samedi 28 avril 2012

du Cognassier


Monsieur des Coings, le pompeux sodomite de la rue Saint-Guillaume, est mort comme il a vécu, par là où la rime s'imposerait, si nous n’écrivions en prose.
On l’a retrouvé inanimé, le cul nu, dans un sofitel du libre-échange de spermatozoïdes, avec, semblerait-il, une quantité équivalente de substance blanche dans les narines et le fondement.
Sa Seigneurie, qui passait pour un grand aigle, n'était qu'une de ces volailles empapaoutées du Siècle, qui, tel le Premier du Fouquet's, taisait sa tanterie, mais volait parfois la plume au cul à la Gay-Pride.
Son inversion n’était su que de l’Élite.
Ainsi ce très puissant lobby, qui étale au grand jour et sans pudeur ses mœurs stercoraires, car il prétend faire de penchants privés la substance de son être public, autrement dit de faire de chaque pédéraste le représentant de la Pédérastie, rétablit quand ça l’arrange la séparation exclusive du bougre privé et du lascar public.
Voici à ce sujet ce qu'écrit un homme de la congrégation :
 "Descoings... présentait toutes les caractéristiques de la pédale planquée, écrit ce personnage, "Il était gay avec ses amis proches (ceux qui méritaient de savoir), il s’amusait à faire la folle avec ses étudiants, les soi-disant futures élites de la République, mais il n’était pas gay pour le « gros du peuple (ceux dont il n’avait rien à foutre en fait).
Comme beaucoup de pédés blancs, friqués, haut placés dans l’ascenseur social, Descoings semblait parfaitement à l’aise avec la notion de coming-out à deux vitesses : « homo for those who know, hétéro for those who don’t need to know » (« homo pour ceux qui savent, hétéro pour ceux qui n’ont pas besoin de savoir »). Gay à la cour des puissants parmi ceux qui décident, straight dans le monde réel, au milieu de ceux qui subissent. » On peut lire cette prose aimable sur le site rue89.

Le bol qu’on a, c’est que c’en est un, vrai de vrai, de la confrérie de la Jacquette, qui se classe lui même dans " les pédés",  qui a écrit ça; c'est même l’auteur en personne du fameux « Petit livre rose », le vadémécum des chevaliers de la Rosette. Qui donc possède ipso facto le privilège communautaire d’écrire impunément « pédale », « pédé » , et même « tapette… »;  ce qui vaudrait la 17ème chambre à coucher en cage, pour n‘importe quel « hétéro », qui, comme son nom l’indique, doit être forcément suspect d'hétérodoxie en matière de mœurs.
Notre journaliste rose sait de quoi il parle :  « Le sodomite subodore le sodomite » écrivit Mauriac qui en était aussi, dans Plongées, 1938.
Or donc, notre auteur du petit Livre rose va se fâcher tout rouge contre cette vilaine tante qui ne fait pas assez ouvertement sa folle.
Ce qu’il lui reproche c’est de n’aimer pas l’ostentation, de dissimuler au « gros du peuple » son vice, au rebours de Notre-Dame de Paris, qui est maire sans faire semblant d’être père.

Pour nous, avant toute autre chose, cet inverti qui se fit époux respectable, était un pourrisseur.
Par, et pour, ses qualités corruptives, il fut nommé directeur d’une des plus prestigieuses écoles de la Comédie Française, l’autre, la fameuse école de Fosse d’Aisance, dit le Pot de Chambre, car elle est le chemin colorectal qui mène aux Cabinets. Ainsi d'ailleurs qu'à la Chambre à coucher des Putes rétribuées du capital que sont les journalopes.
Sous sa houlette cet élevage de poulets de grains fut métamorphosé en une entreprise de fourniture de volailles en batterie.
Afin d’y parvenir il a promu :
- La préférence étrangère
- La « Théorie » du gender comme discipline obligatoire.
- Un féminisme échevelé. (À ce propos, sait-on que les femelles des coings sont les cognasses ? Et la cognation la parenté par les femmes ?)
- La coopération avec Tel-Aviv et le renforcement du partenariat avec l’Israël.

Je ne cherche pas discuter le bien-fondé de ces …« choses » là,  mais à montrer leur acoing-tance fondamentale : on voit qu’elles vont de pairs, marchent ensemble, se renforcent les unes les autres.
félix le chat

7 commentaires:

Anonyme a dit…

des cadences effrénés pour le peuple ! pour des décadents sans freins pédant ! des Pédalos d'attraction foraine ! french circus !

zig

Le Gall : Décrypter Le Système Pyramidall a dit…

Ecriture géniale ! Oh, l'abbé, allons main dans la main dans les cercles gués, comme Dante fut entrainé aux enfers...Le lobby de la pédale n'est pas très costaud, la confrérie de la jaquette est forte quand elle s'unit à la juiverie et à la maçonnerie.
Cela dit, quelle mort lamentable. Honnêtement, ça m'épouvante. A son âge ! Tout ça, c'est une histoire SM, sur fond de défonce, qui a mal tourné.

orfeenix a dit…

Et le masculin de cognasses c' est les cognes, la police française serait elle vendue? Que de terribles révélations!

Anonyme a dit…

Ton texte est un regal princier et ,non pas la fleche du Parthe mais le pilum des legions de Rome ou le scramasaxe de Receswinthe .
Pace e salute .
Tonk

orfeenix a dit…
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
Antan a dit…

Quel texte l'abbé !

D'invertis gars de la narine qui érectent au verso ne remplissaient donc pas seulement de raie que d'homme.
Rien de nouveau sous la Lune, l'élite alitait l'élu.

Sébastien Derouen a dit…

Les friands du boyau culier vont-ils voter pour l'homme-fesse ? Mon sentiment sur la fessée d'hier soir : http://sebastien.derouen.over-blog.com/article-hollande-corrige-ou-la-tuerie-de-l-homme-fesse-sur-le-debat-sarkozy-hollande-104494072.html