jeudi 20 novembre 2014

Sigismund

un peu de physiognomonie s'il vous plaît

Le féminisme fait croire au Mâle qu'il court après la Femelle alors qu'elle l'appelle.
Et quand elle le sollicite comme aujourd'hui, avec une rare obscénité, il faut une répression redoublée. Quand la femme est tenue en tenue décente l'homme se passe d'elle aisément. Les Arabes, chez eux, le prouvent. Egalement les couvents d'hommes, exempts de l'impureté fondamentale des moniales cloîtrées.
A contrario la gynécocratie exige l’État policier. Par sa constante Envie du pénal la volonté de puissance femelle révèle son secret.
Sigismund est à cet égard un maître explorateur de la psyché féminine.
 Mais le Juif mussolinien, cocaïnomane, amateur de cigares et misogyne, Sigismund n'a pas la cote. C'est le moins que l'on puisse dire.
Grâce à cette aversion, le poussah féministe, le "Philodophe" gonflé à l'hélium médiatique Onfray est en passe de devenir l'Idole des jeunes de la dissidence !

En vérité Onfray, sans le savoir, n'a fait que reprendre une partie de la critique contre Freud d'autres psychanalystes Juifs, comme Fromm ou Reich, gauchistes et féministes, qui ont inversé l'analyse freudienne.
Pour Freud, (Tabou de la Virginité, 1918):
"Derrière l’envie de pénis se révèle l’amertume hostile de la femme envers l’homme, amertume dont les productions littéraires des ‘émancipées’ présentent les signes les plus évidents."

Pour Fromm et Reich au contraire c'est l'amertume des mâles envers la femelle qui est patente et qui révèle un complexe d'infériorité de l'homme : "sur le terrain de la fécondité : ils refoulent leur infériorité biologique, leur incapacité à faire des enfants, à les concevoir, les porter, les mettre au monde. Voilà pourquoi, en compensation, ils affirment leur pouvoir en soumettant les femmes."
Ainsi c'est l'homme qui souffrirait d'être homme, de n'être pas aimé, cependant que la femme ne souffre que d'un manque de puissance sociale !
 C'est cette Psychanalyse risible qui domine aujourd'hui, et que l'Onfray se garde bien de critiquer, nullement celle, toujours dérangeante, de ce bon vieux Sigismund.

"Derrière l’envie de pénis se révèle l’amertume hostile de la femme envers l’homme, amertume dont les productions littéraires des ‘émancipées’ présentent les signes les plus évidents." Sigismund Freud (Tabou de la Virginité, 1918)

"C’est un fait connu, et qui a donné aux hommes ample matière à récrimination, que souvent le caractère des femmes s’altère singulièrement une fois qu’elles ont renoncé à leur fonction génitale. Elles deviennent querelleuses, tracassières et ergoteuses, mesquines et avares ; elles font ainsi montre de traits d’érotisme sadique anal qu’elles ne possédaient pas auparavant, durant leur féminité."

"Le secret de l’imbécillité physiologique des femmes réside dans le fait qu’elle est une conséquence du refoulement sexuel. Comme on leur interdit de penser à ce qu’il y a de plus valable pour elles, l’activité de la pensée en général n’a plus de valeur du tout."

"La femme a le sens de la justice peu développé, ce qui s’explique par la prédominance de l’envie dans sa vie psychique [...] Ses intérêts sociaux sont moins développés et ses capacités de sublimer ses passions sont plus faibles que ceux des hommes."

Même si la femme "doit être jugée avec indulgence et tolérance dans les domaines où elle est en retard sur l’homme", "Il est vrai, dit Freud, que la femme ne gagne rien à étudier et que cela n’améliore pas, dans l’ensemble, la condition des femmes. En outre, la femme ne peut égaler l’homme dans la sublimation de la sexualité"

"L’infériorité intellectuelle de tant de femmes, qui est une réalité indiscutable, doit être attribuée à l’inhibition de la pensée, inhibition requise pour la répression sexuelle."

"[...]l’enfant ne se comporte pas autrement que la femme moyenne inculte, chez qui subsiste la même disposition perverse polymorphe. Dans les conditions habituelles, celle-ci peut rester à peu près normale sexuellement, mais sous la conduite d’un habile séducteur, elle prendra goût à toutes les perversions et en maintiendra l’usage dans son activité sexuelle. Dans son activité professionnelle, la prostituée met à profit la même disposition polymorphe et, par conséquent, infantile ; et, si l’on considère le nombre immense de femmes prostituées et de celles à qui il faut accorder des aptitudes à la prostitution bien qu’elles aient échappé au métier, il devient en fin de compte impossible de ne pas reconnaître dans l’égale disposition à toutes les perversions un trait universellement humain et originel."

Rappelons que Sigismund admirait Weininger. Il ne s'agit pas de prendre parti pour ou contre la théorie psychanalytique.  Mais de comprendre que  Onfray est LE Penseur de la Médiocrité, monsieur Homais fait philosophe.
Bien sûr qu'il faudrait des "Universités Populaires,  comme le voulait Georges Politzer, pour vulgariser la Philosophie, sans quelle devienne vulgaire comme avec Onfray, car ce qu'il enseigne c’est la vulgarité de penser.







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