jeudi 17 décembre 2009

"On ne naît pas femme on le devient. "

Le Credo féministe.
La plus grande ineptie, la plus abyssale des âneries qui fussent jamais proférées dans notre asile sublunaire.

Qui dévoile le pot aux rosses : le ressentiment essentiel, le désir de ne pas être ce que l'on est.
Plus encore qu'à la libido mâle, c'est une offense faite à l'intelligence.
Elle le fut d'ailleurs par la grande Sartreuse, grande amatrice de matrices et de gigots à l'ail.

Ceci expliquant sans doute celà.

-On ne naît pas femme, on le devient ?
- La Preuve.
Pour les amateurs.
Félix le chat

2 commentaires:

Anonyme a dit…

http://films7.com/videos/leo-ferre-les-femmes-lamour-les-animaux-les-chiens-et-les-chimpanzes-ces-gens-qui-savent-pas-

Anonyme a dit…

Mes petites amoureuses

Un hydrolat lacrymal lave
Les cieux vert-chou :
Sous l'arbre tendronnier qui bave,
Vos caoutchoucs

Blancs de lunes particulières
Aux pialats ronds,
Entrechoquez vos genouillères
Mes laiderons !

Nous nous aimions à cette époque,
Bleu laideron !
On mangeait des oeufs à la coque
Et du mouron !

Un soir, tu me sacras poète
Blond laideron :
Descends ici, que je te fouette
En mon giron;

J'ai dégueulé ta bandoline,
Noir laideron ;
Tu couperais ma mandoline
Au fil du front.

Pouah ! mes salives desséchées,
Roux laideron
Infectent encor les tranchées
De ton sein rond !

Ô mes petites amoureuses,
Que je vous hais !
Plaquez de fouffes douloureuses
Vos tétons laids !

Piétinez mes vieilles terrines
De sentiments;
Hop donc ! Soyez-moi ballerines
Pour un moment !

Vos omoplates se déboîtent,
Ô mes amours !
Une étoile à vos reins qui boitent,
Tournez vos tours !

Et c'est pourtant pour ces éclanches
Que j'ai rimé !
Je voudrais vous casser les hanches
D'avoir aimé !

Fade amas d'étoiles ratées,
Comblez les coins !
− Vous crèverez en Dieu, bâtées
D'ignobles soins !

Sous les lunes particulières
Aux pialats ronds,
Entrechoquez vos genouillères,
Mes laiderons.