lundi 7 octobre 2013

Rock'n'roll Suicide


Ce dessin de la semaine de notre ami Sani, broyeur d'idées reçues, me fait remémorer une impitoyable statistique, publiée par « Études et Statistiques » à la rubrique "Suicides et tentatives de suicides" que j'avais lu sur le site de l'OMS.
Mais qui donnait des chiffres autrement plus âpres :
→ Les femmes (F) font cinq fois plus de tentatives de suicides que les hommes (H) !
→ En revanche, leur taux de réussite est douze fois moindre que ceux de H !  

Taux de décès par suicide pour 100 000 habitants, en 2010 en Ex-France.

H : 36,7  %
F :  2,3  %

Fascinant, non ?

Même le très féministe site du Ministère des affaires sanitaires et sociale sis à l'Entresol Touraine, qui cache très soigneusement la disparité H.F, dans son Etat des lieux du Suicide, est obligé de reconnaître, [quand même !] ceci :
« Si les victimes du suicide sont pour près des trois quarts des hommes, les tentatives de suicide sont majoritairement le fait des femmes. 65 % des tentatives de suicide ayant conduit à une hospitalisation concernent des femmes, avec une prédominance des intoxications médicamenteuses. »

Mesure-t-on bien ce que cela veut dire ?
Que F ne se suicide pas. Ou peu. Ou presque pas.  F fait semblant. F feint le suicide. 
H seul se suicide.
Le suicide, tout comme le génie, la testostérone, le ramassage des ordures ménagères, les lourdes condamnation judiciaires, etc., est une caractéristique spécifiquement masculine, une distinction du chromosome Y. 
Les exceptions ne confirmant que ces règles douloureuses.
La fameuse Tentative de Suicide Femelle, la TSF, ressortit, une fois encore, une fois de plus, à son Hystérie.

Entretien avec Philistine

Comme toutes ses congénères, cette chère Philistine Stringulat rumine.
Elle fait partie de ce vaste troupeau de mammifères femelles diplômés qui remâchent leur nourriture spirituelle, mal-absorbées par la gélatine sise dans leur petit crâne, et qui est régurgitée après transit dans le canal musculo-muqueux qui s'étend entre deux orifices. Là, elle subira une première transformation idéologique, pour être dégorgée finalement en cette bouillie inepte mêlée de sucs de moraline, ce qu'on appelle "Pensée" dans notre femelle Bétaillère.


Comme j'offrais un jour ces chiffres misogynes à sa rumination mamellaire et pensive, notre amie abonnée à Marie-Claire, après avoir tenté un vain : "en fait, les statistiques okay on peut leur faire dire ce que l'on veut, c'est clair ! ", devant l'évidence fémininement non-funèbre des chiffres funéraires, m'a flanqué cet argument imparable par la figure :
— En fait les nanas, une fois encore, sont plus courageuses que les mecs, clairement !

Comme je restais interdit devant la puissance de l'argument, elle condescendit à cette explication :
— En fait, il faut beaucoup plus de courage pour persévérer dans l'être, que pour fuir ses responsabilités dans le néant ! 

Moi (faisant mon petit abbé) : Or donc, vous voulez dire  Perseverrare humanum est, occidere diabolicum ? [Persévérer (dans l'être) est humain, mais s'occire diabolique ]

Philistine : En fait se suicider est un truc de gros nuls !

Moi : Pourquoi alors feindre ? Pourquoi tant d'émissions de TSF ? Si ce n'est pour attirer l'attention sur soi.

Philistine  (après une longue moue dégoûtée) : En fait, c'est pour faire comme les mecs ! Puisque c'est à ce prix qu'une femme peut espérer exister un peu, c'est clair.

Moi : Quel prix ? Feindre avoir voulu mourir, pour mieux se faire aimer ?

Philistine : Une Fâme sera toujours du côté de la Vie en fait.

 Moi :  Les 300 000 avortement annuel en Ex-France en témoignent.
Du côté du vit, je dirais plutôt. Du vit comme godemiché à pattes, bande et tais toi.  C'est pour ça que votre chiourme viriloïde s'acharne à faire de tous les mâles des glands. D'où toutes les têtes de nœuds.

