon bréneux n'est rempli que par ce culot étrange et venu d'ailleurs : la houtzpah.
"Ces bassesses montrent sa véritable personnalité".
C'est mon deuxième démenti. La prochaine fois j'attaque en dommages et intérêts."
Le Figaro- 10.02.10.
Chère Brigitte, nous vous croyons.
C'est mon deuxième démenti. La prochaine fois j'attaque en dommages et intérêts."
Le Figaro- 10.02.10.
Chère Brigitte, nous vous croyons.
félix le chat
1 commentaire:
Gainsbare et consorts ne travaillaient pas gratis..
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