§- Je viens de découvrir sur le blog de l'Abbé, qu’ Orfeenix m’avait écrit comme exégèse du Dixième Entretien :
« Non mais je rêve? vous osez dire que les écri vaines vous choquent ? lisez donc les coms de vos mâles dominants, on trouve une hérésie syntaxique à tous les mots! cette fois c' en est trop, je ne lis même plus vos articles , il y a des limites à la foi mauvaise. A bon sourd, salut! »
§- Passons sur le coup de pied de l’âne dans l’oreille du Sourd.
Passons encore sur la cuistrerie de la pro-fesseuse qui « trouve une hérésie syntaxique à tous les mots » de mes vaillants commentateurs habituels. Qui sont réincarnés par une mystérieuse cause, d’elle seule sue, non seulement en mâles dominants, mais en les miens : mes mâles dominants à moi tout seul.
§- Derrière la fausse ironie, on voit luire les ailes du phantasme. La lourde pensée unique, qui est si parfaitement homogène à l’intelligence de la femme. Quiconque n’est pas à genoux devant elle n’est qu’un pauvre type, « un gros macho frustré », n’est-ce pas ? Un minus qui se croit "mâle" et "dominant" de surcroît, par infériorité native.
Mais Ô Dinde Majuscule c’est toi qui crois qu’on croit.
Quel rapport ce fatras avec ma pensèe ?
Qu'il est convenu, lassant, ce ressentiment femelle constant, systématique, qui perce, pas une pour racheter l’autre.
§- Mais ce n’est pas pour cela que j’ai pris sur moi de publier son commentaire assorti du mien .
Parce qu’en dehors du fait qu’il n’a strictement aucun rapport avec le thème (scientifique) du dixième entretien, qu’il est dicté d'évidence par une exaspération d'ordre privée, qui s'écorche sans doute à ces conversations misogynes (qu’elle vient, en quelque sorte, illuster), il révèle quelque chose de plus profond.
Deux choses, mais qui reviennent au même.
Tout d’abord l’hétéronomie ontologique de la femme, qui distingue la femelle de l‘espèce de son mâle. Ensuite l’antinomie absolue entre un littérateur de race et un professeur de littérature, entre un écrivain fut il un écrivassier ( le sujet ici n’est pas le talent ) et une éminente personne de l’accablante secte écrivante, si vaine, l’écri-vaine.
§- Son commentaire prouve qu’elle pense que j’écris comme elle, c'est à dire pour autrui, en songeant aux autres, à l’effet produit sur mes commentateurs.
Orfeenix est persuadé que je me mets à ma table en me disant : "bon, voyons ce que je vais bien pouvoir écrire aujourd’hui pour complaire à Zig et à Puce, à Utile et à Nocif, et à la délicieuse Fée, nixe ruant du feu, égérie de ce Blog de la Tradition Misogyne affirmée."
Du coup elle est vexée, parce que je n’ai pas l’air et l’heur, de m'intéresser à elle et sa succeptibilité de femme de lettres.
Impureté fondamentale des engouements intellectuels de la femme.
(Je le sais, elle m’a déjà pris le tête avec ça, jusqu’à quatre heure du matin, avouant à la fin que son grief majeur était mon absence d‘égards [supposés] à son endroit.)
§- J’écris pour vider mon sac, pour moi, me sauver, me libérer du trop plein de violence, brûler les déchets toxiques accumulés par une machine à penser incessante, pour éviter l’asphyxie, parce que je ne peux pas faire autrement (blog ou pas).
Certains l’ont senti, pas elle, ni jamais aucune femelle dont l’essence est l'hétéronomie.
Qui n'est pas l'éthéromanie. Ni l'érotomanie.
Mais ce que les Grecs anciens, nommait l'Hétérité, la caractéristique fondamentale du Féminin, qui n'a pas en soi, mais en l'autre, son principe, son souverain.
§- Exit donc Orfeenix, elle va nous manquer, on s’en consolera.
félix le chat
mardi 8 février 2011
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37 commentaires:
hors ! phénix renaît toujours de ses cendres ?
quel brillant psychologue faite vous l'abbé dans la description de la femme bêtement féminine freud n'aurais pas fait mieux !
La fumeuse tolérance (forcée) féminine... Ce cas de figure est fréquent, surtout et curieusement chez les vierges (de signe évidemment).
J'aime la poésie faisant du trapèze avec les z'oiseaux... mais surtout quand la chute est pure et dure, bien terrestre. je supporte celle de l'abbé, Céline, Miller, Anaïs, Romain, Castaneda, Delteil (joseph) et quelques autres encore dont le nom m'échappe à l'instant... le reste... des bulles creuses qui éclatent aux vents. Je ne lis aucun, jamais, auteur femme, c'est trop tartiné, poudré... cela relève des bonbonnières et salon de thé... trop d'amûr, trop de pâchionnel, de filtres.
Nocif
Nocif
Tout cela n'est qu'une question d'hormone.
