En ce sens Alain Soral a raison de souligner que la puissance de l'Israël n'est pas dans l'État d'Israël seul. Que serait il sans le soutien matériel et moral de la diaspora, des média, aux Zétats-Zunis bien sur, mais aussi en France et ailleurs ? L'antisionisme gauchiste est périmé qui montre du doigt seulement les bouchers caschères qui trempent physiquement leurs mains grasses dans le sang. Les journalistes aux doigts tâchés d'encre sont tout autant des criminels.
Il faut rompre avec cette analyse du sionisme qui date du XIXème siècle, Israël comme "État colonialiste et sioniste."
Alors qu'il est la vitrine spectaculaire d'un projet bien plus englobant.
Le bourgeois ordinaire n’a d’autre religion que celle de son compte en banque. Hier volontiers antisémitique, aujourd’hui shabbat goyim, n’importe quoi, « pourvou qué ça doure »!
Ceux dont il s'agit ici, en plus de partager avec les autres bourgeois la conviction sacrée du coffre-fort, veulent passionnément quelque chose d'autre.
Ils ont ensemble une vision.
Celle d'un monde qu’ils veulent finir de façonner selon leur idée.
Ce projet n'est pas le "sionisme", mais la Domination dont l'Hollywood actuel donne une idée positive plus exacte. Sa Weltanschauung, si l'on veut. La plus titanesque entreprise de propagande pornographique, gynécocratique, iconoclaste à l'endroit de l'imagination et de l'imaginaire indo-européen, jamais conçue en notre enclos sublunaire.
Son fond profane, trafic et besoin pratique, demeure trivialement capitaliste. Mais son essence, fleurissant dessus la pourriture, est cela dont je parle. Ce qui se vend sous les étiquettes féministes, antifâchistes, antiracistes, etc.
Antinazisme magnifié, antinazisme capital et mystique.
2 commentaires:
Un commentaire, un de plus ou un de moins, cela changera quoi à la bêtise. La bêtise est humaine et l'humain est le seul à essayer de la nommer comme il se nomme d'ailleurs parcequ'il ne peut exister sans se nommer.Il n'ya rien de grave de se nommer en soi, cela devient grave lorsque on se nomme pour dénommer l'autre. Et c'est pour cela que je partage votre guerre et que c'est toute un plaisir de vous lire.
Je vous sent en guerre mon chère Félix !
Rassurez vous nous le sommes tous d'une manière ou d'une autre !
Je passe beaucoup de temps à relire vos précédentes interventions et je ne puis vous cacher que vous avez du talent !
on a plaisir à vous (re)lire !
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