vendredi 22 octobre 2010

Fourest, Fionetta


Voyez la Fourest !
Son petit visage fermé de gougnotte qui n‘a pas eu sa suffisance de gigot.  Cette lisible stupéfaction femelle, en vérité « elle est bête, elle est lourde, elle est bavarde », à jamais incapable de s’élever à la dignité du concept, à la hauteur des vieilles disciplines.
Ce qu’elle a dit de Chavez ! Et de Castro ! Et des Farc !
Sur la chaîne de radio : "Israël-SousCulture", radio "publique", donc que nous payons de nos pauvres deniers, où elle vient chaque matin, à heure fixe, pour y faire son petit excréta.
On est pas plus ignorante : des contre-vérités, des approximations, une inconnaissance historique, mais crasse mais si crasseuse ! qu’elle a rendu littéralement malades ceux qui la tenaient, pauvres benêts, pour une interlocutrice recevable, n’ayant rien saisi en la nature véritable de la gynécocratie avec ses égéries du Kali-Yuga.
Au moins les autres néo-conservateurs,  les Bruckner, les Goupil  and Co, ont la décence d’avoir des gueules de vrais faux-culs.
Mais elle non.
La pauvre. Parce qu’elle est sincère au fond. Ce ne sont pas des mensonges qu'elle profère, mais les remugles de son petit entendement rabougris, plein à rabord de toute la moraline que les fifilles têtent avec le lait maternel.
Son immarcescible sottis montre qu’elle est con-vaincue, fermée à double tour sur quelques fétiches ramassés dans le canniveau de la pensée binaire béhachélienne, version Tétu, ou Charlie-hebdo.
À droite, le Mal : l’Islam, l’Eglise, la décence, le populisme (càd les peuples réels).
À gauche l’axe du Bien : l’Avortement, le féminisme, la cause « gay », les zélites, etc., etc.
Elle est du côté de l’Ordre Impérialiste et de l’Iniquité, des Flics et de la puissance d’Etat, mais se croit rebelle car avec ces "valeurs" de Gôche. Avec son master de merdiat-communication, elle a la même hauteur politique et la même sureté de jugement qu'une Ramatouillaye ou une Rachida.
Il faudrait la livrer aux femmes Irakiennes récemment libérées du Joug de l‘affreux Saddam, où aux femmes afghanes rescapées des boucheries Otanesques.
Ou plutôt non, qu’elle vieillisse en paix, que le racorni de son âme s’affiche un jour au grand jour, que le latent ressorte de sous le manifeste.
Ansi nous lirons de + en + l'affreuse amertume du ressentiment ontologique, prouvé par son obstination à nier la différence sexuelle; d’où sa haine métaphysique à l'encontre de tout ce qui symbolise, à ses yeux, la virilité.

4 commentaires:

serious seekers a dit…

TU gardes du style , j'aimerai bien écrire comme ça .ça me donne envie de m'y remettre de nouveau . Il ya des phrases qui doivent etre mises en mémoire . Chapeau l'herétique !

Anonyme a dit…

Quand les moustachues peroxydée se mêlent de politique, faut partir à la pêche ou astiquer son fusil.

nocif

hoplite a dit…

"Son petit visage fermé de gougnotte qui n‘a pas eu sa suffisance de gigot. "

ahh merci, l'abbé!!

Anonyme a dit…

Même remarque sur le gigot !
Cette femme porte la frustration sur le visage