Toute est nuit déjà au matin, Bien inutile que sonne au soir le tocsin. Le sapin est connu pour sa teneur en tanin. Pas même qu’il se préserve enfin Pour préserver une chute de rein Dérobée à un regard sibyllin Qui a juré sur le jour cristallin, Qu’il tuera la nuit son amante de sa main. Main fine lame d’un désir éteint Par la poudreuse des hivers en déclin N’en appelant plus aux printemps Encore moins aux semences du temps Qui fécondent les dalles des fins. Toujours ainsi toujours serein Pour mourir de l’ingratitude à son sein. Le scarabée
Il ne reste plus qu'à revêtir le cilice couvert de cendre pour la mise en quarantaine. " Moi, j'aimerai que la terre s'arrête pour descendre" Et que la nuit vienne et vite.
On dit aussi: « Que lorsque la vie n’a plus de prix, la mort a son prix » Comme on paye la mort avec la vie, il faut la vivre contre vents et marées. le scarabée
La perte de contrôle, émanant des orgueils jouissifs, se transforme toujours en chaos; tristement inéluctable tout cela. A force de regarder des "y a t'il un pilote dans l'avion"... et bien non, il n'y en a plus... z'ont plus l'étoffe. Vont refaire du canon assourdissant.
9 commentaires:
qué pasa?
Quand les vermisseaux ont consommé le gigot... les mouches!
Nocif
Toute est nuit déjà au matin,
Bien inutile que sonne au soir le tocsin.
Le sapin est connu pour sa teneur en tanin.
Pas même qu’il se préserve enfin
Pour préserver une chute de rein
Dérobée à un regard sibyllin
Qui a juré sur le jour cristallin,
Qu’il tuera la nuit son amante de sa main.
Main fine lame d’un désir éteint
Par la poudreuse des hivers en déclin
N’en appelant plus aux printemps
Encore moins aux semences du temps
Qui fécondent les dalles des fins.
Toujours ainsi toujours serein
Pour mourir de l’ingratitude à son sein.
Le scarabée
Très drôle tout ça.
Il ne reste plus qu'à revêtir le cilice couvert de cendre pour la mise en quarantaine.
" Moi, j'aimerai que la terre s'arrête pour descendre"
Et que la nuit vienne et vite.
On dit aussi: « Que lorsque la vie n’a plus de prix, la mort a son prix »
Comme on paye la mort avec la vie, il faut la vivre contre vents et marées.
le scarabée
Alors l'abbé...résigné ?
La perte de contrôle, émanant des orgueils jouissifs, se transforme toujours en chaos; tristement inéluctable tout cela.
A force de regarder des "y a t'il un pilote dans l'avion"... et bien non, il n'y en a plus... z'ont plus l'étoffe.
Vont refaire du canon assourdissant.
Nochiffre
Elle ne vient jamais la nuit, pas même aux aveugles, elle est toujours bruissante derrière les yeux, c' est en vain que tu la fuis.
Orfeenix est re-ve-nue comme Mathilde !
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