lundi 21 février 2011

Allez donc vivre à la campagne !

Paris est une grande (par la taille) ville plouc, les mœurs des ploucs règnent, le plouquisme est la coutume, l’air vicié de la cambrouse y souffle, on y respire l’odeur du lisier.
Dans leurs clapiers, taper sur les cloisons en poussant des han à faire frémir, le marteau et la perceuse, sont les passe-temps préférés des  parisiens .
J’avais cherché opiniâtrement un dernier étage pour ne pas subir les pilonnements en talon d’une pétasse en chaleur, me voici réveillé aux aurores par des loquedus qui errent sur les toits avec des chaussures à clous, fier-à-bras vêtus comme des alpinistes pour observer les moeurs des pigeons, cette lèpre volante.
Comme je me plaignais, on m’a dit Allez donc vivre à la campagne, mais précisément ce sont là des habitus de villains, couchés avec les poules et levés au chant du coq.
Cependant que je me coucherais plutôt à l’aube avec des poules, et me lèverais en début d’après midi comme un coq en pâte, mais ne le puis, au milieu de ces paysans endimanchés et emmanchés d’outils par la passion de faire du Bruit.

Quand je « descend » en Province c’est chaque fois une surprise : même à Pau la capitale du Béarn, terre originelle du Rustre et du Rustaud, les gens y semblent courtois et affables, on croirait revivre au temps jadis.
Le Blanc y domine aussi, cela vous fait un choc, le bistre le foncé le crépu ne semblant là que pour le mettre en valeur.
Au lieu qu’à Merde/Seine le blanc parcimonieux y a l’air crasseux, par réverbération.
Ces « citadins » d’un type nouveau ont tous des chiens, comme à la ferme. Et considèrent les trottoirs comme les latrines bucoliques de leurs bêtes. Sauf pour les petits enfants, ces animaux asmathiques, shootés au monoxyde de carbone, restent encore inoffensifs, n‘ayant la force de vous sauter à la gorge : mais ce n’est pas l’envie qui leur manque. Idolâtrant leurs maîtres à l’égal des Dieux les cabots bigots sentent d’instinct tout ceux qui sont incrédules.
Je me désole de n’avoir le permis de porter une arme, un jour un de ces molosses aura ma peau.

Leurs maîtres s’avancent lourdement comme des culs-terreux, portent des barbes de trois jours, et vous bousculent en grommelant. Leurs femelles vont en jetant leurs grands pieds en dehors, enfourchent leurs velibs comme des barrières en levant haut la patte, on leur voit tout l’entrefesson, et quand le temps s’y prête, la corde du stringue dedans.
Elles fument comme des volcans, ce sont des geysers qui sortent de leurs narines, à leurs yeux globuleux le babouin en survêtement y passe pour très recevable, leurs bouches se tordent en une moue dégoutée devant le costume cravate.
 La politesse paraît aux parigos un héritage fâcheux des âges fachos. Un gentilhomme d'ancien régime leur paraitrait une tante. Pourtant sous les dentelles il y avait la dague, et la promptitude à s’en servir. Alors que sous les barbes piquantes et les carapaces bodybuidées, comme les crustacés la chair est molle. Spectacle pitoyable de tous ces lourdaux mal rasés qui portent leurs bébés sur le ventre et font étalage des caractères sexuels secondaires du mâle, cependant que leurs femelles tonnent en faisant de grands gestes aux terrasses des cafés.

Décidément je vais déménager la Capitale m’agréant de moins en moins.
Il me faut faire cette précision, au rebours de ce que ce texte d'humeur excellente pourrait laisser accroire, les vrais paysans je les aime et les loue, il ne sont à mes yeux les ploucs, cette appellation non contrôlée je l’ai réservé pour les serfs de la ploutocratie.
Lors du vote sur le traité constitutionnel en 1991 qui gravait dans le marbre l’asservissement de la France, les champs cultivaitent le NON rustique,  tandis qu’au cœur de la Delanoë-ville le béni OUI-OUI l’emportait haut la main... cela dit tout.
La différence entre les paysans véritables et ces néo-ploucs de centre-ville est de nature, il s’agit de deux races séparées.

félix le chat

32 commentaires:

