lundi 18 juin 2012

Ohé matelots !

On lève l’ancre pour la Grèce
Départ ici

3 commentaires:

orfeenix a dit…

Sans flagornerie ce texte est sublime, la patrie des philosophes n' est plus mais la France des poètes a encore de l' avenir.

L'abbé Tymon de Quimonte a dit…

Milles mercis Orfeenix, ce compliment me va droit au cœur

Antan a dit…

C'est vrai, beau poème triste aux milieu des cahots du chaos.
Mais que vient faire l'image des marins du Potemkine, sur l'Égée peut-être et si proche de la Syrie.
La Grèce disparaitra peut-être, telle Eurydice dans un dernier regard à Orphée.