"Epargner les faibles, abattre les superbes". Cette maxime de Publius Virgilius Maro, plus connu sous le nom de Virgile, devint la devise du peuple romain.
Révélant par quel marteau, sur quelle enclume et dans quel brasier, son âme d'acier fut forgée.
Si l'on en croit l'article du Pharisien, ici, le Prézydent aurait adopté la maxime contraire.
Il aurait déclaré à la Réunion en février 2007 : "Je serai un président comme Louis de Funès dans le Grand Restaurant: Servile avec les puissants, ignoble avec les faibles. J’adore! "
Nous aussi.
"Principibus placuisse viris laus non ultima est", plaire aux grands n'est pas un mérite à dédaigner.
Le Prézydent lève ainsi le voile sur sa stature, laissant voir de quelle argile elle est pétrie, de quel bois il réchauffe sa politique frileuse, de quelles fumures, les très belles plantes qui se poussent dans son gouvernement d'excrément, germent.
Paraphrasant le grand latiniste Méry qui raconte :
"En m'apportant ma nomination, Tibère me tendit la main avec bienveillance, et me dit :
« Pontius (Ponce-Pilate), vous avez un beau gouvernement; ayez une main forte et une parole douce. Agissez pour la chose publique selon votre bon sens, et n'oubliez pas l'éternelle maxime du peuple romain : Parcere subjectis et debellare superbos. Allez, et soyez heureux."
je dirais:
Vous avez un gouvernement de beautés : Rama-Amara-Rachida-Roselyne-Michèle-Christine. Ayez une parole forte : "casses toi pauv'con!", et une main molle. Agissez pour détruire la chose publique et n'oubliez pas l'éternelle maxime de votre peuple maternel : "Servile avec les puissants, ignoble avec les faibles."
Allez, vous n'en avez plus pour longtemps.
Félix le chat.
1 commentaire:
Plus pour longtemps c'est vous qui le dites.
rg
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