Nocif
Les femmes ont bien des qualités (quelles perdent), mais pas celle de l'invention... On ne peut tout à la fois, porter des jarretelles et conduire un tracteur. Quoi que aujourd'hui... à la télé?
Nocif
Le partage l'abbé, le partage, intégral... Le but n'est pas de plaire... Céline voulait-il plaire? bien sûr que non!.. Éveiller qu'il voulait, éveiller les veaux quitte a ne pas en profiter lui-même... Il eut pu le faire, profiter et mille manière (mauvaises). Ne prendre que les gloires bien juteuse en effaçant le reste, quelques lignes, quelques mots barbelés ci et là, politiquement nauséabond. il choisi de mettre ses tripes devant lui.
Pour pas mourir idiot et donner la main à son fantôme.
Nocif
Bravo pour ceux qui l'on relevé! Anaïs! (c'était volontaire)
Nocif
"Ö!.." des fautes j'en commet dans l'émotion... et pourrait les corrigées avant d'envoyer la purée. Faut-il en cela retenir les fautes où les idées, le fond?.. Il y a des gens qui ne commettent pas de faute, JAMAIS!.. des saints, des saintes. Mais, je ne les ai jamais rencontré.
Nocif
la femme peu prendre du plaisir avec un misogyne, le faite de savoir que ce partenaire n'aime pas les femmes peu aidé son orgasme cérébral, faute d'avoir un vaginal ou peut être les deux ? dur d'être femme intellectuelle libéré, elle est fragile elle le sait d'où son comportement cela est typiquement féministe . quelque part elle aurait aimé être un homme !
zig
On ne fait pas plus élégant, bien sûr que l' on écrit pour l' idée ou pour la beauté, mais on a aussi des personnes qui nous lisent qui ont des tripes et que la sensibilité ou l' éducation poussent à ménager, vous savez que je vous suis fidèle depuis longtemps et que je vous aimais bien , si vous voulez décourager toutes les femmes de venir ici c' est vous qui avez un problème, d ailleurs vos poulains et vous mêmes avez des propos sexistes et déplacés qui me laissent entrevoir de quel côté est la frustration.Quant à la prise de tête supposée , elle faisait suite au découragement de Zig venu pleurer sur mon blog , et vous ayant défendu j' aurais bien aimé un remerciment, pas un égard de plus , je vous l' assure.Vous m' avez proposé jadis un coup de goupillon sur lequel je ne m' étais pas précipitée ce me semble.
L' intelligence n' estrien sans la charité, je vais donc allez promener mon coeur atrabilaire ailleurs qu' ici.
Zig, je ne vous salue pas,vous savez vous que vous êtes venu sur mon blog à cette heure tardive qui m' est reprochée pour me solliciter à propos de l' abbé et que là vous étiez charmant et affable et je vous ai reçu gentiment en vous disant que l' abbé était occupé à écrire un bel article car moi je ne renie pas l' oeuvre parce que j' ai un différend avec l' auteur, et qu il ne vous oubliait pas,et maintenant vous retournez votre veste, tout le monde passe son temps à se tromper d' ennemis ici, j' étais avec vous, vos fautes ne me dérangeaient pas , mais qu on ne vienne pas me dire que j' écris mal parce que je suis une femme.J' ai parfois rêvé d' être un homme, mais cet homme, ce n' est pas vous.
Bien le bonsoir.
et puis tout ça manque singulièrement d'humour, que diable !
"tout ça !!!" pas vous! Tout ce bas débat débile de haut débit en robe de bure !
Cessez de vous voir visée toujours, miss-centre-du-monde ! décidemment vous comprenez tt de traviole !
Eh bien , plus on est de fous! Tu n' as rien à faire ici Frédéric, notre intimité ne regarde pas les braves gens de ce blog politique dont j' étais à mon sens un peu" la pause récréative", va donc écrire toi même des articles dévalorisants à mon sujet sans t' implanter sur une querelle à laquelle tu es étranger.
J'ai à faire ici autant que toi Isabelle. De quel droit te permets tu de me dire ou est ma place ou non? Quelle prétention! Quelle suffisance! Tu ne t'es pas gênée toi pour mettre des coms infectes, infâmes, diffamants sur moi, sur des blogs de femmes ou je laissais des propos dix fois plus anodins que les tiens, en permanence flatteurs et racoleurs. Tellement minalbes et douteux que tu te sens ensuite obligée de contacter les pauvres filles qui n'ont rien demandé, rien compris d'effacer tes coms en question!...
"pause récréative"? tu plaisantes! partout ou tu poses des coms, tu provoques un merdier et des disputes! ou alors tu tortilles et tu aguiches le propriétaire mâle du blog.
Je n' ai plus rien à dire à quelqu un qui me dénigre en public en me suppliant de revenir en privé.Si c' est ainsi, la réponse qui aurait dûe rester privée sera publique: je ne viendrai pas chez toi et je drague qui je veux, si tu veux commenter chez l' abbé parle de ses articles ou de tes rapports avec lui,mais pas de nous, parce que peut lui chaut.Et toi tu veux te rabattre sur les hommes?
