vendredi 13 avril 2018

Alors c'est la guerre ?

N'est-ce pas de la dernière infamie de la part d'un Pouvoir qui se pare de toutes les vertus, d'avoir fomenté des attentats sanglants contre son propre peuple dans une salle des fête et des terrasses de bistrot ?

Et n'est ce point ajouter encore à l'ignominie, que d'accuser mensongèrement d'autres gouvernements de crimes contre leur peuple ?  Et quand ce mensonge proféré par des assassins se fait dans le seul but de provoquer un autre bain de sang en Syrie, on atteint à la quintessence de l'abjection.

Aucune condamnation, si forte soit elle, ne pourra jamais traduire la répugnance qu'inspire de tels "dirigeants" et la meute obscène de leurs valets, qu'on les voudrait voir jugés publiquement, puis écorchés vifs et salés, ou alors empalés, pour les regarder longtemps courir en tout sens, ou gigoter sur leur pieu.
Mais aussitôt la pensée de tels  châtiments, mérités, répugne, car l'idée de châtiment comporte l'idée d'expiation, donc d'humanité. Ces gens là sont si définitivement bas qu'ils s'excluent d'eux-mêmes du genre humain. Leur vermine une telle infestation qu'elle fait reculer les charognards les plus blasés, et qu'on les refuseraient même en Enfer.

Pourtant nous sommes gouvernés par cette ordure, par cette fétide infection.

Pourvu que Poutine tienne bon et aille à la guerre !
Mieux vaut crever dans une fin horrible que supporter l'horreur sans fin !










1 commentaire:

Le Gallinacé a dit…

Je vois que nous sommes ces jours-ci dans un état d'esprit similaire...
https://labrebisgalleuse.blogspot.fr/2018/04/comme-une-envie-de-meurtre.html