Philistine : Pourquoi tant de haine, en fait ?

Moi : Moi ? Vous voulez rire, je suppose, vous qui admirez tant ces Femen qui suintent la haine par tous leurs orifices !
Au fait, ces gentes dames s'affirment tout le temps comme « des guerrières[sic]. » Or si l'on en croit le Bushido (la voie du guerrier), le suicide reste le seul honneur du vaincu.
« Le vrai courage consiste à vivre quand il est juste de vivre, à mourir quand il est juste de mourir »

Philistine : En fait, au contraire, les Femen ont superbement moqué le geste de samouraï de monsieur Venner qui s'est fait CharlieHebdo à Notre-Dame.  

Moi : Hara-kiri vous voulez dire ?

 Philistine : Oui ! Ce truc répugnant, maso à donf !

 Moi : En vérité Dominique Venner  ne s'est pas ouvert le ventre. Il a fait Seppuku en Occidental.

Philistine : En fait, ces Pukuku, ça pue du cul, passez moi l'expression. Ces Samouraï machos étaient tous des homos refoulés, comme Mischima, en fait. C'est pour ça qu'ils avaient besoin de réduire les femmes au rôle inférieur de Geishas, putes ultra-soumises.

Moi : Je ne vois pas le rapport, sexuel, là.

Philistine : Ça veut dire qu' en fait, tous ces machos misos ont peur de la sexualité de la Fâme ! hihihi ! 

 Moi : Comment peut-on avoir peur de quelque chose qu'on a pu si aisément dominer, domestiquer, réduire à la servitude, et cela durant des millénaires et des millénaires ?  Voilà qui est incompréhensible. 

Philistine : pauvre macho ! etc etc.....

Cet avis de Philistine, classique chez la femelle, et parfaitement comique par son chauvinisme de sexe remarquable, devient franchement écœurant proféré par son pendant masculin.  Pourtant les dieux savent si il l'est !
"Le cul à plume vaut la main au cul. - Quel siècle à cul ! -  Après, la domesticité mène trop loin."
Passons.

Conclusion

Or donc, on peut le dire sans rémission, en jupe ou en pantalon  F ignore le suicide. Son truc à elle c'est la tentative de suicide, la fumeuse TS femelle bien connue des psychiatres. 
Mais pourquoi persister à laisser ce Simulacre, dans la nomenclature "Suicides" ?
Il faudrait plus franchement opter pour STS, simulation de tentative de suicide, ou FTS,  fausse tentative de suicide.
Il y a la réalité et il y a le Cinéma.

Une dernière chose encore : la minorité de malheureuses F qui arrivent à se tuer accidentellement, lors d'une vraie fausse-tentative de suicide ratée, meurent presque toujours d'une manière moins âpre que H.
C'est aussi ce que révèle le site du  Ministère des affaires sanitaires et sociale, à la rubrique Modalités dans son "Etat des lieux du suicide" en Touraine et ailleurs.

Les suicidaires résolutions
Qu'entre messieurs nous chérissions :
Le revolver, la corde, les lions 
Se jeter sous un train, ou d'un pont,
Sont haïes de nos sœurs suicidaires;
Gaz de ville, pilules d'apothicaires,
À elles ces méthodes plus sereines,
La vaine ouverture des veines.
Félix

25 commentaires:

Antan a dit…

Mais alors, les transsexuelles se suicident-elles en tant que H ou en tant que F ?

Antan a dit…

Je complète pour être plus précis :
"Mais alors, si les transsexuelles non opéré(e)s se suicident, est-ce en tant que H ou en tant que F ?"