A ce qu'il semble, beaucoup de commentateurs invitent leur excitation à des polémiques par eux-mêmes imaginées. Il paraît qu'il y a à cette fatalité des explications scientifiques imparables et que pas un site ouvert aux commentaires n'échappe à cette maladie. N'empêche, si celles et ceux qui ont besoin de rendre publics leur défrisage de chicorée ou leur travail sur le cordon de Saint François pouvaient modérer leurs gémissements, on pourrait lire tranquilles.
Aucun homme n' a jamais reçu de propositions de moi, alors que toi tu proposais à cette fille, car il n' y en a eu qu une , la même sortie qu' à moi et au même moment cequi était offensant pour elle comme pour moi, tu as voulu courir deux levrettes qui se sont retournées contre toi.ça s' appelle la justice immanente.
Cher " anonyme" rien ne vous oblige à lire les commentaires, quand je me sens attaquée , je me défends, après, j' effacerai tout, vous ne serz plus gêné.
hahaha, non! Toi tu flattes, tu caresses, tu attises, c'est le corbeau versus le renard, oups, j'ai gaffé, version orfeniquette, jusqu'à ce que le pauvre gars aies se fasse exploser la braguette, et tu dis ensuite, genre sainte nitouche: "oh, ces hommes, toujours à penser à la même chose! (note de l'auteur: que toi) Je ne suis p'u celle, ni d'orleans ni d'ailleurs, que vous croyez. Toujours à me harceler!!!"
A part ça, celui qui me fera une 2e auréole au pantalon, n'est pas né. Y'a pas marqué "seigneur des oignons", tu devrais t'en souvenir...
Nota benêt: J'adoooore les courageux anonymes
Moi je te harcèle???? si je publiais tous les mails récents entre nous il y aurait de quoi rire, je ne sais pas si je retourne ma veste mais je n' en ai jamais mis autant!C' est facile de dénoncer sans preuve.Un peu de dignité maintenant, nous nous sommes aimés , je veux rompre, faisons le dignement sans nous donner en spectacle. M Vangauguin, j' ai l honneur de vous signaler que je ne vous connais plus et que vos coms polluent l' atmosphère des blogs allez donc vous rabattre sur la pollution nocturne.
Isabelle, ma chérie, ma belette, mon lapin chasseur, ma friand'ise,
ma fée clochette aux tocs saints,
vraiment comme disait l'abbé, tu ne comprends rien; je parlais pour toi "à me harceler!"... et pour clore le raisonnement, le pauvre gars, sur l'abbé quille (j'ai pas pu m'empêcher de la faire celle là), te fais une proposition; facile ensuite de dire que ce n'est pas toi qui...
On se croirait chez Elie Seimoun avec Kevina...
Ahahah, tu veux rompre? Sans blague? Et tu me poursuis partout sur le net, en espionnant mes visites, où je peux mettre des coms, et si j'ai le malheur d'avoir mis un mot SINCÈREMENT adapté, attentif, sans équivoque, à une blogueuse, tu rappliques affolée (enfin, je veux dire, plus qu'à l'ordinaire) pour une "scène" d'anthologie, pire qu'un interrogatoire musclé (avec tes petits bras dodus)
PAUL "UTION" VINCENT VANGAUGUIN, nocturne, et diurne.
D' accord , j' ai commis UNE erreur un jour de dire à une fille que ce que tu lui proposais tu continuais de me supplier de le faire, mais je jure devant l' abbé que je ne le ferai plus,VA draguer les bloggeuses, fais ce que tu veux, je m' en lave les mains et le reste, mais fiche moi la paix.Ego me absolvo, requiescam in pace!
En corps, cela me chatouille.
Nocif
C'est quoi tout ce remue méninge? )
Nocif
Oh tu sais, des femmes?.. c'est pas ici qu'elles viennent, ca chlingue trop la chaussette ici, pour les distinguées demoiselles. Elles vont plutôt aux jeunes sangs, bien agités, encore rosés, turgescent...
C'est bien plus tard, que la pension devient leur sujet favori a discourir, à laquelle elles ne rêvaient jamais de cette manière, et comme toujours elles s'étaient trompées sur leur apôtre qui avait tout faux...
nocif
quel nocif ce Nuisible ! l'acalmie revenue ne vient pas nous réveiller la fée qui dort : Comportons nous comme "les braves gens de ce blog politique" que nous sommes(pour le moment). Varium et mutabile semper
Vous êtes un gentleman, l' abbé , encore mille excuses, je préfère les chaussettes et la misogynie aux coups de pieds nus dans la figure.Vous pouvez dorénavant compter sur ma fidélité et j' essaierai de ne ( presque) plus faire de caprices.Bien à vous.
populum forum placide bravissimo !
zig
Vous faites des progrès Zig!
vous aussi ma chére ! zig
Concedo.
Rien contre orfeenix, rien?
Sinon, le partage possible, et point de miss en mire dans ma volonté.
Nocif
Nocif, je sais que vous êtes bon, je n' ai jamais rien eu contre vous,les pamphlétaires sont rarement cruels étonamment, bonne soirée à vous.
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