mercredi 14 octobre 2009

Ben-Bidochon.

Dans une émission de gaz délétères intitulé “On va se gêner”- Europe 1, un répugnant gros porc, dont la pseudo protestation virile est tellement circonsice qu'elle possède toutes les caractéristiques d'une protestation religieuse, vient de ne pas se gêner pour roter à plein poumon l'ordure exhalée par l'épaisseur de son âme avec des râles muqueux, gras de foutre et d'argent.
Finalement il dit la même chose que l'autre, la Crotte-fine, mais avec des mots non couverts par l'intellectualité de façade de la Fine-crotte qui préfère déféquer son discours religieux irrationnel à base de théorie du complot antisémite.

Or donc, selon ce sale individu, une petite goyim de 13 ans est ontologiquement une petite salope.
"Elle n'a eu que ce qu'elle méritait", cette allumeuse : " elle faisait des photos à poil cette fille là,…avec la bénédiction de sa famille, elle touchait des dollars !" éructa ce beau  personnage.
"Rien ne ressemble plus à une jeune fille de 18 ans qu’une jeune fille de 13 ans"  renchérit le Beauf qui se sait au dessus des lois, et feint d'oublier que Paupol-en-ski, âgé de 45 ans, l'avait en plus convenablement droguée en guise de préliminaires.
Pourtant, il n'y a pas si longtemps, les cavités rectangulaires du poste étaient trop exiguës pour contenir l'indignation de cette même racaille des merdiats, mais en sens inverse cette fois, lors de l'affaire Monika Levinski !  Celle là, à 28 ans, fut décrétée pauvre enfançonne innocente, contrainte de sucer du Kiki Clintonien, et son porteur devenait la honte absolue du sexe mâle.
Parfois on peut douter que ces gens là, soient autres choses que des fictions, daemons laissant après eux un fumet de l'Enfer.

La hideuse et hennissante chienne de garde, Alonzo, a été sortie de sa niche, toutes gencives retroussées pour aboyer contre les hommes, en général, et contre l'"ordre machiste et patriarcal."
Elle le sait bien, pourtant, la chienne, que les Ben-ceci ou les Ben-cela, qui gardent avec elle le Désordre établi, sont les fourriers de la morale gynécocratique, les plus zélés promoteurs mâles du féminisme.
Au lieu de dire qui ils sont, précisément, ces sales types, violeurs, vulgaires et putassiers, elle accuse tous les autres mâles, s'en prenant à une soi disant "culture" prévalente chez eux, les rendant surs d'eux mêmes et dominateurs...
L''immémoriale suprématie des Grands Mâles blancs Morts. The dead white men.

Je viole les p'tites filles,
C'est la faute à Shakespeare,
J'encule les p'tits garçons,
C'est la faute à Platon.

Pourtant la gynécocratie porte en elle la pédérastie comme le capitalisme la guerre, comme la nuée l'orage. Nul n'est davantage équipé pour la prosternation devant Molloch, qu'un pédéraste.
La politique capitaliste, la politique sous le capitalisme, la politique du capitalisme, vient d'une Grande Partouze Pédomane inaugurale, les ballets roses et bleus coexistant avec les enfants de huit ans pourrissant chaque jour seize heures au fond de la mine.

2 commentaires:

robert8 a dit…

Ca va mieux on dirait. On sent l'energie qui revient.

Anonyme a dit…

Que de belles montées aux créneaux de la part de nos truculent(e)s "médiacrates ",eux qui depuis des lustres à coup de "gay pride", "love parade" et autres "coming-out" s'imaginent que le bon peuple accueille avec bienveillance et fessier grand ouvert la festive "merdonité " mondialisée ."Société libérale avancée" disait la crapule à particule ,avancée au sens où une viande peut l'être.