mardi 23 juin 2020

Abeilles, flics, tiques et gauchistes

J'ai pu donner l'impression durant la mise aux arrêts domiciliaire, de haïr particulièrement les policiers, les Patrouilleurs Officiels du Respect du Confinement, les PORC.  Mais tout le monde est devenu un flic pour tout le monde. Les raclures s'habillent, portent les couleurs, ont l'air, sont des flics auxiliaires. Depuis le Masque Obligatoire c'est caricatural.
Et dans un monde de flics, les policiers de profession finalement sont moins méprisables que les suppléants civils, en ce qu'ils assument ouvertement cet état. C'est un peu comme chez les néo-femmes, les pouffiasses du porno.
Certes, pour les révoltés en jaune ce sont les policiers pro qui leur ont crevés les yeux. Mais ils ne doivent pas oublier la haine recuite de la valetaille versaillaise, de la négritude à cran, de la féministerie racisé.e.s !   La majorité de la Tourbe boboïsante haïssait les GJ jusqu'au crime, mais comme ils sont lâches et inconsistants c'est leur élite qui est allé au charbon, les flics professionnels. Ainsi, de toute l'excrémentalité française la police reste la partie la plus consistante.

Feindre être victime de la police quand on bénéficie au contraire de toute la mansuétude maternelle de l'Etat enculiste, n'est qu'une pose de tributaires qui veulent se donner l'allure des indomptables.  Ce qu'ils veulent c'est continuer à chier ici sans rien foutre d'autre que la merde, si je puis m'exprimer avec cette élégance un peu surannée.

Chacun des petits rouages de la société est occupé à entraver la liberté et l'aisance des plus indomptés, des plus irrévérencieux, des plus libres. La liberté est un goût d’aristocrate.
Plus les hommes libres disparaissent, plus la racaille servile augmente en proportion.  On parle de la disparition des espèces animales. On oublie de dire qu'elles sont remplacées par d'autres, comme les abeilles par les frelons asiatiques.


Il n'y a plus d'abeilles dans le monde où Monsanto fait son miel, mais on trouve profusion de tiques et de moustiques; particulièrement de moustiques tigres, ce fléau asiate.  Ces derniers prolifèrent à cause de la disparition des mésanges bleues, des martinets et des hirondelles, leur prédateurs. Mais le ciel est noir de pigeons fienteux, ces « rats volants ».
 Il n'y a plus non plus, de papillons, de libellules, mais les blattes et les scolopendres connaissent une croissance numérique exponentielle, aux dires des scientifiques.
Il n'y a presque plus de loups mais une pandémie de clébards, et parmi eux, des plus pourris, comme les Pitt Bull et leurs maîtres.  Il n'y a plus de mineurs, les anciennes Gueules noires, mais le prolétariat décimé sera remplacé par leurs homonymes, les mineurs serineurs.
Voyez dans l'espèce humaine, les races qui disparaissent et celles qui prolifèrent, et vous aurez la cause finale des sombres bouffonneries du samedi, qui semblent destinées à se rejouer, bis repetita placent, et remplacer ( grandement) les productions fluorescentes en gilet.

L'extraordinaire parenthèse du Conconfinement et du Masque marque la transition entre un état de contestation sociale en un état de désordre établi. La noire submersion remplace l'incandescence éteinte.  Et l'on voit fleurir dans ces sombres saturnales le poing d'Optor comme aux printemps arabes et aux étés ukrainiens.


Otpor signe son Soros aussi sûr que Totor signait son Hugo.

Rien de plus grotesque à cet égard que les gogochistes qui ont fait les fines gueules devant les GJ, et qui accourent maintenant au son de la trompette de Soros et de son Negro Spiritual.
Dansez maintenant !




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