dimanche 19 janvier 2020

Dans le Marais humide de la gynécocratie.

J’ai toujours apprécié Gabriel Matzneff, comme écrivain.
Il vient d’être la victime collatérale de la pandémie de dénonciation des gorets par de petites cochonnes qui les [a] valaient bien. Avides de succès, elles rêvaient toutes de devenir les favorites en titre de Ben Cinema. Hélas, ce dernier s’est mis à grogner derrière d’autres derrières plus roses. D’où leur ressentiment. Mais le féminisme va leur offrir le moyen d’assouvir leur vengeance avec le déballage des turpitudes. Faire les intéressantes et faire coffrer leurs zex, que demander de plus ?
Merveille du féminisme qui vous ressuscite la pudeur, comme l’hyménoplastie vous recoud un hymen flambant neuf !

 Au début les dommages de ce mouchardage suidé ne frappaient que les Porcs d’élection, les grands mâles dominants de nos temps dominés. Bien fait pour leur groin, mais ce n’était qu’un début ! Bientôt nous deviendrons tous des porcs en puissance.

Matznzeff marque la transition.

On lira ceci. 

Je reste insoucieux de tous ces rapportages, vivant à l’écart des foules et des houles, loin de tous les relents de moules avariées et des morues racisé.e.s.
En réalité la norme c’est la répression libidinale masculine, la haine de la liberté du sexe prétendument fort. La seule licence accessible au plus grand nombre ce sont les licenciements. Ce que veulent les féministes, mais c’est le pénal ! "L’Envie du pénal", comme l’a dit Philippe Murray.
 La haine de Don Juan, et de ceux que l’on croit tel. Sauf lui les hommes sont naturellement soumis à la femelle. Lire la plupart des commentaires à la suite de la mise au point d’Alain Soral sur l’affaire Matzneff.
Les solitaires sont condamnés, leur race bientôt éteinte, il n’y a plus pour ce monde pitance que pour la chiennerie.


11 commentaires:

Marie-Charrue a dit…

Un spectre hante l'Eunuque : le spectre du Féminisme.

L'abbé Tymon de Quimonte a dit…

Il y a une ruse typiquement femelle, dans le soubassement du féminisme. Un chantage à la puissance virile. La « domination masculine », ne procéderait que d’une impuissance devant la "sexualité de la Fâme", insatiable et illimité. Seuls les Vrais Mâles sont féministes.
Il suffit de les voir, ces mâles attelés à la Charrue féministe, ils sont forts comme des Bœufs !

Marie-Charrue a dit…

Je viens de lire votre CCCP, cher Abbé, et j'avoue avoir été foudroyé par le chapitre "Natifs et Tondus". Votre analyse du capitalisme sénile est d'une clairvoyance rare. Marx le dit clairement : "... oder mit dem gemeinsamen Untergang der kämpfenden Klassen", "...ou avec la déchéance commune des classes en lutte." Mais permettez-moi cette digression : que pensez-vous du premier chapitre du livre I du Capital ? Comment concevoir le fétichisme de la marchandise ? Son caractère mystique ? Vous semblez être un des rares, avec le cousin Francis, à pouvoir l'expliquer dans un langage immédiatement intelligible. Mes salutations distinguées.

L'abbé Tymon de Quimonte a dit…

Les miennes Marie-Charrue !

Anonyme a dit…

Paradoxalement, il n'y a que les misogynes pour être vraiment classe et élégant avec les dames.

a.c

L'abbé Tymon de Quimonte a dit…

Oui certainement; c'est à cause de la distance qui nous en sépare.

Galla...Le Galleux a dit…

Ah, ah, ah…
Le féminisme, ce vide ! Ce trou… avide.. Affreux !
Une chose que je ne comprends pas… Le féminisme est une horreur, pourquoi alors ne aps être pédé ? En ce qui me concerne j'ai trop d'expérience dans tous les domaines… et seule la chasteté me sied.

Galla...Le Galleux a dit…

Le féminisme, c'est la mort ! Il est déicide…

Anonyme a dit…

Vous avez raison, Monsieue Niesche, la distance. En d'autres termes je répondrai à:" -Qu'est ce que la civilisation?
- Le travail et le vouvoiement...le reste nous est inutile.

Cordialement Monsieur Niesche

a.c

L'abbé Tymon de Quimonte a dit…

Au Gallinacé. Mon vieux, pédé, on peut pas l'être sur commande. De plus il faut avoir [eu] du goût pour F pour bien pénétrer sa nature ...

Galla...Le Galleux a dit…

Du goût pour F ?