Ces derniers jours nous avons dû subir, en frémissant, à ces débats de casuistes sur la Sainte, l'Ineffable et miséricordieuse Capote Anglaise, aussi sacrée pour les laquais du latex, que l'est le pour vous, le Saint-Suaire.
L'abbé : Mais enfin que voudraient-ils qu'il fasse le Pape, hormis le Pape ? L'apologie de débauches de charcuteries, en enjoignant tout un chacun de céder à la luxure et de cavaler gaillardement à la gueuse et au gueux ?
Félix : On voit ça d'ici, le Pape beuglant : Aux glands! Forniquez et forniquez encore ! jusqu'à vous en faire péter le frein prépucial ! Fourrez ! Mais attention, fourrez en capote, hein ! chaussez vos pines de caoutchouc et sus! A l'anus! A la vulve! puis retour à l'anus! Soyez bi! Soyez tri (bades)! Au cul ! Tous, comme des Huns foncez au cul !
L'abbé : On sent que la matière vous inspire, mon fils. Vous seriez bien mieux dans ce rôle, que le Pape, qui se borne à rappeler les vérités simples de l'évangile. Qui correspondent si parfaitement à la situation, qu'on imagine mal pourquoi l'Église se priverait de les proposer à la multitude.
Félix : En attendant, monsieur l'abbé, vos confrères, toute la prétraille d'Hexagonie, s'est désolidarisée en masse du Saint Père.
L'abbé : Parce que, mon fils, elle n'existe qu'en tant qu'elle rampe, traînant l'Auguste Face dans la poussière, psalmodiant les insanités autorisées par la canaille médiatique.
A bove ante, ab asino retro, a stulto undique caveto.
Félix: Amen
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