Le Gall : Décrypter Le Système Pyramidall a dit…

c'est exactement ce que je ressens, et cela fait partie des raisons pour lesquelles j'ai fui la capitale, avec ces cohortes de Juifs non plus errants mais arrogants et ces gués aux organes ostentatoires ( inversement proportionnels à leur virilité intérieure diminuée, comme vous dîtes si justement).
D'abord l'Auvergne, mais alors quel petit pois ont-ils dans la tête ! Rien pigé au film, au jeu des Juifs, à la maçonnerie. Ils sont bêtes, leurs jeunes sont aussi gangrénés par la drogue et le diabolisme. J'ai encore fui, en terres germaniques. Au moins, j'apprends une langue.

Anonyme a dit…

ben en voilà de bonnes résolutions... Cela fait quatorze ans que j'ai choisi aussi la clé des champs. Mais, lorsque je regagne de temps en temps ces vils concentrés... je ne pense qu'à m'en retourner des les premières foulées, tant les choses ne font que de se précipiter.
Surtout pas d'hésitation l'abbé!..

Nocif

Anonyme a dit…

Ah oui! cet est extra. C'est tout bonbon.

Nocif

Anonyme a dit…

le nonjour au passage Le gall

Et toi Zig notre ami que deviens-tu?

Nocif

Anonyme a dit…

Quelle plaidoirie L'abbé !!
Vive les clichés.
Cela me fait pensser à une étude qui avait faite sur les couples vivant en Province ou dans la"DELANOËVILLE" ou les BANLIEUVILLES.Les couples vivant dans la Capital et dans les Banlieux divorçaient deux fois plus que ceux de Province.
Mouslima

Anonyme a dit…

salutation a l'abbé et a nocif
ha! l'abbé ! encore un billet remarquable dans la description et des idées vrais ! quitée la ville ! oui mais attention au brave du terroir ? "parisien téte de chien parigo tete de vaux" en france profonde tel est la devise! du travail de génie et sans chaussures a clous bien sur avec botte obligatoire! mais vaut mieux sentir la bouse et le lisier que l'oxide de carbone ! l'abbé attention au branchement internet bas débis ! en bas débit vous seriez malheureux et vraiment dans la merde ! ci tel etait le cas


zig

L'abbé Tymon de Quimonte a dit…

vous me prenez parfois trop au sérieux

Anonyme a dit…

Je me demande L'Abbé, quel a été le déclic,la raison qui vous a poussé, a écrire un billet sur la Campagne ?
(Une envie de déménagement refoulée ou autre).
Mouslima

L'abbé Tymon de Quimonte a dit…

mauvaise humeur. Réveillé par des voisins qui m'ont dit allez donc vivre à la campagne....

L'abbé Tymon de Quimonte a dit…

en outre je n'ai pas l'impression d'avoir écrit "un billet sur la Campagne"...mais je peux me tromper

Anonyme a dit…

Alors c'est peut être moi qui me trompe , je vois ce que j'ai envie de voir L'abbé.
Mouslima

Anonyme a dit…

Excellent en tous cas ce billet!.. Y fait du bien par ou y passe (son humour). A quand une belle reliure l'abbé?.. j'achète plus beaucoup de du bouc ces temps-ci, mais là, je ferais un écart. Tu n'as pas l'air de réaliser ton talent (tu dois en rendre au moins deux)... Je veux même bien jouer les éditeur tiens!..

Content aussi de te lire zig.

Bien à vous... tous.

Nocif

Anonyme a dit…

l'abbé jai relu votre billet absolument génial ! vous m'avez fait douter de moi ? mouslima dit un déménagement refoulé dans l'inconscient ? mais non vous dite clairement je vais déménager ?



zig

Anonyme a dit…

Mouslima,

dans les villes on forme des couples pour jouir vite de la vie (y a toujours de la casse)... Dans les campagnes, c'est pour prolonger le sens de la vie, d'où un peu plus de fidélité au but défini.
En gros c'est le fond que j'ai pu constater. Et ce que je vie à présent (non sans efforts).

nocif

Grand Pressigny a dit…

Oui c'est une bonne idée, venez au Grand Pressigny, armés contre l'élite bourgeoise notable urbaine et... locale. Au Grand Pressigny l'Europe a son réseau de vigilance.

