jeudi 13 août 2015

Sigismund & onfray

Le Juif mussolinien , cocaïnomane et misogyne, Sigismund n'a pas la cote. C'est le moins que l'on puisse dire. Grâce à lui, le Gros Con Onfray est en passe de devenir l'Idole des jeunes finkelcrotiens.

Sigismund qui révérait Schopenhauer, Nietzsche et Otto Weinninger, 
L'antisémitisme est une chose trop grave pour être laissé à l'extrême droite. 

Je sais que le Bonze Onfray a puissamment renversé sa statue. L'a déboulonnée. Et décrié le répugnant personnage qui servit de modèle pour ce Bronze, comme un immonde « misogyne, cocaïnomane et admirateur de Mussolini. » Toutes choses indéniables.  Et qui a forcé chez tous, dans la puissante fachosphère, l'admiration. Non parce que Freud était misogyne, cocaïnomane et admirateur de Mussolini. Non !  Parce qu' Onfray a déboulonné un youpin. Personne ne se tenait plus de joie. Je vous entendais gueuler jusque dans mon blogue.  Bandes d'abrutis pensais-je. J'avais pas osé ramener ma petite libido sciendi, à ce moment, avoué que j'estimais un million de fois plus le Sigismund, que cette platitude féministe, d'Onfray.  Le Nitche de France Anus.


Il faut quand même le reconnaître l'imbécillité classique fasciste est restée.
Au fond c'est la dégénérescence gauchiste qui les a fait passer au premier plan. Car rien n’égale aujourd'hui en profondeur la connerie des antifa. On atteint avec eux les cimes. 
Mais au temps béni des coups de triques, les rouges avaient ceci de supérieur au bruns qu'ils volaient plus haut.   Mais leurs héritiers sont tombés dans cette fange, aussi les demi-habiles fa passent maintenant pour des parangons.
Rappel des propos à l'usage des jeunes générations.


"Derrière l’envie de pénis se révèle l’amertume hostile de la femme envers l’homme, amertume dont les productions littéraires des ‘émancipées’ présentent les signes les plus évidents." Sigismund Freud (Tabou de la Virginité, 1918)

"C’est un fait connu, et qui a donné aux hommes ample matière à récrimination, que souvent le caractère des femmes s’altère singulièrement une fois qu’elles ont renoncé à leur fonction génitale. Elles deviennent querelleuses, tracassières et ergoteuses, mesquines et avares ; elles font ainsi montre de traits d’érotisme sadique anal qu’elles ne possédaient pas auparavant, durant leur féminité."

"Le secret de l’imbécillité physiologique des femmes réside dans le fait qu’elle est une conséquence du refoulement sexuel. Comme on leur interdit de penser à ce qu’il y a de plus valable pour elles, l’activité de la pensée en général n’a plus de valeur du tout."

"La femme a le sens de la justice peu développé, ce qui s’explique par la prédominance de l’envie dans sa vie psychique [...] Ses intérêts sociaux sont moins développés et ses capacités de sublimer ses passions sont plus faibles que ceux des hommes."

Même si la femme "doit être jugée avec indulgence et tolérance dans les domaines où elle est en retard sur l’homme", "Il est vrai, dit Freud, que la femme ne gagne rien à étudier et que cela n’améliore pas, dans l’ensemble, la condition des femmes. En outre, la femme ne peut égaler l’homme dans la sublimation de la sexualité"

"L’infériorité intellectuelle de tant de femmes, qui est une réalité indiscutable, doit être attribuée à l’inhibition de la pensée, inhibition requise pour la répression sexuelle."

"[...]l’enfant ne se comporte pas autrement que la femme moyenne inculte, chez qui subsiste la même disposition perverse polymorphe. Dans les conditions habituelles, celle-ci peut rester à peu près normale sexuellement, mais sous la conduite d’un habile séducteur, elle prendra goût à toutes les perversions et en maintiendra l’usage dans son activité sexuelle. Dans son activité professionnelle, la prostituée met à profit la même disposition polymorphe et, par conséquent, infantile ; et, si l’on considère le nombre immense de femmes prostituées et de celles à qui il faut accorder des aptitudes à la prostitution bien qu’elles aient échappé au métier, il devient en fin de compte impossible de ne pas reconnaître dans l’égale disposition à toutes les perversions un trait universellement humain et originel."



3 commentaires:

Anonyme a dit…

Freud était un génie.
Nietzsche l'aurait adoré. C'est certain. C'est ce qui agace Michel.

a.c

Anonyme a dit…

Un vrai hommage pour Sigmund.
Il le mérite vraiment.

https://youtu.be/wt8N36Djrn8?si=zGAx8aaKxu4EloNq

a.c

Anonyme a dit…

Il a rien déboulonné du tout. Roustang avait déjà depuis 1976 fait un travail énorme avec "un destin si funeste." Et autrement sérieux tout en gardant un réel respect pour le maître. Rien à voir avec le livre d'un ado pour ado comme " crépuscule d'une idole."

a.c