mercredi 25 novembre 2020

Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient masqués


Confinement à perpétuité. Encre d'IBARA



Un Mal qui répand la terreur, 
Mal que l'ETAT en sa fureur 
Inventa pour punir les peuples de la terre 
Le COVID ( nous dirons là ce nom pas beau) 
Capable d'enrichir en un jour les Labos) 
 Faisait aux terriens la guerre. 

 Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient masqués
 Nul n'en semblait offusqué
Ni regrettait le vent du large
 La Loi interdisant les plages 
 L'Etat avait verrouillé les mers ! 
 O Temps maudits ! O vent amer ! 
 Comment endurer cette vie 
 Volontairement asservie !

 Où donc est passée leur passion ? 
 Hommes et femmes sont sans joie 
 L'amour n'entre plus dans leur voie 
 Ils marchent dans cette machine à Sion 
 Ils marchent, ne comprenant pas leur peine 
Et tremblent plutôt qu'avoir la Haine 

 Le Lion Raout rugit et dit : 'Mes chers amis, 
Je crois que le Big Pharma a permis 
Par notre peur cette infortune 
Et la raison gardée pourrait la guérison 
 Surtout pas de garder la maison 
 Telle serait notre loi commune 
 Avec bien sûr la chloroquine. 

 Et l'Histoire ajoute, la coquine : 
 Jette sur la table d'autopsie 
 Le cadavre médico-légal ! 
 Ouvre ses entrailles rancies,
 Tu y verras.... le Capital ! 

Faux ! brait l'Âne aux grandes oreilles,
Qui proposa cette merveille 
D'ânerie de relier les Soviets au Reset !
Cette doctrine fit florès, on lui fit aussitôt risette !
Un anti-bolchevisme repoussa
Comme le poil de la bête 
Et l'on revit quelques poussahs
Repartir sur leurs gambettes
Vers les steppes désolées et stériles 
De leur pensée désolante et débile. 




La Fontaine, Ibara et Félix. 





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