PC a dit…

C'est aussi le dessin qui m'a le plus interpelé cette semaine, on est là au cœur du vice féminin. Les salopes ! À se demander si elles souffrent vraiment parfois. Et quand elles pleurent ? 9 fois sur 10 c'est la même histoire. Ne surtout pas leur donner l'attention qu'elles quémandent par ce petit chantage ignoble. Ou bien en remettre une couche ! Alors là vous vous assurez sa fidélité éternelle, pire son addiction, car un autre vice intervient : la masochisme ! Ou quelque chose comme le syndrome de Stockholm. Je parle en connaissance de cause.

orfeenix a dit…

Sur un plan psychanalytique, le suicide est la dernière étape de la psychose et de la dépression, n' est pas Socrate qui veut.Elles trouvent peut être des solutions avant d' en arriver là, la définition de l' intelligence , c' est l' adaptabilité.Avec votre raisonnement, les seuls hommes se trouvent dans les cimetières, laissant la place aux suprématies contre lesquelles ils ont lutté de leur vivant.Le suicide est une offense à la création, je l' aime bien votre Philistine.

L'abbé Tymon de Quimonte a dit…

moi aussi je l'aime bien, d'ailleurs elle vous emprunte beaucoup.
Et comme elle vous passez à côté de mon propos avec superbe, cette mauvaise foi et cette nervosité si féminine.
Chère, je ne fais pas l'apologie du suicide. Et certainement pas comme résolution de douleurs affectives. (Pour la voie du guerrier c'est une autre histoire.)
Ce que vous n'expliquez pas c'est pourquoi les femmes font 10 fois plus de tentative de suicide !

esprit-i-monde a dit…

Ou alors est-ce "taux de décès par tentative de suicide"

esprit-i-monde a dit…

Mon père me disait avec un sourire pincé: "ce sont toujours les mêmes qui se suicident".

esprit-i-monde a dit…

Au cinéma, quand je décèle un lapin de perchman dans le coin de l'écran, ou une Rolex au poignet d'un soldat romain, je ne quitte pas forcément la salle en grommelant... Je persiste laissant une autre chance au réalisateur... ou m'informe du générique complet (qui permettent entre autres de déterminer qui finance le suppositoire) pour ne pas tomber dans la même erreur.

esprit-i-monde a dit…



On sait pourquoi les mamans s'occupent d'étirer le prépuce de leurs petites progénitures mâles. imaginez que ce soient des canards qui le fassent... Pauvres canards!

orfeenix a dit…

En effet je n' ai pas d' explications, n' en ayant jamais fait, peut être suis je une concernée potentielle des deux pour cents...Mais pour une fois je ne suis pas énervée et je n' ai pas l' intention de quitter la salle, on peut discuter sans en venir au mains, quoiqu'il me semble préférable de mourir pour des idées l' épée à la main pour plagier votre chouchou chanteur.

esprit-i-monde a dit…

Qui croyez-vous qui saute le premier devant un obstacle physique?.. C'est cela qui à déterminé l'ancienne position du mâle et poussé à prendre des directives pour le bien de sa famille, de sa tribu.
Le bouton poussoir et la direction assistée participent à renverser cette situation; mais ce sont toujours des hommes de bonne volonté qui inventeurs naïfs scient leur propre branche et induisent ces changements, futurs prisons.

L'abbé Tymon de Quimonte a dit…

Après avoir lu ça :

"On sait pourquoi les mamans s'occupent d'étirer le prépuce de leurs petites progénitures mâles. imaginez que ce soient des canards qui le fassent... Pauvres canards!"

Juste après Orfeenixe : "le suicide est la dernière étape de la psychose."

On se prend à redouter le pire !

esprit-i-monde a dit…

Ben comme tu devrais le savoir, cher abbé, une grande part du conditionnement sexuel mâle provient de ce geste anodin... probablement dicté par mère nature qui sait tout.
En tout cas ces une piste offerte gracieusement.

Par No pif no sens

esprit-i-monde a dit…

Cher abbé, cette ligne ne me semble pas correcte: Taux de décès par ("tentative de" suicide) pour 100 000 habitants, en 2010 en Ex-France.

H : 36,7 %
F : 2,3 %

"Je pense que les femmes se suicide moins par leur propension, inclination naturelle à toutes les formes de soumission.
Dans le fond, il s'agit d'une sorte de tolérance à la douleur".