Anonyme a dit…

Ben si Paris ressemble à un zoo, que dire de Nice? Festivus-festivus a fait des petits.

Le HURON

Anonyme a dit…

Cher Félix,
Je vous ai découvert par vos post sur le site égalité et réconciliation. Je vous avais laissé un commentaire suite à votre billet « des vignobles ignobles », vous citant à l’époque un extrait de « Bagatelles pour un massacre », vous confirmant ensuite mon manque total de compassion vis-à-vis des châtelains producteurs des crus de mon cul, mais exprimant mes regrets sincères pour les petits exploitants, qui dans tous les secteurs agricoles, morflent.
Mais de là à défendre le secteur de la vinasse, rien à foutre !!!
A contrario de vous, je défend le haschich, produit noble et naturel, dont je ne m’épancherai pas sur les vertus car là n’est pas mon sujet. L’hypocrisie étant dominante la plante est connotée, considérée comme une arme biologique rastafari d’al Qaida, visant à déstabiliser l’occident en l’affaiblissant par ramollissement neuronal.
Il parait même que les synapses explosent.
Car beaucoup considère que c’est un « produit » de tafioles, incompatible avec la virilité franque, à grand coup d’gnole pour sortir de la tranchée, à grand coup d’gnole pour calmer l’amputé…. En v’là des hommes !
Je crois qu’en partant à la campagne vous aurez l’occasion de vous délecter des conversations éthyliquement élevées des convives qui sévissent dans les trois bistrots du village où vous poserez votre scapulaire.
Croyez moi, moi qui connaît bien rue Oberkampf et ses bobos dépenaillés du café charbon, si vous souhaitez du bien habillé, de la tenue, pas du zazou ni du yéyé, je vous conseille le café de la gare dans le 16eme.
Tout aussi gerbant mais anthropologiquement tout aussi passionnant, tout aussi suintant.
Du champagne à la place de la bière et on pète dans la soie.

Anonyme a dit…

….Suite ….
J’ai peur qu’un certain parisianisme qui se traduit, et vous le noterez dans notre société, par le dégoût du soi même et du nous autres, n’affecte votre jugement et ne surestime notre idyllique province et ses habitants.
Car, n’étant pas de la dernière pluie, accusant un certain kilométrage, posant régulièrement mes valises contrairement à MAM, quasi exclusivement en France, aussi bien en village de campagne, petite ville, grande ville, banlieue, pour être à ce jour comme vous, un damné de la capitale …
Il faut donc savoir, quand on part à l’aventure vers nos terroirs, ce qu’on y cherche et ce qu’on y trouve. Car la posture de villégiature, n’est pas celle du représentant de commerce, et encore moins celle du pinsute qui se fait appeler Hugolin pour s’intégrer….
Moi qui aie la double nationalité, Bretonne et Parisienne, je rends régulièrement visite à mes cousins bretons. J’ai une petite maison là bas, en pleine campagne.
J’ai un petit cousin, dont le métier consiste à égorger des cochons, 8h tous les jours. Il a des mains comme des battoirs et s’enfile facile 10 Ricards avant d’être chaud. Un jour il va être tellement chaud qu’il en égorgera deux ou trois ….
Un autre, qui lui n’est pas petit, un anarchiste revêche, malheureusement alcoolique, s’est farci un gendarme qui passait son temps à l’arrêter pour le contrôler, il suffisait simplement qu’il le croise. Que les braves gens se rassurent, le délinquant est en prison.
Les gendarmes en province, n’ont que ça à faire, faire souffler dans le tutu et poursuivre de leur zèle imbécile les éléments non-conformes à la terrible petite bourgeoisie provinciale.
En province, si tu sors, ne bois pas, sinon plus de voiture. Plus de voiture, c’est l’anéantissement social, la solitude, au mieux la mobylette.
A Paris, les taxis ne manquent pas, à Trébédan dans les côtes d’Armor le GPS passe pas.
Conversation de bistrot : « il est bien DSK », « Dieudonné est un anti-sémite » … Fracture numérique ?? Tout est dit.
Comme on sait ce qu’on quitte mais pas ce qu’on gagne je me suis permis ce petit billet d’humeur pour relativiser votre trop céleste vision de notre terroir par une version plus noire et malheureusement plus réaliste. La vrai pauvreté n’est pas dans nos banlieues mais dans nos campagnes ou le travail est rare, mal payé et la coercition forte.
Maintenant si vous choisissez Toulouse, Rennes ou une autre grande ville vous connaîtrez les mêmes dévoiements qu’à Paris. Enfin, pour les villes moyennes ou petites, connaissez vous cette petite bourgeoisie que vous retrouverez au seul théâtre de la ville, à Quimper par exemple, et qui rêve pour ses enfants, d’emplois surpayés dans les sphères de la finance, le regard d’aigle surplombant la ville du hauts des étages des tours d’argent de la Défense.
Il faut donc y réfléchir à deux fois et ne pas tomber « par là-bas » par hasard …mais je pari que vous avez quelques pistes.
Voici donc, en toute amitié, les quelques réflexions qui m’ont occupé l’esprit après vous avoir lu et apprécié comme souvent.
Ainsi donc parlait Zarathoustra mon cher Niesche.
Aldébaran

