mercredi 16 février 2011

Deuxième assassinat de Julien Quemeneur


 Nous savions que l’assassinat de sous-chiens était considéré comme un des arts premiers, et les artistes Africains pouvaient compter sur un silence bienveillant des média.
Sans l’internet la plupart de ces nombreux égorgements et à lynchages coups de pieds et barres de fers jusqu'à ce que coma s'ensuive, resteraient tus et peu sus.
Mais hier, la « Justice de C’Pays » vient de franchir un pas supplémentaire dans la descente des petits blancs dans l‘échelle de Richter de la sous-humanité. En apposant le Grand Sceau de la Légalité sur certaines de ces exécutions capitales, à la condition expresse qu’elles aient pour motif la lutte sacrée contre l’antisémitisme.

Le policier africain « Antoine Granomort a agi en état de légitime défense en 2006 quand il avait tué un supporter du PSG en marge d'un match contre l'Hapoel Tel Aviv. » lit on dans Le Pharisien.  L'ancien flic assassin aura donc bénéficié d'un non-lieu dans cette affaire .
Donc, pour l’assassinat de Julien, pas de procès ! IL N'Y AURA JAMAIS DE PROCÈS.

La version qui sera finalement retenue par le parquet sera celle de ce flic véreux, voleur et mythomane.  Ce très reluisant personnage a toujours affirmé qu'il avait tué Julien Quemener pour défendre et sa propre peau et celle d’un Israélite qui allait être lynché par une horde de nazis en fureur.  Il a toujours affirmé avoir été jeté au sol et fait feu à terre !
Or, les résultats de l'autopsie de Julien vont révéler que la balle mortelle ne fut pas tirée de bas un haut ! L'étude balistique a prouvé irréfutablement qu'Antoine Granomort était debout, en position verticale, au moment du tir, et non pas couché comme il le prétend.
Alors ? 

Auparavant en 2001, Granomort piquait 5400 € à des trafiquants de drogue. Sombre histoire. En mai 2004, ces derniers vont le retrouver lui réclamer 15 000 € avec les intérêts.
Alors, pour se sortir de ce guêpier, il escroquera son beau-père.
À la police saisie de l'affaire, dans un rapport transmis à sa hiérarchie, il va affirmer avoir été victime d'un enlèvement suivi d'une séquestration « accompagnée d'un viol collectif . » 
Quelques jours plus tard, il avouera que c'était mensonge. 
Il sera révoqué de la police nationale en 2007.
On peut donc se faire une idée plus juste, de ce qui à le Droit, ce qui peut tuer, en toute impunité, un jeune travailleur français en Ex-France !

Il chante partout qu'avoir tué un nazi pour protéger un Juif, devrait effacer ses affaires d’escroqueries et de faux.
« Je peux compter sur les représentants de la communauté juive à commencer par Yaniv Hazout et Sammy Ghozlan. Ils sont déjà en train de se mobiliser. Quant à Nicolas Sarkozy, il était ministre de l'Intérieur au moment des faits, et même s'il ne m'avait pas contacté directement, il avait été très sensible au sujet. »  dit il.
En attendant cet heureux dénouement cette Graine de mort est affectée à la sécurité du métro et du RER. Petit blanc ne perd surtout pas ton billet !

Le Pays de la Mémoire le recevra, le félicitera et le décorera .
Qui pourrait croire que des magistrats français, en 2011,  fussent suffisamment indépendants des Lobbies, et surtout de Celui-qui-n'existe-pas, en osant prononcer une sentence conforme à la seule Vérité, souffletant ainsi la face du seul Pays sacré. 

La presse qui a fait écho à cette infamie, à cet aval légal donné pour encourager l’assassinat des sous-chiens, parle sans arrêt « du hooligan Quemener ».
À l’époque du crime, pourtant, un article publié dans le Journal du dimanche ne le décrivait nullement comme un hooligan, mais comme un jeune travailleur d'origine bretonne, respectable, « gentil et serviable » !
Dans sa chambre au mur, un portrait.
- D' Himmler ?
- Non, de Bob Marley ! Un vrai raciste, on le voit, d'autant que sa petite amie était... japonaise. Hum! "Les mêmes goûts que Bruno Gollnisch !" C'est louche! Nostalgie pour l'Axe probablement.
Julien Quemeneur avait 25 ans.

Le lendemain de son assassinat, en guise d'oraison funèbre, le président de l'Union des Juifs Étudiants en France, crachera dans sa tombe encore ouverte dans un article proprement ignoble, développant un réquisitoire post mortem, en faveur de la nécessaire exécution d'un « pogromiste » !

« Heureusement, dans notre France en 2006, il s’est encore trouvé un homme qui n’a pas eu peur, ou plutôt qui a eu peur mais qui n’y a pas cédé. Ce policier héroïque, Antoine Granomort, n’a eu d’autre choix (…) que de brandir son arme. Il était malheureusement trop tard, alors, pour éduquer au vivre ensemble ou combattre le racisme par les mots. Il a été obligé de faire feu, tuant un pogromiste. »

Trop tard aussi, sans doute, en Palestine occupée pour « éduquer au vivre ensemble  ou combattre le racisme par les mots » les enfants palestiniens. Mieux vaut les rééduquer au phosphore et à l'uranium appauvri.

5 commentaires:

Anonyme a dit…

Ah dans ce domaine, c'est aussi génétique... le sens du mensonge se transmet, tout un art.
Tends l'autre joue: qui dit, l'autre, aux goys enstardisés aujourd'hui, bien astiqués, des les berceaux.
Peuple naïf qui prête son cou de parchemin au crocs.
nocif

Anonyme a dit…

L'Abbé merci de nous informer vois -tu je ne regarde pas souvent les merdiats.(j'y suis allergique, je n'aime pas qu'on insulte ma religion et moi avec)pour en revenir à ton article.Vincent est une victime du zionnisme, une de plus!pour sauver sa peau en France il faur dire qu'on assasine pour sauver un djuif, ça marche à tous les coups.
Vincent était aussi une victime du footbal,paix à son âme.

Anonyme a dit…

les lois et leurs interprétations se sont ceux qui tiennent le haut du crottoir qui les inventes depuis toujours.
Nocif

Iordanov a dit…

Bravo !!

Anonyme a dit…

Excellent article. Merci pour Vincent. Et pour nous les Français et les Bretons.
Profitons-en pour écrire à un autre Vincent, en taule celui-là pour faire son travail d'intellectuel.
Ses coordonnées sur "le Salon Beige".
signé : Milly