Dans ce système aux valeurs tronquées, trop éduqué et sensibilisé par des femmes et la féminisation, l'homme se rendant compte de son fourvoiement émotif et plus violemment réactif en passera par le suicide. "50 pour cent des dépressifs" en arrive tôt ou tard au suicide; sachant aussi que les femmes se prêtent plus aisément à l'usage d'anti-dépresseur et autres cachous durant souvent leur vie entière.

esprit-i-monde a dit…

Il faut dire l'abbé que la plupart des hommes qui se suicident ne le font pas par honneur et combat, mais par déception et faiblesse vulgairement personnelle.
Depuis que j'ai frôlé de très près la mort et suite au répit qui me fut offert, j'ai accepté d'aller jusqu'à la fin du spectacle afin d'en avoir le complet sens.

J'ai aussi pu constater dans ma petite vie d'idiot inutile, que la plupart des suicidaires n'étaient pour la plupart que centrés sur leur seule existence... et débordaient d'égotisme pour plonger largement dans l'égoïsme.

Je leur conseille à tous de pratiquer la bicyclette (recherche élémentaire d'équilibre).

L'abbé Tymon de Quimonte a dit…

"Si les victimes du suicide sont pour près des trois quarts des hommes, les tentatives de suicide sont majoritairement le fait des femmes."
Ministère des affaires sanitaires et sociale.

esprit-i-monde a dit…

Et d'après ce même Ministère le taux de suicide en France est, il faut le souligner de 40 pour cent supérieur à la moyenne européenne.
Ce qui traduit un grand malaise en ce moment en France.

esprit-i-monde a dit…

Le saviez-vous, qu'en Allemagne quelqu'un qui se fait tué en traversant une autoroute "et peut-être même une voie rapide" est considéré comme suicidé et repris dans ces statistiques?

esprit-i-monde a dit…

On le sait que la Ô faible femme utilise tout un attirail de moyens comme souvent ce chantage du suicide... j'ai connu tout cela. Mais nombreuses aussi sont passées à l'acte irréversible, non sans avoir donné quelques avertissements préalables.
Je ne puis tirer aucune conclusion définitive de cet état de fait, sinon qu'elles ne possèdent pas (ce que souvent elles ignores) un système nerveux adapté aux rôles dits modernes et bien trop agressifs que ces tordus du pouvoir veulent absolument leur faire tenir... en les éloignant de plus en plus de leur rôle primordial qui est de construire des petits d'hommes plus libres demain.
Beaucoup de femmes aiment les activités et agitations zoociales (au début surtout!) en attendant celui qui les libèrera de cette contrainte qui fini par étouffer leur véritable nature, les empêchent de l'être... "femme".

Beninho a dit…

Ces sacrées gonzesses, toujours opérationnelles pour l'émo-SION, une hémorragie d'âneries. Parmi celles-ci ces (in-)fameuses tentatives. Ca excite, ça permet d'augmenter le débit de ragots et de mégots, bref c'est féminin et le médecin y gagne son pain.
Quelle fin des temps! "L'avenir c'est la femme" disent les normo-fûtés. Eh bien si elle doit nous piloter la prévention et la raison voudraient qu'on lui ôte la pile.

Anonyme a dit…

Entre les suicidés H et les suicidés F, la marge est plus étroite qu'il n'y paraît.
Pour les femmes, on peut rajouter les suicides non déclarés, ou non répertoriés comme tels.
Des personnes, en bonne santé mentale, n'ayant jamais pris de cachou et n'ayant jamais eu de velléités suicidaires mais qui, pour des raisons x, en arrivent à la douleur d'exister et en se supportant dans l'existence, par un abandon de soi, mauvaise hygiène de vie, imprudence, etc... en arrivent à leur insu a contracter accidents ou maladies graves pouvant entraîner la mort.
Bien que moins spectaculaire que la dague ou le pistolet chez l'H mais pas moins héroïque, ce passage à l'acte indirect est tout aussi suivit d'effet. L'homme, plus lâche, ou plus courageux, tout dépend ou l'on se place, ayant plus de difficultés à supporter l'adversité en arrivera à une soluSion plus radicale
Quant aux TSF des transsexuelles citées plus haut , elles sont plutôt a classer en tant qu'H. Les transsexuelles non opérées n'ont aucune raison de se suicider.
Cette intéressante recherche ne serait pas complète si elle ne nous conduisait à ce questionnement :
Sommes nous là dans un vrai débat de faux cons, ou l'inverse ?
Marlène