orfeenix a dit…

Aldebaran, le mâtin est de taille à se défendre hardiment et je ne jouerai pas les chiennes de garde mais permettez moi tout de même de vous dire qu' entre tradition "culturelle" rabelaisienne et baudelairienne entre autre( relisez le vin des amants) et beuverie bouseuse façon soupe aux chous il y a un éventail de robes, et d 'une, et que je constate dans l' oeil tantôt allumé , tantôt éteint, mais toujours vide de certains de mes élèves partisans de la fumette, dont l' un s est tué en se jetant sous une voiture qui l' avait mis" en pétard", que les effets d' une bonne cuite sont souvent meilleurs qu un bad trip, et de deux.Mais il me semble qu il était question de redorer le blason des nobles agriculteurs et non de défendre les excès en tout genre.Bonne soirée.

Anonyme a dit…

Dommage que tu sois "anonyme", aucune piste?..
Ton raisonnement n'est pas que faux... Certaines campagnes présente aussi le décors dont tu parles... d'autres sont plus subtiles, plus réaliste en tout cas, plus proche du naturel.
Concernant les vins, tous ne sont pas de simples élixirs d'asiles, certain on cette magie de libérer l'esprit dans le bon sens... il faut de l'expérience (de la connaissance) là aussi, comme pour les whisky.
Par contre l'herbe que j'ai aussi consommer quelques fois, peut favoriser l'apparition d'état schyzophrénique (dédoublement de certaines zones neuronales secondaires par surexcitation) avec pour conséquence de la confusion mentale à des degrés divers...
Cependant utilisée par et avec des "sorciers" (des vrais), dans des conditions de connaissances empiriques (millénaire), cette herbe peut libérer certaine personne d'un système de pensées aberrantes, ouvrir des portes...
Idem pour les psylocibes mexicana.

Conclusion: toutes les substances sont comme moi, nocives, la différence réside dans la manière de les utiliser et de ne pas consommer de la merde qui emplissent les grandes surfaces de toutes les villes.
Essayez donc à l'occasion "le mao tai" en fin de repas, au chinois, vous m'en direz des nouvelles, tant cet alcool, méconnus du grand public, né d'un subtil savoir ancestral religieux, qui ne relève pas du modernisme idiot. Bien sûr, il faut un temps pour tout, dans la vie, pas de précipitation, juste de l'ouverture spirituelle.

Nocif

Anonyme a dit…

Et j'ajoute, de nombreuses personnes ne se sente pas bien dans le milieu qu'elles s'occupent, tout simplement parce qu'on les a déraciné depuis plusieurs générations... Le tout est de retrouver ses véritables origines, et là, miracle!.. on se sent comme un poisson dans l'eau... Le pouvoir mélange les peuples pour les perdre.

Nocif

Anonyme a dit…

sentent- (s)occupent. vous aurez compris.

Nocif

orfeenix a dit…

Nocif, vous? vous avez fumé? ça , c' est un scoop!

