samedi 26 octobre 2013

Placé beau, Sororité.

1 J'ai lu avec consternation les enragements du Brebis contre Soral,  Le Gall devient le sergent-massier de l'antisoralisme ! Grand bien lui fasse.

Lui, bêlant contre le Yide, n'a pas hésité à relayer les vidéos du pire des Arbis Crypto-Yide ! Lui, "l'esthète raffiné", relaye la pire torve gueule à claque de la main de Midas, et du pied au cul. L'ami des égorgeurs de Syrie. Ceux qui laissent ces traces de sang qui mènent de fil en aiguille, de ruelles sordides en grand boulevard, jusqu'à la Vraie Casemate .
«  Israël en caserne, Israël SS. C’est une option. » Nous y voilà enfin. À l'option. Ouf, l'était temps, hein, salopes ?
Tout ça pour ça ! La musique des films Lellouche on connaît.
Du beau monde y'a pas à dire.
M'est égal, car moi c'est tout le contraire.


2 . Je m'engage pour  Leonarda. !


Avec Monsieur Placé, le Jaune président du groupe des sénateurs Verts, qui a souhaité vivement que le mouvement lycéen en faveur de la Leonarda, reprenne !   Comme les jolies journalistes de RTL lui demandait si l’affaire était terminée, l’élu de l’Essonne a répondu : «Non ! Il faut se mobiliser» !  
Leonarda la lutte continue ! Toutes avec l'élu de l'Essone ! 

3.  Pour ceux que ce revirement politique et moral étonne, je vais faire un aveu.  C'est à cause de la Sororité Aryenne en fleur. La Vraie ! Pas les photos de putes qui émoustillent les Porcs adeptes du Pornocrate.  
La réelle sororité, celle qui vit et émoustille, non celle que fantasme les petits cochons de Circé.
Hitler l'avait dit pourtant : "La seule pornographie autorisée sera l'antisémitisme."
Oui la sororité aryenne existe. Je l'ai encore vue dernièrement à la Bastille. Elles étaient là, toutes. Pour Léonarda ! Bien sûr ! Elles ont si bon cœur les mignonnes blanches, elles sont si pitoyables aux hideux cageots de l'import-export.
Elles étaient là, assemblées, dans leur premier éclat. Cette fraîcheur. Le féminisme et dix ans de testostérone en pilule ne les ont pas encore irrémédiablement gâtées. 
Pas encore les dents douteuses et crémeuses, les crayons gras-mouillés des "matures", qui reniflent du bec, et cachent sous leur Levis Strauss-Khan informe, des chevilles épaisses, des genoux pré-phlébitiques, des cloaques élargis et de pouacres rectum inlavables.

Les lycéennes elles sentent le printemps. J'ai vu le jour, au moment du bourgeon, l'à-peine éclot, l'à-peine pubescent.
Je veux être avec elles. Près d'elles. Tant pis pour les Zidées et les Zopinions! M'en fout des Zidentitaires puisqu'ils pensent comme des dentistes ! 
Je veux en être de leur procession, aux lycéennes, bras dessus, et bras dessous !
Comme le Jaune sénateur Vert, tout rouge d'excitation !
Je veux qu'elles me reconnaissent, me désignent, comme un Placé beau ! 

—  Hé t'as vu y'a Niaiche qui est là ! 
— C'est qui ? 
— Tu sais bien, le poète du métissage ! L'est passé chez Ardisson, l'a écrit l'Ode à Léonarda !
—  L'est hou ? 
—  Là,  à côté de Vincent Placé ! 
—  L'est trop mignon ! 
—  Qui Niaiche ? 
—   Mais nooon ! Vincent Placé ! Trop canon ! 

Sentir contre mon cou leur haleine criarde. Respirer leur souffle indigné. 
Je vais me vautrer dans leurs indispositions politiques. Vais être le vieil écrivain qu'elles tiennent pour un des leurs. 
Serais être un Kabab Kechiche qu'elles mouillent de leurs salive scintillante. Leur professeuse leur dira que je suis un homme (juste au moment où je cesserai de l'être) un vrai !  Qui défend la cause des femmes.  Et qu'elles me cèdent une part du berlingot qu'elle sucent les salopes pédagogues.  
Comme à un Kéchiche à chier. Comme une sous-merde à cinoche. Tant pis pour l'honneur et les gonades qu'il faut laisser là, à l'entrée. M'en restait plus beaucoup de toute manière.

M'en fout des actrices, des pétasses du porno de la Sororité fictive, je vous les laisse, jamais dansé devant le buffet des délices, envié vos pouffe avec vibromasseur, les lycéennes c'est encore en bas, à l'école, la rue.
À ma portée. Là. Dansantes. Frémissantes.

Je tirerai bien à la mitrailleuse dans le tas !  Et dans la  même pensée je les enlace toutes, les jeunes ensanglantées sur mon cœur déchiré ! 

Ah ! Si loin d'elles.
Séparé par la Nuit.

Félix Humbert

6 commentaires:

Antan a dit…

Une passade équestre ?
Un Abbé béat ?
Mais non, mais non !

Le Gallinacé a dit…

On dirait du grand Ferré !

orfeenix a dit…

J' aurais volontiers postulé pour le rôle, mais hélas, si je suis encore au lycée c' est parce que j' ai beaucoup redoublé :)

Aldébaran a dit…

Cela me fait penser à la société secrète de Délicatessen ...Que de belles Chevalières aux jambes arquées... L'Homme est un tonneau ! Cong se le dise !

esprit-i-monde a dit…

Facile, suffit de s'enduire la chevelure d'hormone et cela suit sans même se poser de question quant à la promiscuité inhabituelle... reste plus qu'à prendre la tapette aux amoures pour fixatif.

Anonyme a dit…

Que Félix Le Chat plastronne et dicte sa conduite, c’est son affaire, mais delà à se mettre martel en tête sur ce que fait l’Abbé et vouloir le dévoyer, c’est aller vite en besogne. L’Abbé est dans le remodelage du conventionnalisme dont on connaît la force de nuire comme celle de servir et Félix le chat est dans les querelles mondaines à ses heures contrariées. C’est deux choses différentes, quand même comme disait quelqu’un qu’apprécie Félix Le Chat comme une dent cariée et abcédée.
Le scarabée