Anonyme a dit…

Pour H, l'indifférenciation est non seulement pénible mais fatale. Porteur du chromosome Y, c'est-à-dire de l'élément différenciateur de l'humanité, H perçoit naturellement toute informité comme une régression de son propre type, à l'exception de F. Il est la norme - mais aussi la Conscience - car la norme est critère de discernement, de différenciation : H est à lui-même sa propre norme et celle de non-H. Weininger parlerait d'axiomes logiques et de moi intelligible. Au contraire, l'indifférenciation est tout naturel pour F, son élément étant XX, soit la reproduction du Même. Ô miracle de la vie et de la logique, où pour perpétuer l'espèce on reproduit une différenciation ou différencie une reproduction, où le spermatozoïde rencontre l'ovule, l'Autre le Même. Vérité de la Création.

Féminisation et indifférenciation sont donc essentiellement synonymes. (Telle est l'humanité rêvée par nos maîtres Mondialistiques dont nous percevons (les premiers), nous autres H, la funeste et horrible concrétisation.)

Pour H, c'est être ou ne pas être, x ou non-x, différencié ou non, XY ou XX. Ô fatalité logique inhérente à H ! Tension de l'être et du néant, éternel combat, Père de toute chose.

L'inaboutissement de H, son indifférenciation est son unique malheur, soit sa propre négation (non-H). Le suicide serait-il un dernier sursaut de H, héroïsme logique dans la négation ? Quoi qu'il en soit, le suicide est d'abord une détermination logique, car de toute manière la logique précède ontologiquement l'organique : Et Dieu créa d'abord l'homme et ensuite la femme. Vérité de la Création.

Anonyme a dit…

Suite à ce que je disais à propos du rapport virilité-différenciation, féminité-indifférenciation. Dugin offre ici, conséquemment, une vision de troisième voie, un pont, une réconciliation, une sursomption. Un raffinement de l'esprit.

http://www.4pt.su/fr/content/la-metaphysique-du-chaos

Louis Perr

L'abbé Tymon de Quimonte a dit…

Merci Louis Perr.
Enfin quelque chose qui ouvre vraiment sur le grand large de l'esprit.
Votre commentaire puis ce lien, me touchent particulièrement : il me semble qu'ils approfondissent mes propres analyses, intuitives....

Anonyme a dit…

J'ai lu votre Fragrans Feminae. J'y ai trouvé des formulations très utiles. Sachez que votre art a des oreilles de l'autre côté de l'Atlantique, en Ex-Nouvelle-France. Ce pays qui n'en est pas un est à l'agonie. Notre noblesse fut rapidement éradiquée par l'Anglais. Seul le sacerdoce a maintenu l'unité du peuple québecois ou canadien-français (voyez notre drapeau, croix blanche et fleurs de lys). Chez Evola, le règne sacerdotal est gynécocratique, et il règne encore, malgré la disparition du prêtre catholique, sous la forme du post-matriarcat (style monoparental, infantilisme), de la fuministe viriloïde et de l'ultra-gai. Sans État, ce peuple agonise dans l'INDIFFÉRENCE la plus honteuse, dans la lâcheté la plus méprisable. Il nous faut un État, un Ordre, mais peu l'entendent encore car bien peu le professe. Ici, l'Amazone règne et bouffe du testicule, elle est l'auxiliaire de l'Anglais perfide. Nous sommes orphelin de la France, fils adoptif du Verreux et voisin du l'Imbécile-Belliqueux, son fils légitime (du Verreux). L'universel Gueuse accomplit sa mission, épuise ce qui reste à épuiser. Mais combattre étant l'essence même d'Y pour sa préservation, nous devrions bénir le Ciel de nous avoir fait naître en pleine gynécocratie.

Enfin, si la France doit coloniser, qu'elle finisse ce qu'elle a commencé en Amérique. Nous saurons nous remettre en selle quand nous entendrons le Coq chanter.

Je salue d'ailleurs sincèrement votre combat.

Louis Perr