Anonyme a dit…

dommage pour moi je revient tardivement sur ce billet il y a la des conversations forte intéressante avec l'anonyme qui parle de la vie en province et plus précisément en France profonde je confirme ce qu'il a écrit vivre a la campagne pas toujours le pied il y a des pièges partout derrière les taillis dans la terre et au dessus et dans les maisons environnantes dans les quelle ce trouve les autochtones qui guette le parisien tout en piquant des poupées et en faisant écouté sur une photo ci possible du parigot tête de vaux parisien tête de chien du sang de lapin fraîchement tué et j'en passe moi je suis resté 10 ans dans ce lot de merde et j'ai bouffé ma vie et mes économie la campagne il faut pas resté plus d'une semaine comme ça tout est beaux et vous n'attrapez pas de bobos (qu'ois que?)




zig

Anonyme a dit…

Le scoop, je m'en contre fout... orfeenix.
Je sais certaines choses... autres que les sujets simplistes relatés. Mais, j'ai plus la patience de les développer... serait-ce seulement utile?
le peuple y veut jouir sur le pont... et se fout royalement de savoir ce qui se passe dans les cales du navire.

Nocif

Anonyme a dit…

Les campagnes ce sont des familles, des intrigues... de même que ceux qui se partagent les gouvernements sous couvert de fausses identités ssues des anciennes monarchies mondiales et qui elles n'avaient déjà pas d'identité nationale (voyez les origines allemande de la reine d'angleterre qui ne porte pas sont véritable nom), puisque tout cela est pure invention (pour construire les guerre de dilution ) des patrimoines des peuples naîfs et corvéables. Et cela depuis les pyramides.

Nocif

Anonyme a dit…

bonjour a toi nocif dur d'éclairer son prochain qui avance dans l'ombre tout en ce butant sur le parcoure sans jamais ce rappeler des chocs précédant et dur aussi de lui enlevé ses oeillères qu'il l'empêche d'avoir une vue panoramique sur les situation qui l'étouffe et dur aussi de lui faire comprendre l'existence de son inconscient il peuvent ce la faire belle les vampires qui suces jusqu à la dernière goutte pour la plupart de nos prochains il donne même leurs coups je crois que tu a raison je vais goûter a ton alcool chinois car le ha ! chiche pas mon truc ma préférence plutôt le divin liquide de bacchus


zig

Anonyme a dit…

je suis désolé mais, je dois changer prochainement de lunettes... Dès que ma vue faibli, des segments de phrases m'échappent. Cela me gêne terriblement.

Nocif

Anonyme a dit…

Heureux de t'entendre de cette manière zig. Offre toi le meilleurs possible (qualité divine veux-je dire)...
Tout ce qui est bon ouvre l'esprit, le reste le détruit. Comme le disait le Céline: "et le bien c'est plus cher".
Ma conclusion générale est que l'on ne peut que développer son jardin intime... et le partager avec ceux qui peuvent le voir...
Les autres, les maintenir à distance de peur qu'ils ne viennent tout piétiner sans même le remarquer. (souvent "nous" sommes plus bête que méchant par manque de conscience suffisante).

"Et glou et glou!.. il est des nôtres, il na pas bu de la merde com' les autres!.."

Nocif

Anonyme a dit…

le problème ! il y a peu de gens qui vois ce jardin, ce qui réduit les amis et la famille, qui ce divise en deux, les aveugles et les bien voyants qui de toute façon passe pour des demeurés. alors il faudrais faire le jeux des aveugles pour que la famille ne vous écarte pas trop et cela j'ai du mal a le faire ! et glou ! glou ! il est fou l'affreux loup



zig

Anonyme a dit…

Il faut surtout ne pas perdre tes énergies et les partager avec ceux qui ne les dévorent pas... Pas si simple.
Moi, je ne me formalise plus, je laisse aller c'est une valse.
Tout le monde ne passe pas en même temps dans le grand tamis de la vie.
regarde le film sur mon blog, il est très explicatif de la vie. Je peux juste vous dire que le contenu est vrai, pour l'avoir vécu, il y a quelques années. Le chemin est encore long. Fais confiance à "l'esprit monde" et laisse la fureur des hommes destructeurs de côté.
Nocif

Anonyme a dit…

C'est valable aussi pour l'abbé en ce moment. Trop donner épuise.

Nocif